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Les juifs de cour du mondialisme

Le 06/04/2022

Dans Actualités

Pièce maîtresse de l’équipe trumpiste, le général Flynn vient de se fendre d’une déclaration pointant Bill Gates, George Soros et Klaus Schwab. Ces trois-là conspirent depuis des décennies, a-t-il proclamé, dans le but de tracer chacun d’entre nous. Nous le savions, me direz-vous. Certes ce n’est pas une surprise, mais l’entendre dire officiellement résonne à nos oreilles favorablement.

Il se trouve que deux des conspirateurs en question ont eu des destins dans leur enfance, qui présentent un parallèle, à savoir le rejet de leur judaïsme. Il est incontestable que ces deux barons du mondialisme, Soros et Schwab, dont on a appris, il y a peu, qu’ils partageaient beaucoup sur un plan idéologique, font la pluie et le beau temps sur la planète. Or, on va voir que leur proximité politique tient peut-être avant tout à leurs débuts dans la vie.

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Commençons par George Soros. Il est né, il y a 92 ans, à Budapest, dans une famille aisée de confession juive. Son père, un avocat à la réussite indéniable, sentant venir en 1944 un vent mauvais pour les siens, lorsque les nazis envahirent la Hongrie, confia le jeune George âgé alors de 14 ans à un fonctionnaire ministériel afin qu’il l’adopte. Il passerait dorénavant pour son filleul et un chrétien. Mais, pour avoir la vie sauve, ce dernier devra en payer le prix. Il accompagnera son parrain dans sa tâche en participant à la confiscation des biens des juifs hongrois expédiés vers les camps de la mort. Oh, bien sûr, les chiens de garde de Wikipedia le laveront de cette ignominie, mais les archives démentent leur démenti, hélas pour eux. Soros en personne a été interrogé à ce sujet, cinquante ans plus tard dans l’émission 60 minutes par Steve Kraft, un interlocuteur sans complaisance. Et voilà un résumé de ses réponses. A la question de savoir s’il avait dû endurer un conflit intérieur comme prix de sa survie en détroussant ainsi ses coreligionnaires, Soros déclara s’être forgé le caractère de cette manière, mais que cela ne lui avait posé aucun problème de conscience, qu’il n’avait ressenti aucune culpabilité. Son manque de sensibilité, son absence totale d’empathie pour d’autres juifs, qui auraient pu être des amis, des voisins, de la famille, est évocateur. Il ajoute que quelqu’un aurait de toutes les façons effectué ce travail s’il n’avait été là. Il renchérit : au fond il n’avait été qu’un spectateur. Le comble de l’abjection fut atteint avec cet aveu glaçant : « cette année d’occupation allemande fut probablement la plus heureuse de ma vie ». « Ce fut une expérience très positive […] une expérience heureuse et exaltante. » Soros fut, ce jour-là, son propre procureur. Il dévoila toute l’étendue de son caractère répugnant en quelques mots. L’icône du gauchisme occidental n’est qu’un nostalgique de l’invasion nazie, qui regrette le bon vieux temps de l’occupation ! Quant aux victimes, juives comme lui, il n’en avait cure. De nos jours, il est fréquent que les premiers à disqualifier leurs adversaires en les affublant du terme d’extrême-droite se comptent en fait parmi les plus fidèles admirateurs du nazisme.

Quand il dépense sa fortune dans des œuvres de bienfaisance, il ne faut donc y voir aucune philanthropie de sa part. Les bonnes œuvres de ce sociopathe servent uniquement son projet d’Open Society. Cette façon de faire, de passer par les apparences du caritatif, est typiquement américaine, voilà tout. Combien a-t-il ainsi financé d’activistes sous couvert de bienfaisance pour s’ingérer dans les affaires de certains pays et y déclencher ses fameuses révolutions de couleur : Serbie, Géorgie, Ukraine, Kirghizie… Les scrupules n’ont jamais étouffé celui qui trouva revigorante l’expérience nazie et la trahison de ses frères d’infortune. Mais je continue de me questionner : qu’est-ce qui a pu le rendre si heureux pendant cette sombre période, sinon le mal auquel il a pris part ?

L’autre figure du mondialisme est donc Klaus Schwab. Un article d’août 2021 de Valentin Katasonov, ex-consultant des Nations Unies, analyse la face cachée du personnage, une facette méconnue qui tend à le rapprocher de Soros. Après avoir rappelé la nature scandaleuse du plan de l’octogénaire, la Grande Réinitialisation, soit la prise du pouvoir sur le monde par un petit groupe d’hommes influents, l’auteur évoque l’intérêt accru du public pour les origines de Schwab. En effet, le gourou de Davos, comme on l’appelle, aurait mis un voile pudique sur sa jeunesse à Ravensburg, sa ville de naissance.

Katasonov ne se dérobe pas. Il corrige une première erreur, commise sur les réseaux sociaux, concernant le nom de ses parents. On la doit à une regrettable homonymie. En vérité sa mère n’était pas une Rothschild, comme la rumeur avait couru. Alors qui sont ses parents ? On constatera d’emblée que la question présente de l’intérêt pour que le principal intéressé ait cherché à l’occulter.

Son père Eugen Wilhelm Schwab était directeur de la Société Escher-Wyss & Co basée à Ravensburg. L’entreprise produisait toutes sortes d’équipements électriques. Arriva la seconde guerre mondiale. Compte tenu de son importance dans le complexe militaro-industriel du troisième Reich, la Société acquit vite du galon auprès des autorités nazies. C’est elle qui fut chargée de bâtir leur usine d’eau lourde en Norvège. Le film Les héros de Telemark l’a d’ailleurs rendue célèbre. Hitler ne parvint pas à disposer de la bombe atomique, malgré les progrès accomplis par la firme. Pour autant, ses réalisations trouvèrent preneur après la guerre, et pas auprès du premier gouvernement venu, puisqu’il s’agit de celui d’Afrique du Sud, où régnait l’apartheid. Klaus intègrera Escher-Wyss et contribuera à fournir illégalement à ses dirigeants des composants servant à la production d’armes nucléaires. Voilà qui explique sa discrétion constante à propos de son père. Quant à sa mère, il n’y fera allusion que tardivement, et encore c’est en faisant passer Erika Epprecht, sa belle mère, pour sa mère biologique. Le vilain mensonge ! Au demeurant Wikipedia a réitéré ce mensonge sur sa fiche. En fait, la suissesse Erika Epprecht est la seconde épouse du père. La première épouse et mère de Klaus s’appelait Emma Gisela Tekelius Schwab (née Kilian). Et celle-ci était juive ! Or, l’année 1938, année de naissance de Klaus, s’achève sur la terrible Nuit de Cristal. L’événement a dû traumatiser Emma qui ne tarda pas à émigrer aux Etats-Unis, laissant Klaus par la même occasion.

Elevé dès sa petite enfance dans le culte du national socialisme, Klaus a toujours caché l’identité de sa véritable mère. Or, selon la loi rabbinique, la judéité se transmet par la mère. Reconnaître sa véritable mère, c’eut été reconnaitre sa judéité. Si son frère ainé Hans ne l’a pas reniée et s’est toujours considéré comme juif, il n’en a pas été de même de Klaus, qui n’a cessé de renier ses origines et a tenu à les garder secrètes jusqu’à aujourd’hui. Klaus ne descend peut-être pas des Rothschild, mais il demeure leur agent.

Valentin Katosonov s’est appuyé sur un article de Jerry Derecha paru en mars 2021. Derecha a cerné sans indulgence certains traits de caractère de Klaus Schwab. Pour lui, on a affaire à un sociopathe qui relève d’une lourde pathologie. Il suggère que les biographies de ce genre de corruptocrates sont instructives précisément en raison des informations qu’ils cachent. Dans son cas, il est probable que Schwab n’a jamais surmonté ce déchirement de savoir que sa juive de mère l’avait abandonné à un père qui jouera la carte nazie à fond. Sa psyché en aura été à l’évidence très affectée. Le seul moyen qu’il aura trouvé pour résoudre un tel dilemme est d’oblitérer le début de sa vie. Cette apparente indifférence fait écho à la froideur qu’il manifeste lorsqu’il parle avec détachement de son projet de domestication des êtres humains.

Soros et Schwab ne sont malheureusement pas des exceptions. D’autres juifs de cour, pour reprendre l’expression popularisée par Léon Poliakov, devraient à l’avenant se faire psychanalyser pour avoir choisi l’ombre. Je pense à Attali, aux Rothschild et à tant d’autres de ces renégats…

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