Le covid fut en effet le moment où nous vîmes les fous prendre ostensiblement les commandes. Tous affichèrent leur vrai profil de criminel que ce soit par leurs actes, que ce soit par leurs prises de position. Ils se rangent grosso modo en quatre catégories : les idéologues, les miliciens, les profiteurs de guerre et les serviteurs. J’emprunte cette taxinomie à notre philosophe préférée, en ces temps de totalitarisme débridé. Pour bien comprendre comment la machine totalitaire est entrée en action, sans quoi rien n’aurait pu se dérouler aussi aisément, nous donnerons quelques exemples.
Ecartons d’emblée le système politique dans son ensemble, largement corrompu, qui a œuvré pour le mondialisme génocidaire en toute connaissance de cause. Eux étaient les Goering de ce 4ème Reich. Nous allons plutôt parler du reste de la société civile, et passer les collaborateurs en revue.
D’abord, à tout seigneur tout honneur, il y a les idéologues, qui participent pleinement à la paranoïa de l’idéologie totalitaire. Les idéologues ont été recrutés afin d’inciter par tous les moyens à la propagation du délire paranoïaque. Evidemment, ils l’ont fait principalement au travers des médias. Ce furent des journalistes ou des intervenants, experts en tous genres et surtout en terrorisme exercé sur l’opinion publique. En vrac, évoquons les docteurs fous, les Marty, les Deray et autres Lacombe, les journalistes économiques ou politiques, les Lechypre ou les Toussaint. Eux ont eu à garder le saint des saints. Ils ont veillé à l’orthodoxie de l’idéologie covid. Le cas échéant, ils ont dû taper dur sur les hérétiques, fussent-ils les meilleurs scientifiques. Ils ont entretenu la psychose de masse. Jour après jour, ils ont lavé le cerveau des français qui ne s’aperçurent de rien et n’en sont d’ailleurs toujours pas revenus.
Les miliciens, de leur côté, ont veillé à la bonne application des mesures. Parmi eux, citons les directions des ARS, le Conseil de l’Ordre des médecins, la Haute Autorité de Santé, le Conseil scientifique bien évidemment avec son Torquemada d’opéra-bouffe, l’inepte Delfraissy, et puis le monsieur vaccination Alain Fisher jamais à court d’une contrevérité pour promouvoir son élixir de malheur. Cette liste n’est en rien exhaustive. L’article une fois terminé, je suis persuadé de trouver bien d’autres spécimens entrant dans cette catégorie.
Il y a ensuite les profiteurs de guerre. Ceux-là n’obéissent qu’à des intérêts bassement matérialistes. Mais à l’inverse de Schindler, ils n’auront jamais eu de remords. Mentionnons pour l’exemple les pharmaciens qui ont fait leur beurre avec la multiplication des tests antigéniques ou les médecins improvisés infirmiers qui ont vacciné à tour de bras, y trouvant une source confortable de revenus.