Entre la rue et l’Elysée, il est un autre pouvoir qui assigne le peuple à résidence et le tient en respect. Il s’agit du terrible pouvoir des juges rouges. Ces magistrats se délectent à offrir aux pires crapules des conditions pénitentiaires proches du Club Med. Parmi elles, la possibilité à un Lelandais de copuler en prison avant d’étrangler sa femme ou l’autorisation d’utiliser un ordinateur à un Salah Abdeslam. En revanche, ils prennent un malin plaisir à le refuser à un ancien président incarcéré car jugé de droite. Bien sûr, la vox populi fait que les juges reculent parfois, par crainte, comme dans le procès de la meurtrière de Lola qui a obtenu la peine maximale. Le juge aurait vu son nom jeté en pâture et la foule l’aurait lynché à la sortie du procès, si le verdict avait été autre. Mais, de un, il n’est pas dit que dans quelques années un juge des libertés ne fasse pas sortir la sadique de prison bien plus tôt que prévu ; on l’a vu avec un autre meurtrier qui au lieu de purger ses 15 ans de prison n’en a fait que 7 et vient de sortir grâce à la complicité d’un juge qui bafoue ainsi le verdict du procès tenu il y a à peine 7 ans. Et de deux, les médias du système s’entendront tôt ou tard pour répandre une petite musique fielleuse, à savoir que la peine encourue par la meurtrière de Lola est excessive. De Libé à l’Obs, on l’excusera de mille manières et on voudra la réinsérer au nom de Saint Badinter.
Le sort de la meurtrière de la petite Lola repose la question des OQTF non effectuées et aboutissant à des assassinats de français de souche par des musulmans, algériens, afghans ou tchétchènes. Ces assassinats, outre leur barbarie, ont toujours des relents islamistes. Et c’est là, sur ce point précis, que se soude la gauche. Fascinée qu’elle est par cet avenir islamique, toutes ses composantes lui font la part belle. L’actualité nous en donne un concentré de preuves, ces jours-ci. La gauche est devenue une arme de conspiration massive contre son propre pays.
En effet, du haut en bas, la gauche fait tout pour effacer le plus vite possible les traces de résurgence de patriotisme français. Il lui faut canceller la France dans ses moindres recoins. Pourquoi, dans quel but, si ce n’est pour faire place à l’islam, si cher à son cœur de totalitaire. Car si Aragon écrivait que la femme était l’avenir de l’homme, la gauche pense aujourd’hui que l’islam est l’avenir de la France. Voilà pourquoi elle veut tuer dans l’œuf toutes les manifestations patriotiques, à commencer par l’exhibition du drapeau tricolore ou les spectacles historiques à l’image de celui du Puy du Fou dont le succès phénoménal lui donne de l’urticaire. Ou bien comme le film Sacré Cœur dont la projection au château de la Buzine a été, dans un premier temps, annulée par le maire socialiste de Marseille.
Au sommet de la pyramide, les partis politiques et les élus, tels les maires, se vautrent dans la collaboration. Frontières en a dressé un florilège non exhaustif. Une commission d’enquête parlementaire est en cours pour établir précisément les liens entre partis politiques et islamisme. Seulement, cette enquête se déroule à huis clos. C’est en soi un scandale. Pourquoi donc un huis clos ? Pour que les français n’en sachent rien ? Pour les faire cocus à l’arrivée ? Pour qu’ils restent Grosjean comme devant ? Jules Laurans, auditionné par cette commission, évoque une parodie. Car c’est lui, le journaliste de Frontières, qui a été mis sur la sellette pour ses révélations sur les ententes entre partis et organisations islamiques, et non les maires coupables, entendus la veille par la commission ! C’est donc bien un simulacre d’enquête qui a tourné à l’inquisition du lanceur d’alerte.
A l’Assemblée Nationale, le député macroniste Marc Fesneau invite des fillettes voilées d’une école confessionnelle hors contrat. Celles-ci sont accompagnées d’un salafiste. Sale affaire ! « La gauche et la macronie main dans la main pour islamiser et détruire la France », tweete avec amertume Oxitan. La Tondelier n’y voit, elle, rien à redire. Et pour cause, elle fait partie des conspirateurs. « Qu’on lâche la grappe aux femmes ! » lance-t-elle avec l’élégance qu’on lui connait. N’est-ce pas plutôt aux femmes de demander aux salafistes et autres barbus de les laisser tranquilles ! Une députée insoumise Nathalie Oziol refuse de qualifier le meurtrier de Samuel Paty de fanatique musulman. Mais qu’est-ce à dire ? N’est-il pas musulman ? Si. Alors n’est-il pas fanatique ? Egorger un professeur ne semble pas constituer un acte fanatique pour cette demeurée qui finira sous une burqa tôt ou tard si elle continue de flatter la bête islamique. Elle l’aura cherché. La sœur du supplicié lui réplique : « Indigne » ! Cri d’un cœur meurtri par tant d’outrages. S’il y a une France Indigne, c’est bien celle de Mélenchon. LFI signifie désormais, pour les français qui se respectent, La France Indigne. Dans la même gamme, j’apprends que le soi-disant député Raphaël Arnaud, mais authentique fiché S, aurait insulté Patrick Jardin, le père d’une des victimes du Bataclan qui se bat depuis contre l’idéologie mortifère des assassins de sa fille. Cette petite frappe d’Arnaud devrait être frappée d’indignité nationale si tout le personnel politique de gauche, macronie comprise, n’était pas au fond d’accord avec lui pour livrer le pays à l’islam.
Quand ce n’est pas la gauche au pouvoir qui écroue ses opposants, c’est l’islam et les gauchistes qui poursuivent les artistes catalogués comme « sionistes ». La persécution du chanteur Amir l’illustre que trop bien. On intimide aussi ceux qui vont chez l’animateur Arthur et ces artistes apeurés ne s’y rendent plus par lâcheté. Toutes les musiques sont visées par l’islamo-gauchisme, dès qu’un juif y est repéré. Le Philharmonique d’Israël et son public ont ainsi subi une attaque au fumigène en plein concert à la Philharmonie de Paris. Une manifestation les attendait même à l’extérieur de la salle. « Un véritable acte de terrorisme culturel », relèvera à juste titre Franck Tapiro. La CGT Spectacle est devenue, quant à elle, une section d’assaut de l’islamo-gauchisme. « Questionné, rapporte RTL, sur le rôle qu’auraient pu jouer certains membres de son syndicat pour permettre ces perturbations, […son secrétaire] souligne que rien ne démontre que qui que ce soit de la CGT soit impliqué ». Quelle défense ! Le cgtiste attend d’être confronté aux preuves avant d’avouer. A aucun moment, l’incendiaire ne se défend de vouloir mettre de l’huile sur le feu. C’est dire toute la culpabilité de ce triste sire. En réalité, ce syndicat et lui avec s’ingénient à entretenir un climat de terreur antisémite. A quand le sang qui coule ? Sinistre descente aux enfers de la gauche syndicale !
Redescendons les marches sociales. Ce qui m’exaspère le plus autour de moi est d’entendre le citoyen de gauche moyen continuer de véhiculer le discours pontifiant d’il y a vingt ou trente ans, comme si de rien n’était. Comme si l’ardoise de toutes les victimes de l’islam avait été effacée. Une pareille cécité signe une seconde fois la mort de ces pauvres gens. Est-ce la bêtise, l’aveuglement ou l’adhésion ? Se voile-t-il la face par conformisme de gauche ou déjà par soumission à Mahomet ? Peut-être même est-il en peine de le dire, ce crétin des alpes !