Blog

On prête à Eleanor Roosevelt, l’épouse du président Franklin Delano Roosevelt, la citation suivante : « Si quelqu’un vous trahit une fois, c’est sa faute. S’il vous trahit deux fois, c’est la vôtre ». On nous a fait le coup du covid, et nous avons mis un certain temps à comprendre le subterfuge. Mais nous avions des circonstances atténuantes. Au point que certains n’ont toujours pas compris. Passons. Cette fois, rebelote, gare à la variole du singe ! Monkeypox, en anglais.

Malgré le tumulte de l’actualité qui ne manque pas d’interpeler l’observateur le moins perspicace, il n’en demeure pas moins que le grand public dort toujours du sommeil du juste. Du juste ? C’est à voir. En effet, comment continuer de dormir bien au chaud dans ses certitudes conformistes, de se draper dans son idéologie bien-pensante, alors qu’une tempête d’événements vient bousculer, que dis-je, emporter par bourrasques successives ces certitudes. Je dois reconnaître, est-ce dû à mon tempérament, que je reste coi devant la moutonnerie de mes concitoyens. Beaucoup d’entre nous ont l’impression que rien ne les fera douter. Mêmes les preuves les plus accablantes, comme la hargne de nos censeurs, ne semblent les ébranler. Que faut-il de plus à nos concitoyens pour réaliser que ces détenteurs du pouvoir ont les pires intentions à leur égard ?

Qu’il s’agisse de la manipulation du climat grâce au programme HAARP ou bien du covid avec les armes biologiques découvertes il y a peu, beaucoup ont tenu à alerter le public sur les moyens technologiques secrets dont disposaient les mondialistes. La plupart du temps, en vain. Ils essuyaient un revers à chaque tentative de convaincre les gens du bien fondé de leurs révélations. Les sceptiques, murés dans le doux confort de leur scepticisme, persistaient dans le déni plutôt que d’aller à la pêche aux informations pour se forger une opinion.