Des sentiments vagues

Nous apprenions, le 31 mai, à notre grand désarroi, que l’avocat Sussmann venait d’être blanchi dans le procès que lui intentait le conseiller spécial John Durham, ce malgré des preuves accablantes. Inculpé pour avoir menti au FBI, l’avocat véreux a obtenu en effet un verdict de non-culpabilité. La nouvelle en a déçu plus d’un. Elle en a également révolté plus d’un. Aucun signe de craquement ne semble vouloir venir du système mondialiste, comme on l’espère.  L’establishment, malgré les coups qu’il reçoit en ce moment, est encore à la barre et ses subordonnés occupent toujours les postes clés. Ainsi, dans le procès Sussmann, il ne fallait pas s’attendre à une autre issue dès lors que jury et juge obéissaient au réflexe de classe. En entrant dans la salle d’audience, Durham ne l’ignorait pas. Il pénétrait l’antre du loup, dans son marais putride de Washington DC. Le comité démocrate y règne plus que jamais en maître. Primo, le juge a été nommé par Obama. Secundo, le jury comportait trois donateurs de Clinton, un autre de la furie Alexandria Ocasio-Cortez et enfin une femme dont la fille est coéquipière d’aviron de celle de Sussmann. On désespère ainsi qu’aucun coupable ne soit jamais condamné à l’aulne de ses crimes. Beaucoup dans le camp patriote estiment au contraire que seules importent l’exposition des crimes et la traduction en justice des criminels. D’autres font état d’un deal possible. Je vous livre une version optimiste qui court les réseaux sociaux. Si Sussmann avait été condamné pour avoir menti au FBI, péché véniel dans cette affaire, cela aurait disculpé Hillary Clinton ainsi que le FBI. C’est pourquoi on aurait anticipé la relaxe inévitable du petit poisson Sussmann pour mieux ferrer les gros poissons ultérieurement. C’est là que des accords auraient été conclus à huis clos atténuant une prochaine peine, dans une nouvelle procédure en vue d’atteindre cette fois Hillary Clinton. Cette version me laisse perplexe. Elle semble surtout être une façon de plus de se rassurer, alors que tarde à arriver l’ère des grandes divulgations et des grandes arrestations.

En réalité, nous ne sommes pas plus avancés. Pour ma part, j’ai été dépité de voir que même le lampiste s’en sortait. A quand les révélations fatidiques ? A quand les grands procès ? A quand le Nuremberg 2.0 ? Comme le dit Reiner Fuellmich, l’institution judiciaire est bien trop vérolée pour en attendre quelque chose. Un vrai jugement assorti de vraies sentences ne pourra venir d’une justice gangrenée. Seul un tribunal populaire pourra la rendre. Ou sinon, un tribunal militaire.

Ces jours-ci, nous avons donc été au creux de la vague. D’autant qu’on apprenait aussi qu’une autre collaboratrice des Clinton, qui voulait révéler les détails d’un réseau pédophile impliquant Epstein et les Clinton, avait été retrouvée morte. On y a fait mention dans un précédent billet, il ne fait pas bon déplaire aux Clinton et les menacer. D’après Radar Online : « Ashley Haynes, 47 ans, a été retrouvée noyée dans l’Arkansas avec une rallonge électrique nouée à la cheville et attachée à un bloc de béton. Elle avait été vue, quelques mois auparavant, en train de rendre visite à Mark Middleton, conseiller de Clinton et ami de longue date d’Epstein, dont le corps a été découvert au début du mois, pendu à un arbre avec le même type de cordon électrique enroulé autour du cou et un coup de fusil à bout portant dans la poitrine. » La fréquentation des Clinton est en soi un péril. Est-ce qu’autour de vous vos connaissances tombent ainsi les unes après les autres ? Non bien sûr, mais nul doute que ni le FBI ni le Département de Justice ne diligenteront d’enquête. Il y a de quoi avoir le moral en berne.

En France, l’actualité c’est encore l’histoire des incidents du Stade de France avant la finale de la Champions League. Je ne reviendrai pas sur les événements eux-mêmes qui devraient se passer de commentaires et de fausses excuses tant ils sont affligeants. Ce que je constate est que lorsqu’un problème surgit opportunément dans l’actualité, les médias apportent illico la solution de l’Etat profond, le plus souvent sous la forme d’une question anodine. A cette occasion, nos médias ont fait appel au multirécidiviste Estrosi pour demander le déploiement de la reconnaissance faciale. Pour le covid on a mis en place une réponse soi-disant prophylactique, le passe à QR code. De même, après ce fait de société, on suggère benoîtement de résoudre la violence de rue par l’emploi de la reconnaissance faciale. Si j’avais mauvais esprit, je dirais qu’ils ont suscité ces incidents pour en arriver à cette mesure au plus vite. Leur marotte : nous contrôler pour ne plus avoir à nous craindre.

Néanmoins une nouvelle vague pourrait bientôt nous porter très haut. Il s’agit du QFS, le Système Financier Quantique. On se souvient que la Russie, pour avoir pénétré en Ukraine, avait été sanctionnée et exclue du système bancaire Swift. Probablement, une victoire à la Pyrrhus pour les mondialistes.  En effet, l’alerteur Simon Parkes nous confirme qu’un système parallèle, appelé QFS, s’est mis en place et qu’il est entièrement opérationnel. Initié par l’Alliance, il aurait pour mission la chute de la maison Swift. Toutes les banques privées s’y seraient déjà connectées. De la sorte, l’armée américaine régulerait leur comportement s’il leur venait l’idée de ne pas se conformer aux protocoles. Ce système existe depuis un certain temps déjà. Il devrait empêcher la création d’argent frauduleux. On sait que la planche à billets a chauffé, à un rythme accru depuis le covid. Par conséquent, le QFS exercerait la surveillance nécessaire pour éviter ce recours systématique à l’accroissement de masse monétaire. Parkes avance comme preuve que le raid récent qui a eu lieu dans les bureaux de la Deutsche Bank, à Francfort, avait pour objectif de les dissuader de créer encore de la fausse monnaie.

Il est indéniable que la secte affairiste, qui gouverne maintenant à la vue de tous, n’a pu étendre son empire qu’au moyen de la corruption et de la peur. Mais si sa manne financière se tarit, si elle ne peut plus fabriquer de l’argent à volonté, open bar, il lui sera difficile de continuer à soudoyer ses subalternes et à subventionner ses diverses machinations. Il ne lui restera plus comme levier que l’extorsion par intimidation. Toutefois, l’arme indispensable qu’est l’argent lui fera cruellement défaut. Pour commencer, elle ne pourra plus aussi facilement museler les médias. La dissonance informative, qui en résultera, lézardera inéluctablement le bel édifice stalinien qu’elle a bâti. ¾