Mais revenons à cette gauche et à son électorat. Car c’est là où les choses vont se jouer. Sans la prise de conscience de ces électeurs, en tous les cas de la frange d’électeurs qui n’a pas versé dans l’idéologie avec laquelle on les matraque depuis cinquante ans, rien ne pourra évoluer. S’ils ne veulent pas reconnaître les mensonges et s’ils continuent de fermer les yeux sur les turpitudes commises au nom de leurs valeurs, le peuple en paiera les pots cassés. La première des honnêtetés consisterait sinon à reconnaître qu’il y a eu fraude du moins à accepter l’idée d’un contrôle par une instance impartiale. Car pour affirmer sans ambages qu’il n’y a pas eu fraude devant les preuves accumulées par ceux qui crient au scandale, encore faudrait-il que ces négationnistes fournissent les leurs. Quoiqu’il en soit, le principe d’un audit ne devrait pas soulever d’objection dans un pays qui se veut démocratique. Pour tous ceux que ça intéresse, écoutez l’analyse d’Alexis Cossette. Et il n’est pas le seul à relever les points litigieux dans cette affaire.
L’honnêteté des électeurs de gauche devra par la même occasion les amener à se poser la question de la liberté d’expression, piétinée par les fascistes de leur camp, qui parlent de modération pour ne pas dire censure. Est-ce cela qu’on vous a enseigné ? De brimer toute parole qui ne soit pas conforme à la vôtre ?
Ou sinon, si vous cautionnez ces mensonges et ces atteintes à la liberté, pour que votre cœur reste à gauche coûte que coûte, vous ne vaudrez guère mieux que vos élus mondialistes. Aussi devez-vous faire votre examen de conscience et ne rien bâtir sur du faux. Pour ma part, j’ai révisé mes positions au fur et à mesure que des vérités ont vu le jour, avec l’affaire du covid. Et je suis prêt à revisiter l’Histoire toute entière sous ce nouvel éclairage, au vu de ce que j’ai appris depuis. La vérité, messieurs les électeurs, la vérité avant tout !
Pourquoi est-ce que je m’adresse aux électeurs de gauche ? Parce que dans son intégralité la gauche est mondialiste. Soit que ses dirigeants ont intégré la hiérarchie mondialiste (PS, EELV et même FLI…), soit qu’elle l’est à son corps défendant (groupes extrême gauche…). Eric Verhaeghe parle à ce propos de macro-mélenchonisme pour expliquer l’attelage de ces deux piliers du mondialisme qui pourrait achever notre pays après les législatives. Mais le mondialisme a aussi affiché son tropisme gauchiste. Rappelez-vous ces paroles dans la bouche de David Rockefeller : « L’expérience sociale en Chine sous la direction du président Mao est l’une des plus importantes et réussies. » On ne peut être plus clair. On a beau être un capitaliste dégénéré dans le huis clos de sa petite caste, on n’en est pas moins communisant vis-à-vis du reste de l’humanité.
Le clivage mentionné plus haut se retrouve entre les européistes et les autres. La position du transfuge Chevènement totalement passé, avec armes et bagages, chez Macron montre à quel point l’Europe a été colonisée par les mondialistes. En vérité, l’européisme n’est que le faux nez du mondialisme. Les derniers des Mohicans à défendre leur nation se retrouvent à droite de l’échiquier. Et, pour un mondialiste être à droite, c’est déjà être d’extrême-droite, et c’est être un nazi. Or qui se comporte encore une fois de manière totalitaire si ce n’est ces donneurs de leçons. Les nations c’est la guerre, avait claironné Mitterrand en son temps, l’Europe c’est la paix. On voit le résultat trente ans plus tard. Qui est belliciste aujourd’hui si ce n’est Macron, le roitelet de l’Europe, et sa mégère Ursula de la Commission européenne ? Qui arme les néo-nazis ukrainiens et qui appelle, tambour battant, à pourfendre les russes, après avoir tout fait pour en arriver là ?
Ironie de l’histoire, les progressistes, qui n’ont que l’injure d’extrême-droite à la bouche, ne sont pas à une contradiction près en soutenant en sous-main leurs copains néonazis !