Enumérons leurs découvertes. Ils y ont trouvé de la protéine spike, des métaux lourds, de l’oxyde de graphène, des nanoparticules artificielles (auto-assemblage de nanotechnologie, nano-circuits intégrés, nanobots…), des œufs parasitaires et, aux dernières nouvelles, au sein même de l’excipient, visualisées au microscope industriel, des formations organiques évolutives, autant dire des cochonneries inconnues du grand public, y compris des hommes de science.
Les éternels sceptiques, qui ont fait de leur attitude toute leur science, ne manqueront pas de jeter l’opprobre sur ces trouvailles. Je rappellerai à ces autruches que toutes les informations, que les complotistes ont révélées, se sont avérées pertinentes avec le temps et que seul demeure louche le silence à cet égard. Vos objections n’en sont pas, elles sont sans fondement. Ce ne sont que des imprécations.
Au vu de cet inventaire, on peut se demander à quelle mixture, à quelle infâme tambouille, à quel cocktail vénéneux nous avons affaire. Chaque divulgation montre combien la composition de ces vaccins est étrange et alarmante, à la fois sur les plans chimique, biologique et technologique. Et je ne parierais pas que la liste de ces poisons s’arrête là. Quel sordide ingrédient découvrira-t-on encore ?
En outre, qui interpellera les laboratoires ? Certainement pas nos complices de journalistes, qui, après avoir couvert le crime, s’indignent qu’on traite Macron, leur héros, d’assassin. Un pacte de sang les unie assurément.
Ce n’est pas assez que Pfizer & Co aient caviardé les contrats qu’ils ont signés avec l’UE et qu’ils se soient exonérés de toute responsabilité. Ce n’est pas assez que leurs prétendues études aient été biaisées. Ce n’est pas assez qu’ils aient affirmé cyniquement que leurs vaccins étaient sûrs et efficaces. Ce n’est pas assez qu’ils aient éliminé toute alternative de traitement. Ce n’est pas assez qu’ils aient mandaté les médias pour dénigrer les voix accusant leurs potions. Ce n’est pas assez d’avoir commis toutes ces forfaitures, encore leur fallait-il commettre la pire, s’attaquer à la pérennité de la vie humaine sur sa planète. Toujours sous le prétexte de nous vouloir en bonne santé évidemment. Un jour, on s’apercevra que ce fut le pire des crimes jamais perpétrés contre l’humanité. On l’enseignera dans les écoles, et une fois de plus les jeunes générations interrogeront leurs parents pour savoir comment cela fut possible.
Après un an d’investigations au microscope et au spectromètre, l’heure est venue de spéculer. C’est l’heure de se demander pourquoi les meneurs mondialistes auraient eu besoin de mettre au point une arme aussi protéiforme. Je crois que s’ils voulaient que leur crime restât dissimulé jusqu’à son accomplissement final, encore fallait-il que les peuples ne puissent incriminer les vaccins comme étant le point de départ de l’hécatombe. Aussi se devaient-ils de cacher l’origine des morts en en variant les causes, donc les facteurs létaux. Les uns mourraient d’une affection due à un problème chimique, les autres à un dérèglement biologique. On invoquerait le climat ou bien un autre virus.
Un examen de la surmortalité, toutes causes confondues, aurait dû tout de même intriguer. Mais il leur reste toujours le moyen d’éluder la question, et à leurs laquais de faire obstacle à l’information. Ainsi le Sénat refuse-t-il toujours de fournir ces chiffres. En miroir, ceux de la natalité devraient, eux aussi, ne pas tarder à nous mettre en garde. Pour qui s’informe sans a priori, les problèmes d’infertilité conséquents aux inoculations ne font pas mystère. Mais, là encore, une institution mondialiste fera barrage, s’il le faut. Leur système est cadenassé pour de bon.
Nous ne connaissons probablement pas tout de cette potion du diable. Elle a certainement des fonctions cachées que nous ignorons, que des laboratoires malveillants ont savamment élaborées. Vous pouvez en être sûr. Par exemple des fonctions liées aux nano-robots. Celles-ci apparaitront tôt ou tard à notre grand désarroi. Espérons seulement qu’il ne sera pas trop tard.