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Nous vivons une guerre civile mondiale. Et comme dans toute guerre, il y a des morts. Dans celle-là le champ d’honneur peut emprunter différents aspects. C’est la spécificité de cette guerre. Il va sans dire que l’offensive russe en Ukraine aura causé la mort d’innocents, que ce soit des civils pris sous le feu de la mitraille, que ce soit des civils en butte aux exactions ukro-nazies, notamment quand ils servent de boucliers humains. Une guerre classique, en somme.

Un totalitarisme chassant l’autre, qui cependant aurait pensé le vivre en ce début de siècle ?

Alors, voici un poème en forme de pastiche, un clin d’œil au célèbre Quand ils sont venus chercher du pasteur Martin Niemöller, arrêté en 1937 et envoyé au camp de Sachsenhausen,  puis transféré à Dachau en 1941. Il sera, c’est mon vœu le plus cher,  comme une piqûre de rappel à l’adresse de tous ceux qui ont oublié les leçons de l’Histoire.

Les médias sont le quatrième pouvoir, dit-on, après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. Au cours de la précédente décennie, ils avaient commis bien des fautes par manque de déontologie sous la pression idéologique progressiste. Pour beaucoup d’entre eux, ils s’étaient décrédibilisés. Néanmoins gardaient-ils une vague apparence d’honorabilité. Bon, l’information était biaisée, mais elle filtrait tout de même.

« La vérité n’est pas pour tous les hommes, mais seulement pour ceux qui la recherchent. »   Ayn Rand

En 2020 nous sommes passés d’une guerre secrète, menée contre nous à une guerre déclarée. Le nous sommes en guerre scandé par le malsain locataire de l’Elysée nous était effectivement adressé, mais à nous en tant qu’ennemis. C’était sa déclaration de guerre.

Voici venu le temps des grandes manœuvres. 

Nous savons que l’intervention russe en Ukraine n’est pas un affrontement militaire entre deux pays, mais une guerre qui oppose la Russie de Poutine aux mondialistes, de connivence avec la faction gouvernementale de Kiev. L’Ukraine est devenue avec le temps une chasse gardée du mondialisme.

« … car tout ce qui existe mérite d’être détruit, il serait donc mieux que rien n’existât. »    Goethe (Faust)

La lanceuse d’alerte Claire Séverac nous annonçait déjà en 2015 à quelles barbaries les mondialistes nous destinaient. Elle pensait en particulier à un certain Raymond Kurzweil, qui venait d’être recruté comme directeur de l’ingénierie chez Google, en qui elle voyait un savant fou à la tête de malade.

Une fois n’est pas coutume, je ferai allusion à un épisode d’une série policière française, Section de recherche, dont le titre importe peu, mais dont les choix du scénariste résonnent dans mon esprit. Voilà le pitch. Les enquêteurs de l’unité recherchent une famille disparue.

Je pourrais concevoir que vous émettiez des doutes sur les affirmations de votre serviteur. Vous pourriez vous demander à juste titre : quel crédit accorder à sa vision des choses ? Comment être sûr que les responsables qu’il pointe du doigt sont bien des comploteurs et qu’ils forment une mafia aux dents extrêmement longues, prête à nous dominer par-delà les continents ?