De leur côté, l’Afrique du Sud, le Zimbabwe et le Malawi ont eu à déplorer de quatre à douze morts parmi leur personnel politique, en une seule semaine. Certains s’élevaient contre les confinements. Comme de bien entendu, tous ont été déclarés morts du covid. Au fait, y a-t-il eu des morts du covid dans le gouvernement Macron ? Aucun puisqu’une fois malades ils se soignaient avec les traitements interdits ! Seuls mouraient leurs contradicteurs. Les mondialistes faisaient ainsi d’une pierre deux coups. D’une part, ces hommes politiques ne leur barraient plus la route. D’autre part leur mort allait gonfler les chiffres frelatés du covid afin de relancer la psychose.
Changeons de continent avec Haïti. Le pays ne respectait pas les mesures des covidistes et voulait encore moins de leurs vaccins. Le 7 juillet 2021, le président Jovenel Moïse se fait assassiner, à l’ancienne, par un escadron de la mort. Débutera ensuite une vaste campagne de vaccination.
Finissons par l’Allemagne, le centre de la très mondialiste Europe. L’Allemagne brillera davantage que la France dans la résistance à la folie covidiste. Trois hommes et pas des moindres se sont élevés contre elle. Thomas Oppermann, le vice-président du Bundestag, s’est ainsi opposé à Angela Merkel. Il décède le 25 octobre 2020, de cause inconnue. Puis Mario Ohoven, président de l’Association des PME, qui s’était dressé contre un second confinement, perd la vie dans un accident de voiture, cette autre méthode bien commode pour se débarrasser d’un gêneur. Enfin Franz Klein, chef de l’Association des hôtels et restaurants de Hambourg, meurt le 2 novembre 2020, lui aussi de cause inconnue. Le confinement tant décrié aura lieu et, après lui, la vaccination.
Les rebelles à l’oligarchie font probablement l’objet d’un contrat, comme on dit dans le milieu de la pègre. Ils décèdent opportunément du fait d’opérations clandestines que la CIA sous-traite, de toute évidence, à des tueurs à gages.
Certains me rétorqueront que je vais vite en besogne pour accuser l’Agence et ses donneurs d’ordre. Quand on contrôle les trafics d’enfants et de drogue, quand on contrôle les médias, quand on détient tous les pouvoirs au point de fomenter des attentats, des guerres et des révolutions, pensez-vous qu’on recule devant quelques meurtres ? L’histoire a montré que non. Décidément, la probabilité que la CIA ne soit pas derrière ces morts est aussi faible que la probabilité que l’élection de Biden se soit déroulée en toute intégrité. Quelle probabilité y a t-il que tous ces dirigeants africains soient morts de leur belle mort dans la fleur de l’âge, en même temps, et que leurs successeurs aient viré de bord dans leur politique sur le covid ?
Devant pareille avalanche de morts suspectes, je me suis souvenu d’un film de Jacques Rouffio, sorti en 1975 et intitulé 7 morts sur ordonnances. Il eut à l’époque un succès foudroyant.
L’histoire est celle de deux médecins d’une ville de province, à dix ans d’intervalle, qui se retrouvent en butte à une caste de chirurgiens faisant la pluie et le beau temps. Une caste dirigée de main de maître par le représentant du Conseil de l’Ordre des médecins, joué par un magistral Charles Vanel en fin de carrière, remarquable de cynisme et de machiavélisme. Vanel incarne un parrain à la mode tricolore, entouré de ses fils, médecins aux aussi. Ne se déplaçant jamais sans être escorté par eux, il intimide à tour de bras et fait pression ainsi que le font les malfrats.