Mais il y a eu bien d’autres morts sur des champs moins conventionnels, par exemple ces gens qui sont morts du virus parce qu’ils n’ont pas été secourus à temps avec des traitements précoces, comme des médecins irréprochables l’avaient conseillé dès le début. Il y a eu les morts des EHPAD, ces personnes âgées abandonnées à leur sort et qui se sont laissé mourir ou qu’on a fait partir à coup de rivotril. Et puis il y a encore et toujours les morts de la vaccination. Bien entendu l’omerta est de mise, mais même Pfizer a l’air de paniquer. La chute du cours de son action lui semble inéluctable, si éclatait le scandale des effets secondaires de son vaccin. Partout où la vaccination de masse a été entreprise et à partir de ce jour, on note une indiscutable surmortalité. Mais laissons cela pour l’instant.
En temps de guerre, les rafles d’individus soupçonnés d’agir pour l’ennemi sont monnaie courante. Et nous n’avons pas été épargnés en l’occurrence. D’abord, ce furent les médecins et les scientifiques dissidents, le professeur Fourtillan, à deux reprises, le docteur Denis Agret, chacun d’eux emmené sous bonne escorte et retenu sous des prétextes fallacieux durant de longues périodes. Je serais curieux de savoir ce que dit la loi en la circonstance. Cependant nous ne sommes plus en démocratie. L’Etat omnipotent s’en arrange. Le droit s’est éclipsé, laissant place au bon vouloir des tyrans.
Est venu ensuite le tour des citoyens-investigateurs. Ainsi la free-lance Natacha Rey, la youtubeuse Amandine Roy, de même que l’ancien journaliste Richard Boutry en ont fait les frais. Les uns après les autres, ils ont été placés arbitrairement en garde à vue, dans le but manifeste de les inquiéter. Ce qui n’a pas empêché la planète toute entière de bruire à l’annonce de la véritable nature du couple présidentiel. La rumeur enflait : Brigitte ne serait autre que le transsexuel Jean-Michel Trogneux. Natacha Rey s’était confiée au micro d’Amandine Roy pour étayer l’hypothèse au moyen de ses enquêtes, avant que l’une et l’autre ne soient arrêtées. Services généraux, médias et avocats montèrent au créneau, les uns pour les intimider, les autres pour les discréditer et les derniers pour les poursuivre en justice. Néanmoins, par le biais des réseaux sociaux, l’affaire finit par défrayer la chronique. Les télés étrangères en firent leurs choux gras.
Dernière en date, l’arrestation de l’avocate Virginie de Araujo-Recchia. Raflée à l’aube devant ses enfants, cette femme engagée restait introuvable plusieurs heures après son détention. Que lui reprochent au juste les malfrats de l’Etat profond ? D’avoir dénoncé avec constance les violations de nos libertés fondamentales et les atteintes au droit de l’homme dans lesquelles s’est engagé le gouvernement ? D’être à l’origine de plusieurs plaintes, en premier lieu contre les ministres responsables de cette politique liberticide, puis contre les députés qui ont voté son application ? Pour ne pas mener ce combat en solitaire, elle a rejoint la commission d’enquête de Reiner Fullmich, qui dévoile, grâce à des experts comme elle, l’ampleur de l’opération criminelle en cours, dans laquelle le gouvernement français a pris toute sa part. Faut-il qu’ils soient nerveux, malgré leur pouvoir, pour redouter une mère de famille et s’en prendre à elle !
Passons à la rubrique des morts suspectes. Le pharmacien et co-auteur du Racket des laboratoires pharmaceutiques, Serge Rader, était connu pour sa farouche opposition à la vaccination contre le covid-19. Il meurt dans un hôpital de Guadeloupe le 22 mai 2021, officiellement d’un arrêt cardiaque, après avoir attrapé le covid dont il guérit, ce qui n’empêche pas les médias peu regardants de le compter parmi les victimes du virus. La mort de Serge Rader restera suspecte aux yeux de certains, et le media en 4 4 2 s’en fera l’écho en titrant sur le « danger de ne pas être en accord avec Big Pharma », et en rappelant au passage les noms des lanceurs d’alerte disparus mystérieusement, au rang desquels l’ex-employée de Merck, Brandy Vaughan, ou encore Claire Séverac qu’on ne présente plus.
La disparition d’Isabelle Ferreira n’a pas laissé non plus la toile indifférente. En effet, celle-ci devait divulguer, selon ses proches, des informations sur Brigitte Macron. Hélas, elle est retrouvée morte, apparemment noyée, à des centaines de kilomètres de chez elle. Il ne fait pas bon s’intéresser de trop près à la première dame, surtout si c’est pour contester son identité.
Il y a pléthore de morts suspectes ces temps-ci. Une liste exhaustive serait trop longue à dresser, hélas. Et comment être sûr qu’elle soit bien exhaustive ? Je citerai incidemment Stéphane Blet avec son franc-parler, qu’on retrouve défénestré, le chimiste autrichien Andreas Noack, qui mettait en garde contre la présence d’hydroxyde de graphène dans les vaccins et qu’on retrouve assassiné quelques heures plus tard, le docteur Domenico Biscardi qui décède quant à lui après avoir déclaré détenir les preuves que les vaccins recélaient des nanotechnologies et avoir eu l’intention de déposer plainte auprès de la Commission européenne… Si on désire remonter au début du covid, l’ouvrage de Philippe Aimar, Covid-19 Enquête sur un virus, tirait déjà la sonnette d’alarme sur ces morts suspectes, en lien avec le lobby pharmaceutique.
J’entends d’ici les lamentations des imbéciles heureux, qui ne savent rien et ne veulent rien savoir, et qui dénigreront quiconque s’interroge. Ces ostrogoths ne veulent pas imaginer, un seul instant, que les puissants puissent être coupables. Je ne leur confierais pas la moindre enquête de police, pas même le vol d’une gomme.
Dans cette brève énumération, vous aurez remarqué qu’il n’a pas été question des Etats-Unis, le pays où on assassine aisément les présidents. Je me suis contenté de notre beau pays, il fut un temps celui des droits de l’homme.