ONG : une arnaque à la Soros
Le 14/03/2025
L’Etat profond, on le constate quotidiennement, se fait fort d’instrumentaliser les individus les plus violents et les plus fanatiques : milices ukronazies, meutes d’antifas ou commandos d’islamistes, le sabre entre les dents. Il affectionne jouer sur tous les tableaux à la fois. Et il sait exploiter le potentiel de violence et d’extrémisme dont ces brutes épaisses sont capables. Il peut ensuite infiltrer les manifestations qui lui sont hostiles (cf. les Gilets Jaunes) ou fomenter ses révolutions colorées (cf. l’euromaïdan). Quand il détient l’appareil police-justice, les policiers et les juges se montrent alors complaisants envers ces agitateurs. A contrario, les mêmes sont sans pitié pour les détracteurs de l’establishment. En France, par exemple, antifas et islamistes sont particulièrement choyés par le pouvoir. La police et la justice tenues en laisse se montrent en effet d’un même laxisme coupable envers les islamo-gauchistes. On peut dire sans exagérer que toutes deux les protègent. En revanche, la moindre association qui se forme en réaction à ce pouvoir castrateur est aussitôt déclarée d’extrême-droite afin de susciter le rejet, puis est réprimée, voire carrément dissoute.