Est-ce que les uns ou les autres ont eu à en pâtir ? Aucunement. Le sentiment d’impunité semble leur coller aux basques. Nous savons pourquoi. De ce point de vue-là, il n’y aucun mystère. Ils sont parvenus à infiltrer la Justice, comme ils l’ont fait avec les autres secteurs. Donc il n’y a rien d’étonnant à constater que les poursuites judiciaires de ces criminels sont étouffées ou retardées ad vitam aeternam. En revanche, lorsqu’ils souhaitent éliminer un pion de l’échiquier, même l’un des leurs, ils n’y vont pas par quatre chemins pour faire intervenir la justice, leur justice, comme lorsqu’ils ont voulu écarter François Fillon, un candidat à la présidentielle qui n’était pas leur premier choix. On le sait, leur premier choix était Macron. Attali l’a lui-même claironné à l’époque.
L’impunité dont bénéficient ces gens est une gifle à la face des peuples qui ont ouvert les yeux. Elle en devient insupportable. Comment accepter stoïquement qu’ils continuent d’occuper les places qu’ils occupent sans se voir inculper, sans passer devant des commissions parlementaires ad hoc, sans être mis devant leurs mensonges éhontés et sans qu’ils aient à répondre de leurs actes, surtout les plus ignobles et les plus criminels ? Les choses tardent tellement à prendre la bonne tournure que beaucoup désespèrent qu’il en aille ainsi prochainement. Une voix bien connue des patriotes américains exprimait récemment ce désabusement : « Le peuple américain est fatigué. Nous savons tous que quelque chose ne va pas, mais peu s’attendent à la justice, après avoir été abandonnés pendant si longtemps ». Nous avons espéré en effet la tenue d’un Nuremberg 2.0 pour que l’ampleur de l’infamie retentisse à travers la planète et il n’a pas eu lieu. Nous avons espéré que la fraude électorale disqualifie les tricheurs et les tricheurs, de Biden à Macron en passant par Lula, sont restés au pouvoir ou, pire, l’ont repris. L’impunité est un mal qui nous ronge mais qui également nous incite à redoubler d’efforts pour terrasser une fois pour toutes le dragon mondialiste.
Soyons optimistes un instant et imaginons que nous soyons parvenus à exfiltrer de nos sociétés les brutes qui agissent à nos dépends. Aubontouitefrancais nous rappelle en passant ce que cela signifierait pour la France et toute l’ampleur de la tâche : « Virer Macron […]ne serait que le début d’un long parcours du combattant consistant à sortir en un temps record de tous les organes mondialistes […] virer Soros et toutes ses ONG […] fermer tous les comités Théodule et toutes les associations idéologico-politiques, nettoyer toute la haute administration de ses parasites, revoir la Constitution en profondeur, mettre tous les pédophiles en prison à vie, virer tous les juges politisés, dissoudre le Conseil de l’Ordre des médecins, tout ça en évitant de se faire assassiner […] Autant dire que c’est pas gagné, mais c’est jouable. » Alors ne soyons pas défaitistes et supposons que le ménage ait été correctement effectué, comme l’indique notre twitteur. Après tout, des signes encourageants nous parviennent d’Amérique où le président de la Commission de surveillance de la Chambre des Représentants, James Comer, a annoncé qu’il présenterait, le 10 mai, les preuves d’un vaste complot de racket et de blanchiment d’argent, impliquant au moins neuf membres du clan Biden. Gardons donc l’espoir que le temps de l’impunité vive ses dernières heures.