Crimes du globalofascisme et Châtiments de Trump

Le 10/02/2025

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Maintenant que Donald Trump a repris officiellement les rênes du pouvoir aux Etats-Unis, la grande question qui se pose est de savoir dans quelle mesure il peut avoir raison du système globaliste une fois pour toutes. En premier lieu, a-t-il commencé à le saper ? Par ricochet, quel sera pour nous le résultat de son bras de fer avec les instances européennes. Le retour de Trump signera-t-il non seulement l’assainissement de la politique américaine mais aussi la débâcle de la Commission européenne ?

Rappelons d’abord qu’il s’est écoulé à peine trois semaines depuis l’investiture de Trump, avant de dresser ce bilan provisoire. Les premières actions de son administration donnent déjà le tournis. La reconduite à la frontière de millions de migrants n’a pas tardé à être mise en œuvre et l’épreuve de force avec le président colombien et la présidente mexicaine pour qu’ils ne fassent pas obstruction au renvoi de leurs ressortissants a porté ses fruits. Victoire totale pour Trump, grâce à ses menaces aux frais de douane et peut-être plus. Quant au différend avec le Panama, la pression qu’il a exercée sur les autorités panaméennes a été si irrésistible qu’elles ont cédé. Les cartels mexicains, à l’origine de tous les trafics dont celui d’enfants, sont aussi dans son collimateur. Des signaux en provenance de la Marine et de l’Aviation américaines le corroborent.

On apprend également, au moment où j’écris ces lignes, par des fuites dans la presse en quoi consiste le plan de Trump pour mettre fin aux hostilités entre l’Ukraine et la Russie. Par la même occasion qu’il mettrait fin à une guerre en Europe, il coupe l’herbe sous le pied de l’UE et de l’OTAN. Ceux qui font commerce de mauvaise foi diront qu’il n’aura pas réussi à ramener la paix en 48 heures, comme il l’avait annoncé. Ces gens-là font preuve d’une incroyable mesquinerie, d’autant plus qu’ils ont été jusqu’ici bien silencieux quant aux fauteurs de guerre atlantistes. Aussi ne leur accordons plus la moindre attention.

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D’autres actes forts sont à mettre au crédit de Trump, qui réhabilite la notion de pouvoir exécutif : la sortie des accords de Paris sur le climat, l’interdiction des opérations de changement de sexe en dessous de 19 ans et l’éviction des écoles du wokisme et autre théorie du genre. Citons encore la sortie des Etats-Unis de l’OMS, mais aussi du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Souvenons-nous de cette mascarade de Conseil des Droits de l’Homme, lorsque certains de ses forums étaient présidés par des dictatures moyen-orientales notoires comme l’Iran. Parallèlement, Trump a mis fin au financement de l’UNRWA. Cette agence est bien connue pour être l’éternelle béquille du fanatisme palestinien. Même la CPI n’a pas été épargnée. Ses membres ainsi que leurs familles se sont fait sanctionner pour cause de persécution. Certains commentateurs découvrent que Trump fait passer les intérêts de l’Amérique avant tout. Il serait temps qu’ils ouvrent les yeux. Et ses menaces de droits de douane qu’ils osent appeler du rançonnage ne sont jamais que ce qu’on appelait autrefois d’âpres négociations.

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Mais l’Etat profond américain se débat. Il n’entend pas se laisser terrasser. Le fait est que la nouvelle administration éprouve bien des difficultés à faire nommer au gouvernement les personnalités les plus résolues comme Tulsi Gabbard, Robert Kennedy Jr, Kash Patel ou Pete Hegseth. Le Deep State ne s’y trompe pas en les voyant arriver à des postes clés. En particulier Big Pharma qui craint le grand coup de balai que pourrait passer RFK Jr. Lors de son audition au Capitole, nous les avons vus ces parlementaires vendus à Big Pharma lui tenir tête, fulminant contre sa nomination au Département de la santé. On comprend bien pourquoi. Parmi eux, on retrouve une figure démocrate bien connue, Bernie Sanders, un socialiste moralisateur à qui Big Pharma a versé plus de 20 millions de pots de vin ! Ce qui n’empêche pas le roublard de s’en défendre, un tantinet irrité.

Mais, telle Némésis, Trump ne tremble pas pour croiser le fer et frapper fort le Deep State. Lui ou ses lieutenants ne reculent pas au moment de hausser le ton contre les manœuvres de la pieuvre. Ainsi le général Flynn, qui s’était fait oublier un temps, déclare sur X en capitales d’imprimerie : « CECI EST MON DERNIER AVERTISSEMENT… S’IL Y A DES PERSONNES AU SEIN DE L’ODNI, DE LA CIA OU DU FBI QUI TRAVAILLENT A SUBVERTIR LES NOMINATIONS DE TULSI GABBARD, KASH PATEL OU ROBERT KENNEDY JR, JE VOUS ECRIS POUR VOUS DIRE QUE VOUS FERIEZ MIEUX D’ARRETER MAINTENANT ET DE REFLECHIR AVANT D’ALLER PLUS LOIN… IL FAUT QUE CELA CESSE ET SI CE N’EST PAS LE CAS, VOUS SEREZ PRIS ET POURSUIVIS AVEC TOUTE LA RIGUEUR DE LA LOI. » Avis aux amateurs.

Les bonnes nouvelles s’amoncèlent néanmoins à un rythme effréné. Les GAFAM ont été mis au pas. Selon un article du WSJ, Google décide d’abandonner « ses politiques de diversité, d’égalité et d’inclusion lors de l’embauche de nouveaux employés ». Le DOGE, Elon Musk donc, ayant voulu examiner les comptes du Trésor, son plus haut fonctionnaire, David Lebryk, a été mis sur la touche, avant qu’il ne démissionne de lui-même. La raison ? Le DOGE aurait découvert que les agents du Trésor avaient pour « instruction de toujours approuver les paiements, y compris ceux destinés à des groupes frauduleux et terroristes ». De plus, les principaux responsables démocrates du Trésor ont été licenciés ou mis en congé forcé. Trump s’attaque ainsi au compte en banque de l’Etat profond. Il reprend la main sur le nerf de la guerre.

Evidemment, nous attendons tous que Trump réalise ce que JFK n’a pu exécuter et qui aurait empêché son assassinat, à savoir l’épuration des agences à trois lettres. En ce qui concerne le FBI, les employés du Bureau qui ont trempé dans l’inculpation des prétendus émeutiers du 6 Janvier, ils sont au nombre de 5 000, devraient encourir très prochainement un licenciement sec. Pour les autres qui se sont compromis, le mot d’ordre venu d’en-haut est : démissionnez, prenez votre retraite ou vous serez licencié ! Le septième étage du FBI, celui des hauts responsables, a été entièrement vidé. A travers tout le pays, les dirigeants corrompus du FBI ont été révoqués. La purge est historique. Côté CIA, l’ex-directeur John Brennan s’est vu retirer toute habilitation à entrer dans un bâtiment fédéral. Pour ce traitre par excellence, le marteau est tombé. La purge de ce haut lieu du complot est sur le point de débuter. Les habilitations des 51 agents « doubles » de la CIA qui ont menti dans une déclaration blanchissant Hunter Biden à propos de son laptop et qui ont interféré dans l’élection 2020 en protégeant ainsi Joe Biden, leur ont retirées. Concernant le reste du personnel, Trump a proposé à la CIA le rachat de tous ses employés. S’ils quittent leur poste sur le champ, ils recevront l’équivalent de 8 mois de salaire. Gare cependant aux agents déloyaux qui ne voudront pas partir ! La réponse de Trump est à la hauteur du niveau de gangrène qui y est endémique. Le nouveau boss ne rigole plus. Et son bras vengeur s’abat sans faiblir sur la Babylone du globalo-fascisme.

A travers maintes révélations, Fauci est plus que jamais montré du doigt. Il a ainsi envoyé 40 millions de dollars à un scientifique du labo de Wuhan pour travailler sur l’émergence des coronavirus de chauve-souris. Ce financement s’est achevé en 2019 ! Et ce scientifique est devenu le patient zéro du covid 19. Bill Gates est lui-même sur la sellette. Il a dû lâcher du leste et reconnaître son implication dans l’Affaire Epstein. Mais il pleurniche à cause de la fermeture de l’USAID dont on va reparler. Il est vrai qu’il ne pourra plus faire sans cette organisation autant d’affaires juteuses. Avec la cessation des activités subversives de l’USAID, ce sont les Soros père et fils qui sont aussi touchés. Comme le dit un internaute, « la cible de la purge de l’USAID était George Soros ». Ainsi aucune grande figure de l’establishment n’est épargnée. Par ces mesures coercitives, les têtes sont mises hors d’état de nuire. Ensuite, quand elles seront à terre, il sera temps de passer au menu fretin à l’échelle du pays. Mais nous avons déjà expliqué comment Trump comptait s’y prendre en pulvérisant les institutions infestées et en neutralisant leur personnel douteux.

Alors à quand les Soros à terre ? Quand entendrons-nous le fracas retentissant de leur chute ? Quand mordront-ils la poussière ? Musk dit de George Soros qu’il hait fondamentalement l’humanité, ce que nous avait déjà confié Charles Gave qui le connait et l’a rencontré. Et c’est bien ce clan Soros qui fait le plus de mal aux européens. Alors, faisons confiance encore une fois à Donald Trump. D’ailleurs, n’a-t-il pas déjà fait tomber la foudre sur l’USAID ? Cet organisme est en réalité une façade de la CIA. Il a servi de caisse noire pour mener les pires coups fourrés : renverser des gouvernements étrangers, comme en 2014 en Ukraine (pour le coût de 5 milliards), monter des laboratoires biologiques comme ceux d’Ukraine afin d’y transformer des agents pathogènes en armes biologiques ou encore financer la recherche sur les gains de fonction au laboratoire de Wuhan. « Saviez-vous, balance Musk en se tournant vers ses compatriotes, que l’USAID, avec l’argent de vos impôts, a financé la recherche sur les armes biologiques, notamment le covid 19 qui a tué des millions de personnes ? » Alexandre Dugin considère, lui, que l’USAID est l’antichambre qui mène là où réside le monstre du marais.

Le sigle USAID est en lui-même une imposture. Il laisse entendre avec ses 3 lettres finales que cette officine fournit une aide à l’international. On pourrait penser qu’elle dispense une aide humanitaire à travers le monde entier. En réalité, AID signifie Agency for International Development. Il n’est donc aucunement question d’aider qui que ce soit. Et, en fait de développement international, il est surtout question de s’ingérer dans la politique de pays étrangers.

Qu’Elon Musk décide de fourrer son nez dans les petites affaires de l’USAID a fait mouche et a révélé le scandale. Musk a mis en avant ce qui n’aurait pu être qu’une officine de plus dans la galaxie du Deep State. Certes l’USAID est inconnue des français et, je suppose, de bien des américains qui pourtant la subventionnaient jusqu’à présent à concurrence de 50 milliards. Mais, après la publication des informations la concernant, elle apparait comme l’une des plus imposantes vitrines de la CIA. Musk l’a qualifiée d’organisation criminelle. « Il est temps qu’elle disparaisse », a-t-il ajouté. Et, ni une ni deux, tous ses membres se sont retrouvés au chômage, le 7 février. Seuls quelques employés triés sur le volet par l’administration Trump ont conservé leur poste. En attendant une refonte, l’USAID a été fermée.

L’USAID travaillait dans l’opacité la plus complète. Au besoin, elle court-circuitait le président en se passant de son accord, comme ce fut le cas sous le premier mandat de Trump. Avec le scandale de l’USAID, c’est la corne d’abondance des réseaux Soros qui vient de se tarir. Plus question d’arroser à tout va politiciens, MSM, journaux, radios, juges, procureurs, ONG… Mais les Soros n’étaient pas les seuls milliardaires à bénéficier des largesses de l’Etat américain avec l’argent des contribuables. Bill Gates et le FEM de Davos ont été également de grands bénéficiaires. L’USAID a ainsi arrosé le géant Pfizer et la fondation GAVI de Bill Gates. Toutefois, selon le groupe de réflexion conservateur Heritage Foundation, depuis 2009, l’Open Society de Soros a décroché le titre de « principal exécutant de l’aide de l’USAID ».

Mais ce n’est pas tout. Derrière les efforts de censure contre tout ce qui détruit le discours officiel des mondialistes, il y a encore et toujours l’USAID. Elle gère le programme de censure mondiale d’internet. Elle finance par exemple les lobbies de fact-checking ou encore l’ONG secrète Internews qui a participé à la censure des médias sociaux et au contrôle des médias mainstream. L’USAID achète carrément plus de 6200 journalistes dans 707 médias, parmi lesquels Politico, la BBC, l’agence de presse Reuters, sans oublier l’AFP (un demi-million de dollars). Rien ne semble lui avoir échappé.

Mais ce n’est pas tout. Elle finance 3000 ONG pour accompagner les programmes de submersion migratoire, le transgenrisme, le wokisme (programmes DEI), la politique de dépopulation sous couvert de « planning familial » ou le réchauffement climatique. Et elle est même impliquée dans la culture de l’opium en Afghanistan, cet opium qui sert à produire l’héroïne. On a appris encore que l’USAID était le premier bailleur de fonds des ONG françaises, vous savez ces ONG qui prétendent innocemment faire de l’humanitaire mais qui appliquent les plans du milliardaire Soros pour pouvoir vivre de ses subsides.

Mais ce n’est pas tout. En ayant soutenu financièrement l’Atlantic Council, l’USAID s’est assurée d’avoir un homme à elle au sein du gouvernement français, et pas à un poste secondaire. Il faut en effet savoir que Benjamin Haddad, l’ex-directeur de l’Atlantic Council, financée donc par l’USAID, est devenu ensuite ministre délégué chargé de l’Europe, d’abord sous Barnier puis sous Bayrou. Lorsqu’on connait le contexte, il est évident qu’Haddad a tout de l’agent de liaison pour le compte de l’USAID ou de sa petite sœur l’EuropeAID. Quant à Glucksmann, autre exemple d’homme politique en mission pour le compte du Deep State, on peut légitimement s’interroger. Sur le compte de qui agissait-il réellement, lorsqu’il était conseiller en Géorgie ou en Ukraine ? Nous connaissons bien entendu la réponse. Et lorsqu’on sait qu’il y a été incité par BHL à la suite d’un appel téléphonique, on n’en doute plus.

Mais l’USAID ne se limite pas à cet éventail, pourtant large, de forfaitures. Il lui faut aussi financer le Hamas à hauteur de plusieurs centaines de millions de dollars ! Certains accusent Trump de favoriser indument Israël et les sionistes, mais on ne les entend plus quand il s’agit de reprocher à Biden d’avoir alimenté les caisses du Hamas bien mieux que le Qatar. Et pourtant, les preuves sont là, il y aurait de quoi s’insurger ! Mais sur ce point ces antisionistes préfèrent se faire discrets.

On se demande ce qu’on va pouvoir encore découvrir sur ce cabinet noir. M’est avis que ce n’est pas terminé. Mais revenons-en à l’Europe. Qu’a prévu la nouvelle Amérique en ce qui concerne ses rapports avec elle ? Ce chapitre de géopolitique nous touche au plus haut point. Outre que les « populistes » ont le vent en poupe un peu partout, l’UE se retrouve isolée. Elle ressemble de plus en plus à un fortin sans aucun chef. Elle ne parvient plus à mettre en sourdine le chahut qui règne dans ses rangs. L’UE est devenue un Fort Chabrol. D’où ses réactions désordonnées et emportées ! Von der Leyen semble même tétanisée, incapable de choisir une ligne de conduite face au grand méchant loup et à ses crocs bien apparents. Alors, que fera Trump contre ce machin ? Il semble pour l’heure vouloir ignorer l’UE. Il ne lui accorde aucune attention. Et il entend négocier de gré à gré avec chaque nation, indépendamment de toute instance supranationale.

Une interview récente de Vladimir Poutine sur la chaîne Sputnik nous en dit plus. Elle laisse espérer, après le démantèlement du Deep State, celui de l’Europe de la trahison. Son avis sur le sujet est digne d’intérêt. « En ce moment, explique-t-il avec un certain recul, il y a des frictions entre les élites politiques européennes et le président Trump. […] Sous Biden, elles étaient heureuses de faire tout ce que Washington leur ordonnait de faire. Or, Trump, ils ne l’aiment tout simplement pas. Ils l’ont combattu activement. Ils ont assurément interféré dans la vie politique et le processus électoral américain. Et puis ils ont perdu. Trump l’a emporté […] Mais je vous assure, avec son caractère, avec sa persévérance, Trump va mettre de l’ordre là-dedans assez vite. Et tous, attendez de voir, cela va arriver rapidement, ils se coucheront aux pieds de leur maître et remueront docilement la queue. » A voir la tournure des événements, parions que l’oracle russe est dans le vrai. Viktor Orban le croit lui aussi. « Hier nous avons tenu à Bruxelles, a-t-il déclaré, le premier sommet de l’UE depuis l’entrée en fonction du président Trump. C’était un rassemblement étrange. Tout le monde à Bruxelles voit venir la tornade Trump, mais la plupart pensent encore pouvoir y échapper. Ce ne sera pas le cas. »¾

 

Photo d’illustration :  Tweet d’Alexandre Dugin à propos de l’USAID, au cœur du Deep State.

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