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Morts sur ordonnance

Le 24/08/2023

Dans Actualités

La question a été posée à Robert Kennedy Jr, à savoir le rôle de la CIA a-t-il changé de nature entre l’époque où celle-ci assassinait JFK et la nôtre ? Son neveu a répondu que son rôle était devenu plus insidieux mais qu’au temps, où son oncle gouvernait les Etats-Unis, la CIA avait davantage recours à l’assassinat de dirigeants politiques. Son père lui-même au seuil de la Maison Blanche connut le même sort.

Pour répondre à cette question, la période covid fournira matière à réflexion. En 2020, le mondialisme est passé ouvertement à l’offensive. Devant certaines résistances, ici ou là, il lui a fallu les écraser définitivement. Je pense tout particulièrement à ces dirigeants réticents à courber l’échine face à la vague scélérate de la machine mondialiste. Le continent africain s’est en particulier illustré. Beaucoup de ses leaders ont eu l’audace de ne pas suivre les consignes des instances aux commandes, telle l’OMS. La plupart d’entre eux le paieront de leur vie. C’est ainsi que les mondialistes règlent leurs comptes aux irréductibles. Par le meurtre ! L’élimination comme dans les années 60. N’oublions qu’au moment de la passation de pouvoir entre Eisenhower et JFK le congolais Patrice Lumumba, alors premier ministre, était assassiné par la CIA d’Allen Dulles. Comme on va s’en apercevoir, les bonnes vieilles méthodes ont la vie dure.

Soixante ans plus tard, voici qu’il en est. Les faits ont été collationnés par la très sérieuse kla tv. D’abord en Tanzanie, le président John Magufuli, s’étant opposé aux tests PCR et aux statistiques officielles du covid dès juin 2020 et ayant déclaré le pays exempt de covid, décide de refuser de vacciner ses concitoyens. Aussitôt, par le truchement de sa fondation, la Bill & Melinda Gates Foundation, le charlatan Bill déclare que Magufuli est un danger. Le téméraire mourra peu après d’une obscure maladie, et avec lui, dans la charrette des condamnés, des personnalités comme le ministre du travail, le secrétaire en chef, le secrétaire d’Etat, le directeur de la Banque de Tanzanie et le vice-président de Zanzibar. La femme qui succèdera à Magufuli s’empressera d’appliquer à la lettre le plan covidiste.

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Le président Magufuli sur kla tv

 

Passons au Burundi maintenant. Pierre Nkurunziza s’opposa également aux mesures covidistes. Il ne survivra pas au printemps 2020. Il meurt le 8 juin, prétendument d’une crise cardiaque. Un covidiste pur et dur prendra la relève. On sait, depuis la Commission Church qui s’est tenue en 1975, de quelle façon la CIA est capable d’éliminer sa cible en simulant une crise cardiaque. Depuis, elle a eu largement le temps de peaufiner son arme fatale.

L’Eswatini, un petit pays d’Afrique australe, a lui aussi compté un martyr, son premier ministre Ambrose Dlamini. Celui-ci décède le 13 décembre 2020, soi-disant du covid, ainsi que deux de ses ministres. Dlamini privilégiait des mesures beaucoup trop éloignées des plans covidistes. Un mois après sa mort, le pays se résignait à commander des vaccins. Le message était passé.

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Morts suspectes de dirigeants africains

 

De leur côté, l’Afrique du Sud, le Zimbabwe et le Malawi ont eu à déplorer de quatre à douze morts parmi leur personnel politique, en une seule semaine. Certains s’élevaient contre les confinements. Comme de bien entendu, tous ont été déclarés morts du covid. Au fait, y a-t-il eu des morts du covid dans le gouvernement Macron ? Aucun puisqu’une fois malades ils se soignaient avec les traitements interdits ! Seuls mouraient leurs contradicteurs. Les mondialistes faisaient ainsi d’une pierre deux coups. D’une part, ces hommes politiques ne leur barraient plus la route. D’autre part leur mort allait gonfler les chiffres frelatés du covid afin de relancer la psychose.

Changeons de continent avec Haïti. Le pays ne respectait pas les mesures des covidistes et voulait encore moins de leurs vaccins. Le 7 juillet 2021, le président Jovenel Moïse se fait assassiner, à l’ancienne, par un escadron de la mort. Débutera ensuite une vaste campagne de vaccination.

Finissons par l’Allemagne, le centre de la très mondialiste Europe. L’Allemagne brillera davantage que la France dans la résistance à la folie covidiste. Trois hommes et pas des moindres se sont élevés contre elle. Thomas Oppermann, le vice-président du Bundestag, s’est ainsi opposé à Angela Merkel. Il décède le 25 octobre 2020, de cause inconnue. Puis Mario Ohoven, président de l’Association des PME, qui s’était dressé contre un second confinement, perd la vie dans un accident de voiture, cette autre méthode bien commode pour se débarrasser d’un gêneur. Enfin Franz Klein, chef de l’Association des hôtels et restaurants de Hambourg, meurt le 2 novembre 2020, lui aussi de cause inconnue. Le confinement tant décrié aura lieu et, après lui, la vaccination.

Les rebelles à l’oligarchie font probablement l’objet d’un contrat, comme on dit dans le milieu de la pègre. Ils décèdent opportunément du fait d’opérations clandestines que la CIA sous-traite, de toute évidence, à des tueurs à gages.

Certains me rétorqueront que je vais vite en besogne pour accuser l’Agence et ses donneurs d’ordre. Quand on contrôle les trafics d’enfants et de drogue, quand on contrôle les médias, quand on détient tous les pouvoirs au point de fomenter des attentats, des guerres et des révolutions, pensez-vous qu’on recule devant quelques meurtres ? L’histoire a montré que non. Décidément, la probabilité que la CIA ne soit pas derrière ces morts est aussi faible que la probabilité que l’élection de Biden se soit déroulée en toute intégrité. Quelle probabilité y a t-il que tous ces dirigeants africains soient morts de leur belle mort dans la fleur de l’âge, en même temps, et que leurs successeurs aient viré de bord dans leur politique sur le covid ?

Devant pareille avalanche de morts suspectes, je me suis souvenu d’un film de Jacques Rouffio, sorti en 1975 et intitulé 7 morts sur ordonnances. Il eut à l’époque un succès foudroyant.

L’histoire est celle de deux médecins d’une ville de province, à dix ans d’intervalle, qui se retrouvent en butte à une caste de chirurgiens faisant la pluie et le beau temps. Une caste dirigée de main de maître par le représentant du Conseil de l’Ordre des médecins, joué par un magistral Charles Vanel en fin de carrière, remarquable de cynisme et de machiavélisme. Vanel incarne un parrain à la mode tricolore, entouré de ses fils, médecins aux aussi. Ne se déplaçant jamais sans être escorté par eux, il intimide à tour de bras et fait pression ainsi que le font les malfrats.

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Photo extraite de 7 morts sur ordonnance

Pourquoi l’opération covid m’a-t-elle fait penser à ce film ? Eh bien par ce qu’on y voit à l’œuvre. On y voit une caste prête à tout pour arriver à ses fins, c’est-à-dire le pouvoir et l’argent. Une caste qui a dans sa poche la police, les banques (elle imposera aux banquiers de refuser un prêt à un adversaire déclaré) et tous les notables du coin. En quelque sorte, on découvre en action un modèle réduit d’Etat profond. On découvre aussi le rôle central de la médecine dans ce conglomérat, à travers l’Ordre des Médecins, sorte d’OMS en miniature, avec des buts et des méthodes aussi éloignés de la médecine que proches de ceux d’une mafia, tant la violence y a sa part. On y élimine sans scrupules et sans conséquences ceux qui dérangent.

Dans 7 morts sur ordonnance, l’abject Vanel provoquera sciemment le suicide de deux médecins et la mort de leur famille, soit sept morts au total, dont trois enfants en bas âge. Mais il s’agit d’une fiction, me direz-vous. Pas vraiment. Prévoyant ce genre d’objection, le cinéaste a tenu à achever son film par les mots suivants : «  Ce film a été inspiré par des événements réels. Les faits qu’il rapporte se sont produits dans une même ville de France à quelques années d’intervalle. » La ville, on le sait aujourd’hui, c’était Reims et les faits se sont passés dans les années 50 et 60.

Voilà pour la sinistre réalité que voulait relater Jacques Rouffio, sous couvert de faire œuvre d’art. Entre temps, un autre film, Le Nouveau Protocole, de Thomas Vincent, ira plus loin encore dans la dénonciation du système, remontant jusqu’au rôle de Davos. Hélas, le monde allant en empirant depuis ces deux films et la population n’en prenant pas la mesure, nous nous sommes retrouvés dans une situation bien pire, entre les mains de salauds toujours plus puissants et retors. Et nous sommes passés de 7 à 34 morts sur ordonnance et même bien pire. Peut-être, comme ils en ont l’intention, à 7 milliards de morts sur ordonnance !¾

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