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Les NCI

Le 15/12/2025

Dans Actualités

« Le fascisme reviendra sur la scène, à condition qu’il soit antifasciste. » Pier Paolo Pasolini

Qu’est-ce qui se cache derrière ce sigle NCI, vous demanderez-vous ? Rien que la marque des temps nouveaux. Il s’agit de ce que j’appelle les Nouvelles Colonnes Infernales, toutes proportions gardées avec les originelles. Nous avions découvert à notre corps défendant l’EuroGendFor, cette milice de mercenaires à la solde des mondialistes durant les convois de la liberté. Auparavant, nous avions subi les commandos islamistes, prêts à trucider par centaines leurs blanches proies. Nous avons désormais une troisième colonne venue de l’Enfer, les sections d’assaut du gauchisme, les antifas, qui ont pris entre temps de l’assurance et sont aussi avides de faire couler le sang que les autres. Ils passent d’autant plus volontiers à l’acte qu’ils se savent dans une totale impunité. Notez que ces colonnes infernales, chargées de semer la terreur, se mettent toujours au service d’un régime totalitaire. Les soudards d’EuroGendFor obéissent aux mondialistes, les bachibouzouks du djihad à l’islamisme, enfin les traine-savates du gauchisme, en successeurs décadents de leurs devanciers du Comité de salut public, se rangeraient plutôt du côté de l’Internationale socialiste.

 

Il y a de la concurrence dans l’air entre tous ces escadrons de la mort, chacun ayant ses spécificités. Mais, au-delà, ils ont ceci en commun de vouloir l’anéantissement de la société occidentale telle qu’on l’a connue jusqu’à présent. C’est un signe de la dangerosité des temps que cette convergence. Dans un pareil état des lieux, j’aurais pu rajouter les sentinelles du narcotrafic, si elles ne constituaient pas déjà un allié objectif des islamistes. Les trafiquants de drogue étant aux islamistes ce que le lumpenprolétariat fut aux nazis.

La violence de chacune de ces factions constitue un exutoire au totalitarisme qui les emploie. Par la terreur qu’elles répandent, elles signifient au peuple qu’il lui faut se soumettre. Ce qui devient nécessaire dès lors que le discours seul n’a plus de prise sur les citoyens. C’est précisément ce à quoi nous assistons avec les antifas. Plus le politiquement correct s’effondre, plus s’amenuise le bien fondé de leurs idées folles sous-jacentes, et plus leurs éructations, leurs foudres, leurs anathèmes et leurs violences physiques s’abattent sans discernement. La description de leurs méfaits a été entreprise depuis quelque temps par le média Frontières. Notamment dans son dernier hors-série. Ses reporters sont ainsi les seuls à avoir osé exposer, par exemple, le groupuscule antifa ORA (Organisation Révolutionnaire Anarchiste) et ses méthodes fascistes. Pasolini avait vu juste. Car de même qu’ils se disent racialistes pour ne pas s’avouer racistes, de même ils se disent antifascistes pour se boucher les yeux sur leur propre fascisme. Il faut le reconnaître, avec un grand courage et beaucoup d’abnégation, les journalistes de Frontières s’attèlent à ce travail ingrat d’investigation que personne ne veut entreprendre. Et bien sûr les coups pleuvent sur eux, venant des juges, des politiques et des médias. En 2025, les agressions physiques des antifas ne se comptent plus. Les unes contre un spectacle qui ne leur plait pas, les autres contre un politicien qui n’a pas leur assentiment, ou d’autres encore contre un rassemblement pourtant apolitique qu’ils nazifient pour empêcher la population de souche de continuer à vivre selon ses us et coutumes. Comme nous approchons de la fin de l’année, les marchés de Noël n’échappent pas à cette odieuse règle. La bestiale engeance antifa n’a rien trouvé de mieux que d’apposer à Noël l’infâme étiquette de nazi. Les butors !

Exemple de spectacle qui ne plait pas à la gauche et se fait censurer

Il ne suffit plus aux séides du totalitarisme rouge, qui vivent aux crochets de Soros, d’aider à l’invasion migratoire. Il ne suffit plus à ces petits blancs, honteux de leurs racines et qui se croient au-dessus de la mêlée, de violenter leurs compatriotes. Ces racistes, ces antisémites, ces fascistes ont décidé de passer du terrorisme intellectuel au terrorisme tout court. Alors ils se sont inventés un ennemi, ont fantasmé sur lui et marchent désormais dans les rues pour l’affronter. Et tout passant qui croise leur chemin sans être de leur bord est vu comme un ennemi. Mais les forces de l’ordre sont les seules auxquelles ils se heurtent. Aussi veulent-ils désarmer la police. Car leur but est de détrôner l’Etat, théoriquement le seul habilité à employer la violence. Cependant il faut voir au-delà de leur haine factice de la police. Car, sous un régime rouge, à la vénézuélienne, ils estimeraient a contrario nécessaire de l’armer. Ils ne la haïraient plus alors, cette police. Il s’agit donc uniquement d’une revendication tactique de leur part.

ACAB Party : une réunion d'antifas où ils gueuleront à loisir que la police tue en toute impunité !

D’un point de vue stratégique, si tant est qu’ils en aient une, ils n’aspirent qu’à cracher sur ce peuple dont ils sont pourtant issus. Ce sont eux les bras armés du populicide en cours. Ils n’ont certes pas assez de puissance pour se croire revenus au bon vieux temps des colonnes infernales de la république naissante. Toutefois ils gardent un certain pouvoir de nuisance. Si maintenant une guerre civile éclatait, ils seraient vite débordés par leurs acolytes islamistes, puis exterminés.

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La barbarie affectionne le noir

S’il y en a un qui ne s’est pas trompé à leur sujet, c’est Donald Trump dans son décret de désignation des antifas comme une entité terroriste. Pour le président américain, qui en toutes choses donne l’exemple, il s’agit d’«une organisation militariste et anarchiste qui appelle explicitement au renversement du gouvernement […] Elle utilise des moyens illégaux pour organiser et mener une campagne de violence et de terrorisme à l’échelle nationale afin d’atteindre ses objectifs. Cette campagne implique des effets coordonnés visant à entraver l’application des lois fédérales par des affrontements armés avec les forces de l’ordre, des émeutes organisées, des agressions violentes contre les agents des services de  l’immigration […] et d’autres menaces à l’encontre de personnalités politiques et de militants. Antifa recrute, forme et radicalise des jeunes […] pour qu’ils se livrent à cette violence et à la répression de l’activité politique, puis utilise des moyens et des mécanismes élaborés pour protéger l’identité de ses agents, dissimuler ses sources de financement et ses opérations… Les personnes associées à Antifa […] coordonnent également leurs actions avec d’autres organisations et entités dans le but […] de réprimer le discours politique légitime. Cet effort organisé visant à atteindre des objectifs politiques par la coercition et l’intimidation relève du terrorisme intérieur. »

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De part et d’autre de l’Atlantique, Antifa offre le même visage hideux, bâché de noir. Ses gibiers de potence assènent leurs coups avec les mêmes prétextes. Tout en louchant du côté de l’Islam lorsqu’ils exhibent ce torchon de keffieh. Leur premier objectif est d’empêcher que l’immigration sauvage ne tarisse, d’où leurs violences au Texas contre l’ICE de Trump ou à la gare de Milan contre le Sommet de la Remigration, quand ils ne se mettent pas carrément à la remorque de la cause palestinienne, comme dernièrement en Italie, quand Meloni a refusé de reconnaitre l’Etat palestinien.

Dans sa grande casse de la France, Macron n’hésite jamais à employer la force et faire montre de violence envers les français de souche : Gilets Jaunes, Convoyeurs de la liberté, Agriculteurs... Mais il n’enverra jamais ses blindés, ses centaures et ses hélicos d’attaque contre la vérole des antifas. Ça ne risque pas d’arriver. Les uns ont besoin des autres pour occuper la rue à la place du peuple, et les autres ont besoin des premiers pour les subventionner et les protéger. Tel est le Grand-Guignol que nous donnent à voir les fossoyeurs réunis de la France.

Photo d'illustration : déprédations commises par des antifas à Milan