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Des démocrates il ne restera que les démons et les rats

Le 15/10/2022

Dans Actualités

Nous sommes nombreux à nous poser la même question : comment se fait-il qu’il y ait autant d’arrogance, d’inhumanisme et d’aplomb dans le camp mondialiste ? Comment se fait-il que, devant ce qui ressemble néanmoins à une vacillation de leur monde, on le constate assez à leurs efforts désordonnés, ces gens-là continuent à se comporter de manière aussi intraitable, dépourvue d’hésitation et comment se fait-il que n’apparaissent pas ostensiblement plus de déchirements entre eux ?

Cela demeure un mystère, bien que je me dise que dans une mafia, car ne doutez pas que nous ayons affaire avec le mondialisme à une organisation mafieuse, même au bord de la désintégration, ses membres rechigneront à déserter ou à s’entretuer, tenus qu’ils ont toujours été sous la férule du parrain et la loi d’airain qu’il y fait régner par la terreur.

En l’occurrence, le cas américain est un cas d’école à étudier spécialement. Sans compter que, comme chacun sait, c’est là que se situe la tête de la pieuvre. En particulier, au sein du parti démocrate, qui a depuis longtemps été le creuset de l’hégémonie mondialiste. Que devient justement ce parti après deux ans d’administration Biden, à une encablure des élections de mi-mandat ?  Certes, les prévisions ne sont guère favorables aux démocrates, même aux yeux de ceux qui ont l’habitude de pondre des sondages frelatés. Dans la confusion la plus totale, ils essaient de reconduire l’escroquerie généralisée que constitue le vote par correspondance. Pour cela, ils se battent comme de beaux diables ! Mais de vouloir coûte que coute perpétuer ce jeu de bonneteau électoral finira un jour par lasser l’opinion. Là encore, la ténacité et la hargne qu’ils déploient sont à la hauteur des mensonges qu’ils profèrent. Autre exemple, le sinistre Comité du 6 janvier, qui n’est autre qu’une chambre inquisitoriale démocrate, court après une inculpation de Trump, leur ennemi mortel. Ils veulent l’assigner à comparaître et probablement procéder à son arrestation. Liz Cheney, l’immonde harpie, le judas du parti républicain et la digne fille de son véreux de père, a intrigué en permanence dans ce sens. En revanche a-t-elle consulté les preuves que Nancy Pelosi avait tout mis en scène en faisant venir une équipe de tournage au Capitole avant l’émeute et en faisant filmer la scène par son beau-fils à l’extérieur du bâtiment ? La même Pelosi qui avait refusé trois jours plus tôt de faire intervenir la Garde Nationale comme le lui suggérait Donald Trump. Mais le Comité du 6 janvier n’a que faire des preuves à décharge. Il connait déjà les coupables à la tête desquels il figure !

Pelosi et mcconnell

Pelosi et McConnell en plein conciliabule, le 6 janvier 2021, alors qu'ils ont refusé la présence de la Garde Nationale (photo de la fille Pelosi présente par un heureux hasard)

 

Des faits édifiants nous sont cependant parvenus ces jours-ci. La représentante du Minnesota, Angie Craig, démocrate de son état, n’a pas craint d’affirmer sur un plateau : « Je ne cesserai jamais de défendre Big Pharma y compris en m’opposant à mes électeurs. » Rendez-vous compte ! Voilà cette ancienne journaliste, qui a naguère brigué et obtenu les suffrages de ses concitoyens pour les représenter et qui ose maintenant soutenir qu’elle met au-dessus d’eux la défense de Big Pharma. C’est tout de même un peu fort ! Pour ces paroles, non seulement ses électeurs devraient la vilipender, mais encore elle devrait être poursuivie par les plus hautes juridictions américaines pour avoir revendiqué sa forfaiture ! Elle trahit son électorat, et ce avec un aplomb qui me laisse pantois! Que ses électeurs crèvent, Big Pharma passe avant eux ! C’est en d’autres termes ce que cet autre judas en tailleur a le culot de leur dire. Elle crache à la figure de son peuple et en est fière. Elle brandit ces mots comme un serment fait à la mafia globaliste et à sa branche délictueuse Big Pharma. Une branche qui est devenue un veau d’or à vénérer et à servir en lieu et place de ses concitoyens.

Angie craig

A droite, la démocrate Angie Craig

Comment en est-on arrivé là ! A entendre les aveux des traitres à leur pays qui s’en vantent, la question, que je me pose, est lancinante : comment cette femme pourra après cela se représenter devant ses électeurs et surtout comment ces derniers revoteront-ils pour elle après une telle injure?

A l’opposé, la valeureuse Tulsi Gabbard a pris la sage décision de quitter le parti démocrate. Elle a, de surcroît, invité ses collègues démocrates à la rejoindre. L’ex-députée démocrate d’Hawaï et ex-vice-présidente du DNC, le Comité National Démocrate, a dénoncé le fait que son parti était contrôlé par « une cabale élitiste de va-t-en guerre poussés par une idéologie woke de lâches », qui « alimente le racisme anti-blanc », « protège les criminels », « diabolise la police », « croit aux frontières ouvertes », «  est hostile à la spiritualité » et « par-dessus tout nous entraîne toujours plus près de la guerre nucléaire ». Merci Tulsi pour cette tirade. Vous êtes l’honneur de la gauche américaine.

Tulsi gabbard chez joe rogan

L'ex-démocrate Tulsi Gabbard chez Joe Rogan

Les positions de Tulsi Gabbard, qui s’était présentée en 2020 à la course à la présidentielle en concourant aux primaires du parti démocrate, lui ont valu l’animosité d’Hillary Clinton. A sa démission du parti, elle est passée chez Joe Rogan, le podcaster le plus populaire des Etats-Unis. Ce fut l’occasion pour elle de lâcher que des membres influents du parti, telle Hillary Clinton, menaçaient leurs collègues par des ripostes comme : « Si vous n’êtes pas d’accord avec nous, vous êtes mort ! » Si ce n’est pas typique de pratiques mafieuses… !  Cela ressemblerait presque à une réplique du Parrain. Ce qu’il restera du parti démocrate sera un concentré de saligauds et de gangsters. C’est peut-être pourquoi nous avons tant de mal à trouver une quelconque humanité dans ces individus et qu’ils nous semblent aussi éloignés que possible du genre humain. On parle à leur sujet de satanisme politique. Car ils usent à outrance dans leur exercice du politique des moyens abjects que sont la perversion, la corruption et la férocité. Pourquoi le font-ils, si ce n’est parce que leur nature profonde est ainsi faite. Ils ont choisi comme ligne de conduite l’immoralité par opposition à la vertu.

Une troisième démocrate a été sur la sellette, cette semaine, l’emblématique Alexandria Ocasio-Cortez. Et précisément l’épisode que je vais relater rejoint la thématique soulevée par Tulsi Gabbard. Comme il doit lui arriver souvent, la congresswoman donnait une conférence. Seulement, cette fois, son public était clairsemé. La salle quasiment vide. Sans plus attendre, elle se fait invectiver par des militants remontés à propos de la guerre. L’un en particulier, Jose Vega, la tance pour son engagement en faveur de la guerre et des ukronazis. Il l’accuse de faire preuve de lâcheté vis à vis du parti qui nous conduira tous à la guerre nucléaire. Il lui demande ce qu’elle attend pour se lever, comme l’a fait Tulsi Gabbard, une élue qui a assez de tripes pour avoir critiqué et quitté le parti démocrate devenu un parti de faucons, assez de tripes pour rechercher la paix. Pourquoi jouer ainsi avec nos vies ?, fulmine-t-il.  Pour une fois, écoutez votre conscience ! Tout partisan de la vertu en politique ne peut qu’applaudir à une pareille admonestation, à une prise à partie aussi salutaire. Quelques applaudissements se sont d’ailleurs fait entendre. Seul un vigile aux ordres viendra intimer l’ordre aux révoltés de la mettre en veilleuse. Tout un symbole.

Jose vega

Le militant Jose Vega prend à partie AOC

Ce parti en d’autres temps aurait été considéré à l’agonie. Pourtant, malgré la débandade à laquelle on assiste dans ses rangs, ceux qui le détiennent encore, en vrais mafieux, continueront à donner le change, à mentir et à faire croire qu’ils ont encore le soutien populaire. En fraudant, ils s’obstineront à passer pour majoritaires, comme lorsqu’ils ont fait croire qu’un certain Joe Biden, vieillard sénile, qui n’avait pas fait campagne, qui n’avait pas vu un seul supporter, l’avait emporté. De même, pour  cacher son réel manque de popularité, le fake président, prétextant le covid, s’est fait investir devant une foule… de petits drapeaux ! Alors que celui qui avait soi-disant perdu, Trump en l’occurrence, n’avait cessé de parcourir le pays en remplissant des stades, à chaque étape, et en soulevant la ferveur.

Ceci dit, la vieille garde démoniaque veille encore au grain, de Clinton à Obama, de Pelosi à Schiff. En Californie, jadis terre mythique de liberté, le sinistre Gavin Newsom mène tambour battant la censure qui vise le corps médical à propos du covid, avec la signature du California Assembly Bill 2098. Vous me direz, il serait temps de sévir pour ce piètre praticien de la pensée totalitaire. L’horloge tourne... Et pour l’aider à tourner plus vite et pour que le DNC s’effondre avec assez de fracas et, ce faisant, bouleverse la donne, encore faudrait-il venir à bout de la camarilla qui le maintient d’une main de fer dans un état comateux.¾

 

Photo d'illustration : Tulsi Gabbard, l'honneur perdu des Démocrates

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