Créer un site internet

Ce que l'époque nous aura appris

Le 28/01/2024

Dans Actualités

« S’améliorer c’est changer, alors être parfait c’est avoir changé souvent. » Winston Churchill

Ce que nous aura appris l’époque, c’est de nous remettre en question. D’abord parce qu’en étant placés au pied du mur, comme nous l’avons été en 2020, nous avons dû apprendre par nous-mêmes, sans nous référer aux inepties débitées par les médias. Grâce à notre seule raison et en fonction des éléments objectifs dont nous disposions, nous en sommes arrivés à la conclusion que les citoyens, les moins soupçonnables d’intentions malignes à notre égard, voulaient attenter à nos vies. Et cela a bouleversé notre entendement à jamais.

Etre resté sur des présupposés a été non seulement préjudiciable à soi-même du point de vue de la compréhension des événements mais surtout préjudiciable à son existence, voire à sa survie. A cette occasion n’avoir pas su évoluer au gré de la situation et réviser ses jugements aura été d’un grand danger pour son intégrité physique comme mentale. Seuls la sidération ou le conformisme peuvent expliquer la tétanisation des esprits.

Depuis 2020 nous avons glané beaucoup d’informations, remis en cause beaucoup d’a priori et nous avons au moins repéré d’où provenaient les attaques contre nous, simples humains. Cependant force est de constater que les réponses à nos questions ne nous satisfont pas complètement. La plus grande confusion règne. Les réponses s’avèrent de-ci de-là incohérentes, voire contradictoires. L’incertitude gagne. Nous ne savons plus à quels saints nous vouer.

Qui croire par exemple sur la nature exacte du coronavirus ? Sur la composition des injections ? Si nous avons la preuve de leur toxicité, nous ne savons pas en interpréter les causes. Faut-il attribuer la cause principale à l’ARNm, comme on le craignait au tout début avec Alexandra Henrion-Caude, ou bien à la protéine Spike, comme il est de coutume de l’affirmer dans le milieu académique resté intègre ? D’autres scientifiques tout aussi intègres ne se sont pas contentés de lire la littérature de leurs confrères. Animés par la soif de savoir, ils ont tenu à procéder à des analyses on ne peut plus rigoureuses, tant sur la composition des injections que sur le sang des personnes injectées. Et leurs terribles conclusions tendent à incriminer la présence d’oxyde de graphène. Ne rentrons pas dans la polémique scientifique. Il est actuellement difficile de trancher, qui plus est pour un néophyte. Et je ne reviens pas davantage sur la présence de nanotechnologie.

A ce sujet, la réaction de la biologiste et ancienne chercheuse Hélène Banoun m’a interloqué. Elle semble balayer d’un revers de main l’épineuse question du contenu des fioles vaccinales, notamment en ce qui concerne le graphène, au motif qu’elle ne serait pas experte en la matière. Seules les parutions conventionnelles de son ressort ont attiré son attention pour se forger un avis. Seulement, de toute évidence, en raisonnant ainsi, elle se prive de connaître toute la vérité. C’est un peu comme si un enquêteur judiciaire au prétexte qu’il ne serait pas versé en biologie se priverait d’analyser l’ADN sur une scène de crime. Tout le problème est là. Accepter la finitude de notre savoir tout en poursuivant notre quête. Nous savons pertinemment que la recherche appliquée (en particulier à la DARPA) a fait des bonds gigantesques, à l’écart desquels on tient le public. Les brevets accessibles sur le net sont là pour en attester. Mais de fait seuls les spécialistes des domaines impliqués sont susceptibles d’en mesurer la portée. La multiplicité des experts indépendants qu’il faudrait faire intervenir rend toute analyse peu réalisable dans les conditions actuelles. Il faudrait pouvoir combiner l’expertise de microbiologistes, d’ingénieurs des nanotechnologies de pointe et de tant d’autres chercheurs honnêtes pour se faire une première idée de ce qui est véridique. Faute de quoi le public restera longtemps dans l’expectative la plus totale.

La Quinta Columna et le Dr Delgado n’ont pas attendu qu’un expérimentateur charitable entame des investigations sur les injections. Depuis plusieurs années, Delgado a mené ses propres recherches. Les réalisateurs du documentaire Next Dose III également. Les uns et les autres ont travaillé sur les preuves du crime. Et leurs conclusions diffèrent radicalement des interprétations académiques dont on ignore souvent de quels travaux expérimentaux elles découlent.

Screenshot 20240127 172134 samsung internet

 Alors qui a raison ? Delgado ? Banoun ? Raoult ? Henrion-Caude… ? La science et le temps finiront par trancher à moins que les coupables n’aient raison de nous. En attendant il ne faut pas s’interdire d’aller chercher des réponses hors de son champ de compétences ? Si j’avais fait de même que le Docteur Banoun, le domaine médical ne relevant pas de mes compétences, j’aurais couru me faire vacciner en 2021 ! La suspicion seule que l’injection ait été nocive a suffi à m’en dissuader. Principe de précaution. Ne bois pas le breuvage que te tend avec insistance un psychopathe.

Je reconnais qu’il est difficile de vivre avec ces doutes, d’opérer des choix dans cette précarité de données et d’informations fiables. On ne peut se reposer sur rien de véridique.

Mais, dans d’autres domaines que le covid, le déficit de connaissances contrarie aussi la réflexion. Par exemple en politique. Le public fonde son opinion en se basant sur les informations à sa disposition, en dehors de ses affinités personnelles bien entendu. Mais si ces informations sont cachées, biaisées ou frelatées, que décider ? C’est un cas de conscience.

Les débats politiques sont de ce fait très différents selon qu’ils se déroulent dans les mainstream inféodés à la vision mondialiste et qui formataient jusqu’à présent à grands coups de serpe l’opinion publique ou qu’ils se déroulent dans les réseaux alternatifs où l’on tient compte de faits parallèles volontairement mis sous le boisseau par les médias traditionnels. Certains débats paraissent ainsi lunaires à vouloir ignorer d’importantes réalités. Mais peu à peu les choses se décantent. Les peuples font leur choix en dehors des sentiers battus par la presse de connivence. Le résultat peut se voir. Trump au fil des primaires républicaines engrange les succès. Les américains, plus pragmatiques que nous peut-être, affluent vers lui dans sa campagne et viennent grossir les rangs de ses supporters. En France et un peu partout en Europe, Allemagne, Pologne, Lituanie, Espagne, Italie… les contestataires conspuent chaque jour davantage les eurocrates et les gouvernements félons. Cependant doit-on croire à la résistance d’une armée des ombres, à savoir l’Alliance, pour libérer la planète ? Jusqu’à présent, c’est plutôt une arlésienne. Combien de fois n’a-t-on pas annoncé son intervention au vu et au su de tous ! Bien sûr, si elle existe bien, les mainstream n’en parleront pas. Mais n’est-ce pas une illusion à laquelle on veut croire ? La lucidité veut que nous gardions ouvertes toutes les options. Ce qui est sûr c’est que les médias collaborent en bonne intelligence avec l’ennemi, en trafiquant de plus belle les infos pour désorienter les masses.

Screenshot 20240127 233501 telegram

Il existe encore un autre niveau de réflexion où l’incertitude se manifeste. Il s’agit de savoir s’il existe ou non des responsables qui opèreraient derrière l’Etat profond. Certains croient sérieusement en une instrumentalisation orchestrée par des entités non humaines qui escomptent faire de l’humanité une sorte de ferme des animaux à la Orwell, dans laquelle nous ne serions que des bêtes élevées par des maîtres venus d’ailleurs… C’est la thèse défendue par David Icke, voire Ricardo Delgado, Astrid Stuckelberger et bien d’autres. Inutile de dire quel gouffre s’ouvre sous nos pas si nous allons par là ! Ce sera sûrement la dernière étape des divulgations que nous attendons tous, depuis que nous avons eu un aperçu des crimes mondialistes. Ces derniers sont eux bien humains qui osent se considérer comme supérieurs à nous, tels des seigneurs. Ils sont plutôt la fange de l’humanité.

Sur chacun de ces sujets, nous sommes sur des sables mouvants. On éprouve les pires difficultés à trancher faute de données et parce que la pièce se déroule sous nos yeux. Nous ne vivons pas un moment historique. Nous participons à un événement majeur qu’il reste à écrire mais qui deviendra assurément historique. Aucun recul ne peut donc être pris. Il faut pourtant se prononcer sans avoir toutes les cartes en main. Dans ces conditions, l’intelligence du cœur doit nous guider, qui palliera les insuffisances de nos connaissances…¾

Photo d'illustration : © Gerd Altmann/geralt

Vaccins Médias Etat profond Comprendre