Blog

Le mondialisme a diffusé son venin dans tous les secteurs. A commencer par là d’où il vient, c’est-à-dire le capitalisme. Depuis cinquante ans, il s’est profondément réformé. Il s’est converti à l’idéologie gauchiste, devenue le wokisme. Plus woke que lui, tu meurs ! On l’appelle aujourd’hui le capitalisme woke ou encore le capitalisme inclusif.

Pourquoi l’opération covid déclenchée en 2020 a-t-elle si bien réussi auprès de la population ? La docilité de cette dernière n’explique pas tout. C’est l’adhésion, de bonne foi, d’une partie d’entre elle qui nous intrigue. La question hante nos esprits. Encore maintenant, nous cherchons la clé pour percer ce mystère.

Il existe un film d’actualité, daté du 27 mars 1942, montrant le départ en train de vedettes du cinéma français. Celles-ci étaient invitées en Allemagne à grand renfort de publicité. Ce film est passé à la postérité et a été dévastateur, après la guerre, pour l’image de ces célébrités. Nous sommes gare de l’Est, pendant l’occupation donc, et un cinéaste a filmé certaines vedettes de l’époque entreprenant le voyage nach Deutschland, à l’invitation des autorités allemandes.

Nous étions au bord du gouffre le 10 avril, aujourd’hui nous avons en plus un pied dans le vide. Après ce constat d’extrême inquiétude, quelle analyse faire de la situation entre les deux tours de la présidentielle ?

Chacun connait l’adage, l’argent mène le monde. Ce n’est pas à l’heure du McKinseygate, du Rothschildgate et du Pfizergate, ce n’est pas maintenant que le dicton sera démenti. Alors rappelons ce qu’a dit un jour Henri Ford : « C’est une bonne chose que le peuple de cette nation ne comprenne pas notre système bancaire et monétaire, car si c’était le cas, je crois qu’il y aurait une révolution d’ici demain matin. »

Le chaos règne comme jamais en France. La France n’est plus que l’ombre d’elle-même. Nous ne la reconnaissons plus. Elle est sur le point de basculer dans le précipice. C’est pourquoi cette élection présidentielle revêt un caractère si critique. L’essence de notre pays, la quintessence de notre civilisation et, même plus, le sort de l’humain sont en jeu. Toutefois le chaos empêche d’y voir clair.

Pièce maîtresse de l’équipe trumpiste, le général Flynn vient de se fendre d’une déclaration pointant Bill Gates, George Soros et Klaus Schwab. Ces trois-là conspirent depuis des décennies, a-t-il proclamé, dans le but de tracer chacun d’entre nous. Nous le savions, me direz-vous. Certes ce n’est pas une surprise, mais l’entendre dire officiellement résonne à nos oreilles favorablement.

En quinze mois de campagne vaccinale, nous sommes tombés de Charybde en Scylla. A travers le monde, les chercheurs se sont succédé pour analyser les substances contenues dans les flacons de vaccins, et leur surprise a été en grandissant. Leur surprise, mais aussi leur inquiétude.