Mais l’Etat profond américain se débat. Il n’entend pas se laisser terrasser. Le fait est que la nouvelle administration éprouve bien des difficultés à faire nommer au gouvernement les personnalités les plus résolues comme Tulsi Gabbard, Robert Kennedy Jr, Kash Patel ou Pete Hegseth. Le Deep State ne s’y trompe pas en les voyant arriver à des postes clés. En particulier Big Pharma qui craint le grand coup de balai que pourrait passer RFK Jr. Lors de son audition au Capitole, nous les avons vus ces parlementaires vendus à Big Pharma lui tenir tête, fulminant contre sa nomination au Département de la santé. On comprend bien pourquoi. Parmi eux, on retrouve une figure démocrate bien connue, Bernie Sanders, un socialiste moralisateur à qui Big Pharma a versé plus de 20 millions de pots de vin ! Ce qui n’empêche pas le roublard de s’en défendre, un tantinet irrité.
Mais, telle Némésis, Trump ne tremble pas pour croiser le fer et frapper fort le Deep State. Lui ou ses lieutenants ne reculent pas au moment de hausser le ton contre les manœuvres de la pieuvre. Ainsi le général Flynn, qui s’était fait oublier un temps, déclare sur X en capitales d’imprimerie : « CECI EST MON DERNIER AVERTISSEMENT… S’IL Y A DES PERSONNES AU SEIN DE L’ODNI, DE LA CIA OU DU FBI QUI TRAVAILLENT A SUBVERTIR LES NOMINATIONS DE TULSI GABBARD, KASH PATEL OU ROBERT KENNEDY JR, JE VOUS ECRIS POUR VOUS DIRE QUE VOUS FERIEZ MIEUX D’ARRETER MAINTENANT ET DE REFLECHIR AVANT D’ALLER PLUS LOIN… IL FAUT QUE CELA CESSE ET SI CE N’EST PAS LE CAS, VOUS SEREZ PRIS ET POURSUIVIS AVEC TOUTE LA RIGUEUR DE LA LOI. » Avis aux amateurs.
Les bonnes nouvelles s’amoncèlent néanmoins à un rythme effréné. Les GAFAM ont été mis au pas. Selon un article du WSJ, Google décide d’abandonner « ses politiques de diversité, d’égalité et d’inclusion lors de l’embauche de nouveaux employés ». Le DOGE, Elon Musk donc, ayant voulu examiner les comptes du Trésor, son plus haut fonctionnaire, David Lebryk, a été mis sur la touche, avant qu’il ne démissionne de lui-même. La raison ? Le DOGE aurait découvert que les agents du Trésor avaient pour « instruction de toujours approuver les paiements, y compris ceux destinés à des groupes frauduleux et terroristes ». De plus, les principaux responsables démocrates du Trésor ont été licenciés ou mis en congé forcé. Trump s’attaque ainsi au compte en banque de l’Etat profond. Il reprend la main sur le nerf de la guerre.
Evidemment, nous attendons tous que Trump réalise ce que JFK n’a pu exécuter et qui aurait empêché son assassinat, à savoir l’épuration des agences à trois lettres. En ce qui concerne le FBI, les employés du Bureau qui ont trempé dans l’inculpation des prétendus émeutiers du 6 Janvier, ils sont au nombre de 5 000, devraient encourir très prochainement un licenciement sec. Pour les autres qui se sont compromis, le mot d’ordre venu d’en-haut est : démissionnez, prenez votre retraite ou vous serez licencié ! Le septième étage du FBI, celui des hauts responsables, a été entièrement vidé. A travers tout le pays, les dirigeants corrompus du FBI ont été révoqués. La purge est historique. Côté CIA, l’ex-directeur John Brennan s’est vu retirer toute habilitation à entrer dans un bâtiment fédéral. Pour ce traitre par excellence, le marteau est tombé. La purge de ce haut lieu du complot est sur le point de débuter. Les habilitations des 51 agents « doubles » de la CIA qui ont menti dans une déclaration blanchissant Hunter Biden à propos de son laptop et qui ont interféré dans l’élection 2020 en protégeant ainsi Joe Biden, leur ont retirées. Concernant le reste du personnel, Trump a proposé à la CIA le rachat de tous ses employés. S’ils quittent leur poste sur le champ, ils recevront l’équivalent de 8 mois de salaire. Gare cependant aux agents déloyaux qui ne voudront pas partir ! La réponse de Trump est à la hauteur du niveau de gangrène qui y est endémique. Le nouveau boss ne rigole plus. Et son bras vengeur s’abat sans faiblir sur la Babylone du globalo-fascisme.
A travers maintes révélations, Fauci est plus que jamais montré du doigt. Il a ainsi envoyé 40 millions de dollars à un scientifique du labo de Wuhan pour travailler sur l’émergence des coronavirus de chauve-souris. Ce financement s’est achevé en 2019 ! Et ce scientifique est devenu le patient zéro du covid 19. Bill Gates est lui-même sur la sellette. Il a dû lâcher du leste et reconnaître son implication dans l’Affaire Epstein. Mais il pleurniche à cause de la fermeture de l’USAID dont on va reparler. Il est vrai qu’il ne pourra plus faire sans cette organisation autant d’affaires juteuses. Avec la cessation des activités subversives de l’USAID, ce sont les Soros père et fils qui sont aussi touchés. Comme le dit un internaute, « la cible de la purge de l’USAID était George Soros ». Ainsi aucune grande figure de l’establishment n’est épargnée. Par ces mesures coercitives, les têtes sont mises hors d’état de nuire. Ensuite, quand elles seront à terre, il sera temps de passer au menu fretin à l’échelle du pays. Mais nous avons déjà expliqué comment Trump comptait s’y prendre en pulvérisant les institutions infestées et en neutralisant leur personnel douteux.