Ainsi donc Trump figurerait aux côtés des dictateurs, des génocidaires et des pires tyrans que la Terre ait portés ? Pour cet écrivaillon, ça ne fait pas l’ombre d’un doute. A-t-il cherché par cette provocation à se faire mousser auprès des cénacles parisiens ? Je l’ignore, vous vous en doutez bien. Mais cela pue la propagande à cent lieues. Que cette larve d’historien nous montre les milliers, que dis-je, les millions de cadavres que Trump aurait sur la conscience ! Qu’il dévoile les preuves que Trump aurait commis un génocide quelque part, que c’est dictateur, un tortionnaire ! Qu’il fasse son travail d’historien avec honnêteté, que diable, ou qu’il se taise ! A un moment crucial où Trump en appelle à la paix à tue-tête et où il se fait vilipender par toutes ces têtes à claques d’européistes qui hurlent à la guerre, il est le seul à avoir droit à cette infâme qualification de génie du mal ! En revanche, aucun de ces va-t-en-guerre d’européistes n’apparait dans ce torchon. Trump veut mettre fin au trafic d’enfants, cela ne date pas d’hier. Pourtant, à en croire l’auteur, ce serait un personnage d’une noirceur digne de figurer dans son encyclopédie du mal. En revanche, vous aurez beau chercher, vous n’y trouverez ni les Biden, ni les Obama, ni les Clinton, ni les Bush ! Aucun de ceux-là. Eux qui ont mené tant de guerres et qui ont tant de casseroles, concernant leurs mœurs. Restons-en là tant que la liste d’Epstein n’est pas sortie officiellement. Epstein ? Ça lui dit quelque chose, à notre grand historien ? Non. Mais encore Trump, toujours Trump… Il faut le salir coûte que coûte quand on est un bon petit soldat de la bienpensance, quitte à ce que ce soit à l’aide de preuves fabriquées. La fin justifie les moyens dans le camp du bien. Trump encore et encore, mais pas Khomeyni, par exemple. Lui n’a pas eu droit à un chapitre. Pourtant que d’enfants soldats n’a-t-il pas envoyés déminer les champs de bataille durant la guerre Iran-Irak ! Pas davantage de représentant du complexe militaro-industriel américain qui a sur la conscience une centaine de guerres à travers la planète. Non, vous ne saurez rien de la noirceur de ceux-là, de leurs agissements et de leurs innombrables victimes. Vous ne saurez rien des commanditaires de tous ces charniers tombés dans l’oubli. En revanche, Trump, encore Trump, toujours Trump. C’est devenu le lamentable cri de ralliement de cette caste de nantis gauchistes et bellicistes.
Le mal, si cet universitaire de troisième rang s’était donné la peine de le cerner, il aurait eu maintes occasions de le voir à l’œuvre, de nos jours. Les mondialistes nous en fournissent bien des exemples. Il aurait même intérêt à aller écouter le dernier podcast de Joe Rogan avec Elon Musk. Depuis qu’il s’est associé à Trump dans son combat, Elon Musk n’a eu de cesse de dénoncer la corruption. Seulement, de ce fait, il est devenu une cible, tout comme JFK en son temps. Inutile de rappeler les tentatives d’assassinat perpétrées contre Trump pour savoir que le système assassine ses opposants. Musk n’est pas à l’abri lui non plus. Il confiait ainsi à Joe Rogan : « Je pense que si je détruis complètement la corruption et le détournement d’argent, ils me tueront. » Le ton, sur lequel ces paroles ont été prononcées, fait froid dans le dos. L’Etat profond ressemble plus que jamais à une hypermafia qui défouraille à tire-larigot. Et ses membres, de vils tueurs à gages. Ils étaient prêts à se délester d’une partie de la population avec les « vaccins ». Alors, ce n’est pas un homme politique de plus à éliminer qui les arrêtera. Qui ira ensuite les interpeller, les juger et les condamner ? Ils se savent dans l’impunité la plus totale. Personne, et encore moins l’auteur des Génies du mal, ne les ciblera. Les vrais génies du mal n’ont rien à craindre hélas de ce plumitif. Même pas une égratignure ! Bien au contraire. Ils peuvent compter sur sa complicité intellectuelle. En dehors de Trump, il n’égratigne que les dictateurs du passé dont il n’a rien à redouter. Ils sont morts.
Mais enfin comment peut-on se faire à l’idée que l’establishment se comporte de façon aussi criminelle ! Comme un Al Capone à la puissance n. Comment l’accepter sans réagir au nom de nos postulats philosophiques ! Décidément l’époque est à tous les dérèglements.