Nous savons maintenant, d’après les preuves apportées sur les réseaux sociaux, dernier refuge de l’information libre, que déjà en 2017 l’élection avait été truquée. Elle avait installé un usurpateur à l’Elysée. Pour ce faire, l’usurpateur et ses acolytes avaient largement bénéficié de la manne financière de leurs commanditaires affairistes. L’élection, qui aura lieu dans trois jours, est donc a fortiori suspecte. Si la fraude a été possible aux Etats-Unis en 2020, malgré la prise de conscience plus grande là-bas, on peut supposer qu’ici elle pourra encore se dérouler sans entrave.
Certains disent que plus la participation sera massive et les votes blancs limités, plus il sera difficile aux manipulateurs d’opérer des transferts de votes d’un candidat à l’autre. Peut-être bien, mais rien ne semble moins sûr. En outre, qu’a-t-on fait pour ramener la confiance ? L’opacité du traitement des résultats qui remontent jusqu’aux ordinateurs du Ministère de l’Intérieur n’offre aucune sécurité. A ce stade, la falsification est un jeu d’enfant. Pire, les tentatives du gouvernement d’introduire le vote par correspondance et les machines Dominion témoignent de ses arrière-pensées malhonnêtes. Ceci expliquant cela, des initiatives citoyennes se sont montées pour contrôler tous les résultats de tous les bureaux de vote de France et de Navarre et vérifier que le score final, qu’annonceront les médias de connivence, corresponde bien au leur. Ces initiatives, une première en France de mémoire d’électeur, traduisent la profonde défiance du peuple.
Autre source de méfiance, les candidats eux-mêmes. Ils sont tous susceptibles d’obéir au système. En effet, le barrage à la candidature que constituent les parrainages laisse penser que ceux qui les ont obtenus ont été adoubés par l’establishment. En ce qui concerne les deux purs produits de la caste, Macron et Pécresse, ils sont désormais connus pour avoir été des Young Global Leaders et figurer au nombre des marionnettes mondialistes. Les autres candidats ne sont pas forcément plus reluisants. A gauche, aucun mystère. Hidalgo, Jadot ou Roussel font partie de ces collabos qui ont approuvé avec empressement les mesures liberticides. N’attendez rien non plus des gauchistes Arthaud et Poutou qui ne seraient pas mécontents de voir instaurer un crédit social à la chinoise. Mélenchon, quant à lui, est inféodé à la Franc-maçonnerie. Or en France celle-ci est la courroie de transmission du mondialisme. Elle se confond avec notre Etat profond. Mélenchon possède déjà l’ego d’un dictateur. C’est aussi un mystificateur, qui prétend s’être levé contre les mesures sanitaires alors qu’il n’ pas participé au vote du passe vaccinal et qu’a priori il n’a rien contre la vaccination obligatoire. J’ignore en revanche ce qu’en pensent ses hologrammes. Marine Le Pen, si elle a voté contre pour sa part, n’a pas été moins soumise pendant ces années covid. Son attitude ou plutôt son manque de protestation n’ont pas joué en sa faveur. Lassalle est monté au front certes, mais lui aussi n’a pas participé au votre sur le passe vaccinal, contrairement à Dupont-Aignan qui s’y est opposé. Reste Zemmour, dont l’engagement pour préserver l’identité de la France face à un Islam conquérant est la marque de fabrique. Peut-on le lui reprocher chez les patriotes, quand le président Trump, qu’ils ont soutenu durant son mandat, était sur la même ligne ? Cependant la position de Zemmour vis-à-vis des mesures sanitaires est plus qu’ambigüe. Elle est même franchement dérangeante. Comment après deux ans de mascarade, ne s’est-il pas forgé une opinion sur un sujet si brûlant ? Quant au financement de sa campagne, il semble provenir du même cartel bancaire, ce qui fait douter de son indépendance vis-à-vis du mondialisme. Veut-il sortir de l’Europe ? Non. Pire, il ne semble pas vouloir rejeter le fameux Nouvel Ordre Mondial. Trop de points cruciaux, sur lesquels il a fait l’impasse ou il s’est couché, ternissent sa candidature.
Toujours à propos des candidats, me reviennent ces paroles de Donald Trump qui s’appliquent aussi bien à la France qu’à l’Amérique : « Notre plus grand danger ne vient pas de l’extérieur, de la Russie ou de la Chine, il vient des politiciens malades et radicaux qui veulent sciemment ou inconsciemment détruire notre pays. Vous ne devez pas oublier que cette nation ne leur appartient pas. Cette nation nous appartient. Nous, le peuple, qui l’avons construite. »
Pour revenir à Macron, le bilan est vite fait. Puisque lui ne veut pas le faire, laissons ce twitteur le dresser : « Donc le mec nous promet la faim, la guerre, les vaccins 4 fois par an, le pass de partout, la retraite à 70 ans (pour ceux qui n’ont pas quitté l’école à 18 ans), le froid sans chauffage, Mc Kinsey aux commandes, l’état d’urgence perpétuel, et les mecs ils vont voter pour lui ? » Tous ceux qui apporteront leur voix au plus exécrable dirigeant français des temps modernes sauront au moins, dans leur for intérieur, qu’ils auront été de loyaux auxiliaires de la dictature. A bon entendeur, salut !
Dans de telles conditions, comment mettre ses espoirs dans le scrutin qui vient ? Je pense, comme beaucoup de ceux qui appellent à voter malgré tout, que rien ne serait pire que la reconduite de l’usurpateur sur son trône. Ce serait lui signer un blanc-seing pour nous emmener définitivement en enfer. Son éviction serait au moins un coup de semonce à l’encontre du système ainsi qu’un avertissement au successeur, avant qu’un autre plus radical ne permette au peuple de renverser la table de jeu. Partant de là, nous, le peuple, devons nous approprier, une fois pour toutes, les règles du jeu démocratique.
