Les mondialistes ont ceci de récurrent, c’est que partout où ils tentent de faire croire qu’ils dirigent par les règles démocratiques et par la volonté des peuples, partout ils sont devenus impopulaires. Haïs qu’ils sont, ils hésitent dorénavant à mettre un pied dehors, de peur de déclencher l’ire populaire. Passons vite sur Macron. En France, nous savons tous à quel point le peuple le déteste. Depuis quand n’a-t-il pas pris un bain de foule improvisé ? A voir comment ses complices, les Darmanin, les Castex et consort ont été accueillis par la plèbe, ce n’est pas de si tôt que Macron se prendra pour Bolsonaro. Même durant la campagne présidentielle, si tant est qu’on puisse parler de campagne, il ne s’est pas hasardé à se mêler à la foule. Seule une mise en scène, une en tout et pour tout, fut organisée mêlant figurants et militants dans une enceinte sécurisée. Ce fut un simulacre de meeting, et voilà le petit despote réélu. La belle histoire ! Naïfs ceux qui croient encore à ce conte de fée.
De l’autre côté de l’Atlantique, les mondialistes ont fait élire, avec la fraude que l’on sait, Joe Biden. Ce dernier est si populaire qu’aucune foule n’a jamais assisté à un seul de ses rallyes, mais il faut dire qu’il n’en a fait aucun. Lui et son staff s’en sont bien gardés. Même lors de son accession à la tête de l’Etat américain, en lieu et place d’un public venu l’acclamer, il n’y eut qu’une forêt de drapeaux censés symboliser ceux qui l’avaient porté au pouvoir mais qui n’avaient pu se déplacer, covid oblige. C’était du moins l’argumentaire des mondialistes pour ne pas avoir à se comparer aux rassemblements de Trump. Depuis, Biden va de déconvenue en déconvenue, au mieux devant une poignée de supporters qui se comptent sur les doigts d’une main. Apparences et réalités. Pendant ce temps-là, Donald Trump sillonne les Etats-Unis rencontrant à chaque fois des foules enthousiastes. Ainsi a-t-il rempli, depuis des mois qu’il chemine de l’Arizona à l’Ohio, de l’Illinois à l’Alaska, des stades entiers. Mais cela est resté volontairement confidentiel, côté médias.
Trump, le 6 janvier 2021, réunissait autour de sa personne un million d’américains à Washington DC, en terrain ennemi, dans l’antre du mondialisme. Une foule d’un calme olympien l’écouta. Il y prononça un discours empreint de gravité, que j’ai écouté, ce jour-là, d’un bout à l’autre. Un discours que la télévision française a pris bien soin de couper au moment opportun. Ce qui prouve, une fois de plus, la préméditation du crime qui allait se produire et dont les médias se sont rendus complices. Contrairement à ce qui fut raconté par ces colporteurs de fake news, jamais aucun appel à l’insurrection ne fut lancé par Trump. Tout ce beau monde réuni autour de sa personne est resté maître de soi. Pourtant la situation était scandaleuse, le vol manifeste des élections au profit d’une caste sans foi ni loi. Mais Trump n’a jamais tenté quoi que ce soit d’insurrectionnel. Bien au contraire, tous ses mots furent à l’adresse d’un peuple écœuré de tant de mensonges et de malversations, afin de le convier à une manifestation pacifique. On aurait aimé de la part des démocrates la même retenue lors des émeutes raciales qu’ils avaient fomentées durant son mandat pour déstabiliser le pays. A contrario, ces factieux-là avaient toujours cherché par la parole et la sollicitation à mettre de l’huile sur le feu, en encourageant les dégradations et les agressions, en poussant pour le coup à un climat insurrectionnel.
La commission qui s’est constituée sur les événements du 6 janvier est une offense à l’équité. Elle est éhontément partisane. Elle cherche toujours à exploiter l’affaire qu’elle a elle-même montée de toutes pièces. Toutes les preuves abondent, que ce 6 janvier fut un nouvel incendie du Reichstag à son instigation : la complicité d’antifas notoires, déguisés en pro-Trump, celle de membres de la police incitant la foule à entrer dans le Capitole, d’agents provocateurs du FBI et même de journalistes de CNN, enfin celle de l’infecte comploteuse Pelosi qui refusa la demande de Trump de déployer la garde nationale pour assurer la sécurité du Capitole. Cette dernière préparait l’opinion à une insurrection de trumpistes, alors même que les démocrates avaient tout manigancé. Il n’était donc pas question que la troupe par sa présence fasse capoter leur plan et empêche la fausse insurrection d’avoir lieu. Toutes ces preuves ont été fournies, mais la commission démocrate continue son acte de forfaiture en accusant le camp adverse de ses propres turpitudes. Ce n’est pas nouveau, c’est même leur fabrique, l’inversion accusatoire. Candace Owens ne dit pas autre chose lorsqu'elle twitte : " Les démocrates, en collusion avec la Big Tech et la télévision d'Etat, ont toujours été les véritables insurgés."
Apparences, réalités. Réalités, apparences. Tout est bon pour raconter au peuple des fariboles. Qu’il croit à une réalité de mensonges alors que leurs mensonges sont la réalité. Le peuple a bien cru au covid. Il a cru aussi à la belle Ukraine violée par l’ours russe, à coups de larmes de crocodile versées dans les médias, de fausses rumeurs et de propagande insidieuse comme ces drapeaux jaunes et bleus flottant continuellement sur les écrans de M6 ou W9... Pourquoi ne croirait-il pas que Trump plébiscité par son peuple a perdu les élections 2020 si la chose lui est présentée d’une façon à le lui faire gober ? Pourquoi ne croirait-il pas que Biden est un grand président bien qu’il perde toutes ses guerres après les avoir déclenchées ? Pourquoi ne croirait-il pas que Bolsonaro est détesté dans le pays, en dépit des images de liesse qu’il suscite ? Pourquoi ne croirait-il pas que Macron, après avoir été une divinité romaine, est l’incarnation de De Gaulle et Mère Teresa réunies ? Le peuple est tellement crédule qu’il en vient à ne croire que l’incroyable.