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L’alpha et l’oméga du camp du bien : l’inversion des valeurs
Le spécialiste de l’Etat profond français, Paul-Antoine Martin, réagissait à la mort tragique du gendarme de Mougins, Eric Comyn, lors d’un contrôle routier. Sa réaction semble avoir été contenue dans un premier temps avant d’exploser. Et en cela elle présente de l’intérêt. Comme pour bien des français, cet acte odieux après tant d’autres a fini de remplir la marmite d’indignations. La coupe est pleine. Leurs dirigeants, qui ont exécuté méthodiquement un tel programme de destruction, sont aujourd’hui pointés du doigt, et tôt ou tard ils devront rendre des comptes au pays meurtri.
Le choc des photos, le poids des maux
Au cours de ma carrière il m’est arrivé d’avoir à m’occuper de travaux personnels encadrés. Je me souviens de l’un d’entre eux ; il s’agissait d’exposer les méthodes par lesquelles certains pouvoirs détournaient des images à leur avantage. Pour aider le groupe de lycéens qui avaient choisi ce sujet, j’avais en tête de leur montrer en exemple celui d’une une de Libé, dans les années 2000, montrant un soldat israélien, s’approchant d’un air violent face à la caméra et à ses pieds le corps gisant d’un palestinien. Cette histoire avait fait grand bruit, car, après enquête, il s’agissait non pas d’un palestinien violenté par la soldatesque israélienne mais par une bande d’agresseurs. Le soldat n’avait voulu que lui porter secours en les faisant fuir. Avant cette mise au point, l’image avait été utilisée par la presse islamo-gauchiste pour décrier une fois de plus la brutalité de l’Etat hébreu. Il me semble que Libé avait finalement effectué un correctif, en quatrième de couverture bien entendu, et une semaine plus tard. Libération porte décidément très mal son nom !
Une passe d’armes a eu lieu ces derniers jours entre Alexis Cossette, dont vous savez que j’apprécie la finesse des analyses, et Salim Laïbi. Tous deux ont bataillé côte à côte au temps du covid pour dévoiler la supercherie dont nous étions victimes. Tous deux n’ont pas hésité à accuser les maîtres d’œuvre, aux Etats-Unis comme en France et ailleurs. Seulement, les dissensions n’ont pas tardé à apparaître. Et pas sur des sujets secondaires, qui pourraient justifier qu’on jette un voile discret par-dessus. Non, cela a commencé lorsque certains comme Laïbi ont dénigré Trump. Je savais déjà quelle en était la raison. L’homme politique lui déplaisait, pour le seul motif qu’il avait dans le passé soutenu l’Etat d’Israël. Alors président, il avait installé son ambassade à Jérusalem et reconnu la ville sainte comme capitale de l’Etat hébreu. Autant dire, pour Salim Laïbi, que c’était un crime de lèse majesté contre la Oumma. Des millions de musulmans n’aspirent en effet qu’à supprimer Israël de la carte. Et personne évidemment pour traiter ceux-là de jusqu’au-boutistes !
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La mondialisation a été, ces vingt dernières années, un sujet rebattu. Sous tous les angles... ou presque. Une des facettes a été passée sous silence toutefois. Il a fallu attendre 2020 pour la découvrir sous les feux des projecteurs. Les tyrans mondialistes qu’on voit à l’œuvre partout de par le monde sont tous sortis d’un même moule, venus d’une unique fabrique : le Forum Economique Mondial. Le capitaine de cette industrie scélérate n’est autre que son créateur Klaus Schwab.
Ceux qui se sont donné le mot d’ordre de détruire la France, l’Europe et les Etats-Unis, tablent sur la violence pour remplacer ce qui tient lieu de culture à ces pays. C’est à cela que participe le grand remplacement des populations autochtones par l’immigration de masse. Les migrants sciemment privilégiés par l’élite étant pour certains vecteurs de violence, que ce soit les mafias d’Amérique centrale vis-à-vis des Etats-Unis, que ce soit les djihadistes vis-à-vis de l’Europe, le stratagème est d’offrir en pâture à ces janissaires assoiffés de sang les peuples historiques d’occident.
Accordons-nous un moment de réflexion ou plutôt d’introspection au milieu du tumulte. Ce n’est pas pour autant que la marche du monde en sera affectée, n’est-ce pas ? Restons humble. Je vais donc faire écho ici à un souvenir qui me revient souvent. Celui d’une parenthèse enchantée, pour reprendre une expression hélas galvaudée. Nous sommes au début des années 2000. J’avais pour mission de visiter une étudiante sur le site du Commissariat à l’Energie Atomique, au sud de Paris, où elle faisait un stage. L’équipe d’ingénieurs au sein de laquelle elle avait travaillé m’accueillit comme il se doit, et même mieux que cela. On avait mis les petits plats dans les grands pour ma venue. Durant la journée, l’équipe redoubla d’amabilité et de prévenance à mon égard. Ce fut pour moi un vrai retour en arrière au temps où le savoir-vivre était de mise, celui de mes jeunes années.
Date de dernière mise à jour : 02/07/2023
