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Hervé Hannoun, ex-grand commis de l’Etat, a repris un message du pape Léon XIV à propos de l’infâme loi euthanasie votée par la macronie, le 27 mai 2025. Un message explicite qui dit : « Notre monde s’incline vers le mal. » C’est un signe des temps pour qu’un homme aussi engagé à gauche convoque le pape afin de témoigner de son indignation. Hervé Hannoun écrit : « Comment le président Macron a-t-il pu initier ce droit à l’ « aide à mourir », assortie en plus d’un « délit d’entrave » puni de prison, pour toute personne qui tenterait de dissuader un proche de procéder à son suicide assisté ! Il y a effectivement de quoi s’indigner d’un tel tournant pour notre civilisation. Et ce n’est pas là un particularisme français. En Angleterre, toujours en avance dans la barbarie, les hospices qui s’opposeraient à l’« aide à mourir », là-bas aussi, seraient en infraction. Les autorités de santé britanniques leur retireraient leur financement et ils seraient contraints de fermer. Comme certains l’ont exprimé avec désarroi : silence on tue !
La nouvelle trahison des clercs
« Les israéliens insupportent nombre d’intellectuels occidentaux parce qu’ils sont la preuve vivante de leur défaite morale. » Georges Bensoussan
A tort, celui qui déclare la guerre le premier. Voilà le dernier mantra en vogue pour mieux reprocher à Netanyahu ses frappes sur l’Iran. Soit dit en passant, les siennes visaient les installations nucléaires des mollahs, dont les buts guerriers d’éradication sont affichés, tandis que les centaines de missiles balistiques iraniens ont arrosé l’ensemble du territoire israélien, la riposte ciblant intentionnellement les civils. Ce qui ne semble pas émouvoir plus que cela les observateurs. Ainsi donc le principal fautif serait celui qui déclare la guerre le premier. C’est ce que pensent beaucoup à l’instar de La nouvelle France, qui reprend la pensée d’un ancien ambassadeur, rappelant que « la France de De Gaulle ne soutenait jamais un pays qui attaquait en premier ». Sage maxime, a priori, contre laquelle cependant je m’inscris en faux…
Un soi-disant bien pour un mal réel
Ce billet aurait tout aussi bien pu s'intituler L'enfer est pavé de bonnes intentions. Aujourd'hui, nous en avons une illustration à droite et surtout à gauche, lorsque les belles âmes se mobilisent pour dénoncer un prétendu génocide. Mais si elles savent afficher d'excellentes intentions, c'est en réalité dans le but de servir un projet infernal.
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Hervé Hannoun, ex-grand commis de l’Etat, a repris un message du pape Léon XIV à propos de l’infâme loi euthanasie votée par la macronie, le 27 mai 2025. Un message explicite qui dit : « Notre monde s’incline vers le mal. » C’est un signe des temps pour qu’un homme aussi engagé à gauche convoque le pape afin de témoigner de son indignation. Hervé Hannoun écrit : « Comment le président Macron a-t-il pu initier ce droit à l’ « aide à mourir », assortie en plus d’un « délit d’entrave » puni de prison, pour toute personne qui tenterait de dissuader un proche de procéder à son suicide assisté ! Il y a effectivement de quoi s’indigner d’un tel tournant pour notre civilisation. Et ce n’est pas là un particularisme français. En Angleterre, toujours en avance dans la barbarie, les hospices qui s’opposeraient à l’« aide à mourir », là-bas aussi, seraient en infraction. Les autorités de santé britanniques leur retireraient leur financement et ils seraient contraints de fermer. Comme certains l’ont exprimé avec désarroi : silence on tue !
« Ce sont des assassins. Ils nous tueront tous ! »
S’il fallait aux plus incrédules des preuves que nos dirigeants sont prêts à tous les crimes pour accéder au pouvoir et le conserver, l’affaire Boulin en serait une. Peut-être la plus éminente preuve. Aujourd’hui sont apparus sur la place publique plusieurs témoignages éloquents, celui de la fille de Robert Boulin, Fabienne, celui d’Elio Darmon, le témoin de la dernière heure, et enfin celui de Bernard Fonfred, l’assistant parlementaire de Robert Boulin. Leurs révélations ne laissent guère de doute sur les commanditaires de l’assassinat du ministre Boulin. Celui-ci ne s’est pas suicidé, comme les autorités ont tenté de le faire croire, mais a bien été tué après passage à tabac et abandonné au bord d’un étang, en pleine forêt de Rambouillet, dans la nuit du 29 au 30 octobre 1979. La caste, emmenée par ses figures les plus déterminées, règle toujours ses comptes à ceux qui lui mettent des bâtons dans les roues, fût-ce au moyen d’un tromblon.
Kinsey, un patronyme sulfureux
Notre naïveté s’est faite la complice des bourreaux. Nous devons plaider coupables. Comment avoir cru que l’évolution des mœurs sexuelles dans nos sociétés occidentales ne le devait qu’à une prise de conscience collective et à une adhésion progressive à des valeurs plus universelles ? La découverte, récente, en ce qui me concerne, du père de la révolution sexuelle, le Dr Alfred Kinsey, et de la nature du personnage, a jeté une lumière crue sur les origines de cette révolution et sur ses conséquences actuelles. Données biaisées, rapports montés en épingle, travaux subventionnés par les Rockefeller et supervisés par la CIA, et, par-dessus tout, viols pratiqués sur des enfants au nom de la science…
Date de dernière mise à jour : 02/07/2023