Didier Laloum

Le billet d'humeur de Didier Laloum

 

En ces temps où sévit un totalitarisme planétaire

où ni plus ni moins qu'un apartheid s'instaure

avec l'assentiment tacite d'une partie de la population

chaque voix libre doit se faire entendre.

 
 

  

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La souricière afghane

Le 06/11/2024

Des signaux indiquent que les grands équilibres sont en train de se rompre. Le mondialisme se fissure, non pas tant par le contrecoup du réveil des peuples que par sa dégénérescence propre, due à son idéologie. L'un de ces signaux est la multiplication des prises de position contradictoires là où l'unanimisme et la discrétion étaient de rigueur auparavant. Ses leaders à l’instar de Von der Leyen et Macron, naguère d'accord, partent désormais en vrille, dans des directions opposées. La première vers plus de mondialisme et le second soudainement entraîné vers l'islamisme. Il semble donc que le globalisme se délite. Un autre de ces signaux est l'avancée en Europe de l'Islam, que le mondialisme avait sous-estimé, trop arrogant pour croire à une concurrence venue du tiers-monde.

L'heure approche, qui ébranlera le monde

Le 02/11/2024

Nous y sommes presque. Très bientôt nous saurons si Trump écrase à ce point Harris que même la fraude n'y pourra rien changer. Too big to rig, comme disent les américains. Si l'élection de novembre compte autant pour le sort du monde, c'est que du vainqueur dépendra le monde d'après. Si Trump l'emporte, la paix, le renouveau économique, la fin de l'immigration sauvage, le civisme seront de nouveau à l'ordre du jour.

La victimisation, sport numéro un des totalitaires

Le 26/10/2024

Chez tous ceux qui veulent mettre le monde sous leur coupe réglée, se victimiser est devenu un sport. C’est un chantage à l’émotion qu’ils exercent sciemment. Leur but : viser par avance les réfractaires à l’ordre totalitaire pour lequel ils agissent. Les musulmans font valoir leur religion au nom de laquelle ils seraient stigmatisés sur notre sol. Mais c’est pour mieux revendiquer la place et finir par une victoire par KO sur le peuple français. Les trans, tous dans la mouvance gauchiste comme par hasard, se prétendent victimes eux aussi. Où ont-ils vu des ratonnades de trans, je me le demande ? Cela leur permet, au nom d’une discrimination fictive, d’exiger toujours plus et d’être toujours plus prosélytes, fût-ce par l’endoctrinement, l’intimidation, la menace ou la brutalité. Derrière chacun de ces combats soi-disant justes, se cachent les agents des prochaines tyrannies. Rien n’arrive par hasard.

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Ces conflits qui n’empêchent pas le monde de dormir

Le 15/12/2023

Jugez de l’angoisse qui nous a saisis lorsque ces deux ennemis héréditaires ont décidé de se jeter dans une sanglante bataille, présageant d’y engloutir le monde entier. Nous avons tous retenu notre souffle et le retenons encore. La stupeur et l’effroi ont gagné la planète. Qu’un différend ancestral comme celui-là se termine en guerre généralisée, c’est notre appréhension. Suite à une possible provocation, l’un a décidé d’envahir le territoire de l’autre, et l’opprobre s’est abattu sur lui.

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La guerre « et de trois » n’aura pas lieu

Le 26/11/2024

L’analyse, qui prévaut à mes yeux, laisse penser que des forces de l’intérieur soutiennent Donald Trump, et ce depuis sa campagne électorale de 2016. En dehors du soutien populaire, ces forces proviennent pour l’essentiel de l’armée américaine. Or, l’intervention d’un expert militaire, qui s’est exprimé au micro tendu par François Asselineau, a apporté de l’eau au moulin de cette thèse. Un combat de l’intérieur se déroule bien actuellement aux Etats-Unis. Il en veut pour preuve les dissensions manifestes entre la CIA et le Pentagone. L’expert en question s’appelle Sylvain Ferreira. Il est historien militaire et spécialiste du conflit en Ukraine.

Les jours avec nos ennemis les mainstream

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Un résistant a posté sur Telegram : « L’âge des médias mainstream est fini. Nous sommes les médias maintenant. » Bien qu’il anticipe un peu vite, ses paroles résonnent au moins comme une prophétie à laquelle nous voulons croire. Le fait qu’un nombre croissant de personnes s’informe sur les réseaux alternatifs représente assurément une menace pour les médias, qui ont renoncé à toute déontologie. Les médias sont aujourd’hui une arme de guerre dirigée contre le peuple. Après avoir fait le jeu des faucons de l’Etat profond au cours de leurs guerres, ils se retournent maintenant contre les peuples qui sont ouvertement désignés comme l’ennemi à abattre depuis 2020. Julian Assange ne s’était pas trompé en affirmant que les « journalistes sont des criminels de guerre ». D’avoir osé dire la vérité, il en paie encore le prix fort.

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Date de dernière mise à jour : 02/07/2023