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Deux exemples choisis parmi d’autres dans l’actualité récente démontrent que dans cette guerre de l’information la réalité est travestie comme jamais par nos ennemis, les médias. J’en veux pour preuve le dernier défilé du 14 juillet où Macron parcourut les champs Elysées au beau milieu d’une escorte pléthorique traversant deux haies de militaires du contingent au garde à vous, l’isolant un peu plus des badauds. Tout avait été fait pour tenir à distance la populace.

Tout va très bien madame la marquise, comme le chantaient en 1935 Ray Ventura et ses Collégiens. En France, tout va très bien, tout va très bien. Pourtant il faut, il faut que l’on vous dise, on déplore un  tout petit rien, un incident, une bêtise… la France est dans la mouise !

Il y a quelques mois, des citoyens russes avaient pris l’initiative de construire une immense structure de 23 mètres de hauteur, faite de paille et de bois, et représentant la Tour de Babel. Ils y avaient ensuite mis le feu, non sans une certaine joie. Ce prodigieux brasier, allumé dans les champs de la région de Kalouga, à plus de deux cents kilomètres de Moscou, était chargé de symbole, au regard de la situation actuelle dans le monde.

Je comprends maintenant pourquoi la gauche mondialiste n’a eu de cesse de trouver des vertus au port du voile islamique. Elle ne pouvait pas le pointer du doigt comme un signe discriminatoire et puis, le moment venu, imposer le port du masque partout, jusque chez soi. Tous ceux qui se sont opposés à ces brimades l’ont fait au nom de grands principes, l’égalité et l’équité. Ils ont rejeté le dogme culturel dans un cas, l’injonction totalitaire dans l’autre. L’un comme l’autre, rien ne pouvait les justifier. Ni la religion, ni la science. Le reste n’est que baliverne et posture.

Depuis un certain temps, j’ai évité d’aborder une fois de plus la vaccination et ses dangers. Mais aujourd’hui l’accumulation indiscutable des effets secondaires observés m’a incité à faire le point. En quelques jours, les nouvelles explosent d’un peu partout. Un peu partout dans le monde, un peu partout en provenance de milieux professionnels variés. Les efforts médiatiques pour le dissimuler confinent désormais au pathétique. Ils sont une injure au bon sens. Mais la population, comme pétrifiée, en a-t-elle encore pour se rebeller ou se laissera-t-elle inoculer la dose fatale sans broncher ?

« J’ai parlé à plusieurs reprises d’Internationale nazie, parce que c’est à ça que nous avons affaire  aujourd’hui ! ». C’est en ces termes, sans fard, qu’Ariane Bilheran décrivait, il y a peu, la situation que nous traversons. Hannah Arendt nous avait prévenus d’une telle résurgence, précisa-t-elle, dans un article de 1945.

Il fut un temps où Pierre Dac se plaisait à revêtir les habits de la voyante Madame Arnica pour nous divertir et nous faire rire. Aujourd’hui hélas, ce sont les hommes forts du monde occidental qui jouent les madame Arnica, mais pas pour nous faire rire, pour nous prédire un avenir cauchemardesque dans leur boule de cristal. Ils semblent posséder ce pouvoir. Les faits n’en démordent pas, qui vont en attester. En effet, en Anthony Fauci, Bill Gates et Joe Biden nous disposons de trois beaux spécimens de voyants extralucides.

Le second tour des législatives terminé, le journaliste vedette de Sud Radio André Bercoff n’a pas manqué de le commenter. Il a fait remarquer, non sans satisfaction, combien le pouvoir des urnes conservait toute son efficacité pour endiguer l’absolutisme du pouvoir. Cependant son commentaire ressemblait davantage à un sermon destiné aux abstentionnistes. En sous entendu, il leur reprochait leur défaitisme et leur absence de confiance dans les élections. Mais les a-t-il rassurés à propos de la fraude électorale ? Bien sûr que non.