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La mutation du mondialisme

Le 25/02/2025

Dans Actualités

« A chaque pas, on rencontre en ce monde une chose inexplicable : c’est pour ceux qui ne peuvent pas les expliquer, et qui ne veulent pas y croire, que le doute a été inventé. » Alexandre Dumas

Depuis le dernier article, il est apparu qu’un chef avait pris finalement le commandement du dernier réduit mondialiste. Si on en croit Viktor Orban, et il y a tout lieu de s’en convaincre, Alex Soros a fui l’Amérique trumpiste pour venir trouver refuge à Bruxelles. De George Soros, nous n’avons aucune nouvelle. Vu son âge, Soros père n’a certainement plus toutes ses facultés. Son héritier a dû prendre la relève. Or, Alexandre Soros donne désormais ses ordres depuis l’Europe. Il s’est donc replié sur Bruxelles. Il y joue les petits chefs, comme il en a pris l’habitude. Regardez-le se faire prendre en photo en train d’émettre ses directives aux européistes, le regard interdit. Puis d’inonder X de ses clichés par pur narcissisme.

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S’il pense pouvoir se jouer de Vance, Trump et Poutine, le fils à papa se fourre le doigt dans l’œil. L’exil lui brouille la cervelle. Quant à ses subordonnés, ils sont aussi perdus que malfaisants et sots. Exemple : « notre » ministre des Affaires étrangères Barrot qui a annoncé qu’il refuserait de prendre son homologue russe au téléphone ! Faut-il qu’il soit animé par la haine, par la ferveur guerrière et surtout par une forme lourde de crétinisme pour en arriver là. Et le gus est ministre des Affaires étrangères !

Rappelez-vous. Poutine disait, il y a peu, que tous ces abrutis finiraient par se coucher aux pieds de Trump et remuer la queue gentiment. Il y a quelques jours, nous avons eu une belle démonstration de la méthode Trump. Il a réuni les gouverneurs des cinquante états dans le but de rabrouer les derniers récalcitrants. Aucun n’a bronché, hormis une démocrate, la gouverneure du Maine. Comme le maître dans sa classe qui se fait respecter sans même élever la voix, Trump a été incisif avec elle. La morveuse avait tout du genre d’élève indiscipliné sur qui la foudre professorale va s’abattre et qui ignore sottement la sanction imminente. Trump lui a intimé l’ordre d’obéir à ses décrets, notamment sur la question trans. Si elle persistait à ne pas les appliquer, il lui couperait les vivres et ne lui donnait pas la moindre chance d’avoir un quelconque avenir. A bon entendeur salut ! Mais Trump n’en est pas resté là avec les jean-foutres et les paltoquets du globalisme. Il a convoqué hier Macron et Starmer à la Maison Blanche. Au pied les caniches ! Suprême humiliation, Macron est entré par l’entrée de service et, médusé, lui qui ne pense qu’à guerroyer, il a été informé en conférence de presse, de la bouche de Trump, que Zelensky signerait un accord de paix à la Maison Blanche cette semaine ou la suivante !

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On voit donc que les uns sont mis au pas en Amérique quand les autres fanfaronnent encore en Europe. Orban disait sur RT, fin janvier, que Soros avait perdu la bataille en Amérique. Il pensait sûrement à son ennemi juré, George. Selon le vaillant hongrois, Trump avait réussi à libérer son pays de l’influence du magnat mondialiste. C’était une énorme défaite pour tout le réseau Soros. Pour Alexandre aussi par conséquent et pour toutes les filiales et ONG qui attendent de vivre grassement de sa manne. La Justice américaine s’étant depuis longtemps vendue à Soros, Trump a limogé tous les procureurs idéologisés ou corrompus par lui. Celle-ci pourra dorénavant poursuivre les véritables criminels, ce qui est sa vocation, au lieu des opposants politiques conservateurs, ce qui a été son dévoiement. Mais précise encore Orban, le réseau reste actif à Bruxelles et en Europe. C’est à notre tour, européens, préconise Orban, d’éliminer chez nous ce réseau et son influence.

On l’a dit, l’UE n’est plus qu’un réduit mondialiste. Son existence ne tient qu’à un fil. La Commission européenne n’a déjà plus d’existence pour le monde extérieur. Poutine lui a tourné le dos et la méprise. Xi a refusé toute préséance à Ursula Von der Leyen. Et maintenant Trump la snobe et lui nie le droit d’être un interlocuteur. Ne parlons même pas de l’Afrique. Et l’UE prétend encore être une puissance qui compte. L’UE n’a d’existence que pour des peuples qui la subissent et la haïssent et qui bientôt la répudieront une fois la banqueroute venue. Les derniers retranchés bruxellois sous la tutelle du petit Soros vont donc devoir manœuvrer. L’immobilisme les condamnerait à terme. Et c’est là où je veux en venir. S’ils peuvent prendre une initiative qui aille dans le sens de leur idéologie tout en les renforçant, ils n’hésiteront pas. Soros fils s’y engagera. Il n’est qu’une tête brûlée. A l’image de son père certes, mais l’habileté en moins. Et cette initiative pourrait bien être une entente géopolitique avec l’Islam. C’est pourquoi Macron demeure frileux à s’engager dans un bras de fer avec l’Algérie, alors qu’il sait jouer les hâbleurs quand il le faut, en particulier face à la Russie. Il ne faut pas froisser un futur allié, se l’aliéner et, avec lui, le monde arabe. Un Villepin a même été remis par les médias sur le devant de la scène, telle une vieillerie qu’on dépoussière, pour prôner un plus grand rapprochement avec le monde arabe, une sorte de nouvelle Eurabia.

Mais essayons de dégager les grandes étapes qui les ont amenés, depuis des décennies qu’ils nous gouvernent, vers cette alliance jadis improbable, aujourd’hui tout à fait envisageable de leur point de vue.

La Première étape (jusqu’aux années 90) a été celle de notre prise de conscience que l’immigration musulmane, retour de balancier d’une certaine histoire coloniale, allait poser un sérieux problème. Mais, parce que la gauche avait soi-disant une haute tenue morale, il ne fallait pas stigmatiser la religion musulmane et ses coreligionnaires. En ce qui concernait le catholicisme en revanche, elle n’avait pas de problème pour le flageller. C’était les débuts du deux poids deux mesures.

La deuxième étape (2000 – 2020) a vu la dérive de la gauche presque tout entière qui est passée avec armes et bagages du côté de l’Islam et a pris fait et cause pour lui. D’abord avec le NPA, puis avec LFI, le PC et EELV, les socialistes et les macronistes nageant entre deux eaux. Mais, à ce stade, si on ne prend pas en compte le facteur mondialiste, l’explication de ce qui se déroule en France demeure bancale. 2020 nous aura aidé à saisir cette dimension du problème.

Le journaliste de Cnews, Olivier de Keranflec’h, se demandait encore ce week-end, à la suite d’une énième attaque au couteau par un islamiste algérien, pourquoi le pouvoir macronien était incapable d’endiguer le fléau de ces attaques. Le garçon est-il naïf au point d’ignorer le mot mondialisme et le fait que l’agenda Soros prévoit le grand remplacement à coup de vagues migratoires et de coups de couteaux ? Ou le fait-il exprès ? Et alors qui l’empêche de parler du mondialisme ? Grâce aux médias sociaux, nous n’avons plus de doute. La submersion islamique de la France ne doit rien au hasard ou à la faute à pas de chance. Les mondialistes la veulent parce qu’elle répond à leur calendrier contre le peuple de souche et à leur idéologie marquée au fer rouge.

En atteignant 2020, nous étions en pleine lune de miel. LFI manifestait aux côtés des barbus. Hormis quelques-uns à gauche, le compagnonnage avec l’Islam était acquis. L’idée avait fait son chemin. De plus l’argent de Soros affluait à gauche, chez les politiques, les journalistes, dans les ONG comme à destination des antifas. Tout ce beau monde étant issu de la bourgeoisie de gauche mondialiste, cela restait en famille.

La troisième étape (2020 – 2024) se confond avec la période covid et la révélation du totalitarisme mondialiste. Son projet, le Great Reset, et ses méthodes apparaissaient alors au grand jour, de même que le penchant gauchiste de ses promoteurs, Soros en tête. C’est d’ailleurs une bizarrerie de la politique… Après guerre, l’Etat profond était estampillé très à droite par ses rares dénonciateurs. Mais, dans les années 70, sous l’impulsion d’un David Rockefeller ou d’un George Soros, à la fois par opportunisme et par conviction, il s’est glissé dans les habits de la gauche voyant tous les gains qu’il en retirerait : le conformisme, l’assurance de représenter le bien, d’avoir la morale avec soi, et le caporalisme de la gauche lui offraient l’opportunité de rassembler du monde derrière un même corps de doctrine, à l’image du modèle chinois. Cependant, si le mondialisme avait rejoint la gauche, la gauche avait fait simultanément un grand pas vers lui. Chacun avait ensuite déteint sur l’autre. Ainsi la gauche post-soixante-huitarde est-elle devenue à la fois pédophile, grand-immigrationniste, antifamiliale et intolérante au point d’en appeler à la censure de ses contradicteurs. Autant de positions sur lesquelles elle a rompu sans l’avouer avec son passé.

La quatrième étape (2025), nous la vivons. Des signaux inquiétants sont apparus en provenance du globalisme plus que jamais en roue libre, désorienté et s’en remettant à la gauche tiers-mondiste. Ils indiquent un virage de la doctrine globaliste en direction de l’Islam. L’affaire du White Islam n’est pas anodine. Au contraire, elle révèle une volonté de dissoudre les blancs et leur civilisation dans l’acide islamique, surtout que la lame de fond conservatrice secoue l’Occident. Auront-ils bientôt la tentation de se chercher un allié dans le peuple lui-même, mais seulement dans celui d’importation musulmane, plus uni par sa religion que le peuple de souche et plus manipulable de ce fait ? Je verrais très bien tous les Soros s’enturbanner si cela devenait un impératif pour eux.

Une potentielle alliance entre lgbtisme et islamisme aurait de quoi étonner. Elle peut sembler être le mariage de la carpe et du lapin. Cependant c’est bien ce vers quoi un mondialisme obligé d’évoluer est susceptible de se diriger. Et puis, que deux totalitarismes scellent une union n’a rien de nouveau. Hitler et Staline avaient su signer un pacte de non-agression voire de collaboration.

Alors, est-ce que l’Islam faisait déjà partie du projet initial globaliste ? Je ne le pense pas. L’Islam devait s’y intégrer mais ne devait pas nécessairement devenir une arme contre les peuples chrétiens. Cependant la dérive du globalisme y pousse. Cette dérive est due avant tout à l’étau Trump-Poutine qui l’étrangle. Le mondialisme n’a maintenant d’autre choix que de se trouver un allié de poids. Et il n’ira le chercher que dans le monde islamique. Pourquoi ? D’abord parce que l’Islam a déjà pris pied en Europe. Et ensuite rappelez-vous quelles sont les trois nécessités pour un totalitarisme. Ce sont la violence, l’idéologie et… le nombre. Or, avec l’Islam, plus d’un milliard et demi d’individus, plus ou moins fanatisés, se retrouvent derrière une même bannière. De quoi lorgner sur cet apport pour nos derniers mondialistes. Du moins l’imaginent-ils. Le changement de peuple est déjà en cours. Il ne leur reste plus qu’à faire allégeance à la nouvelle religion. Le Royaume Uni montre l’exemple de manière la plus effroyable qui soit. Ici, Mélenchon a officiellement revendiqué une telle solution avec sa « créolisation » raciste et ouvertement islamiste. Mais Macron n’y est pas encore, parce qu’il n’en a pas reçu l’ordre, je suppose. Rockefeller avait bien vanté le modèle de la Chine communiste. Pourquoi le fils Soros n’en ferait-il pas autant avec l’Islam ? Il pourrait le décider et ni la gauche, ni une partie de la droite patriotique n’y verraient d’objection, tant leur haine viscérale d’un Israël qui se défend les réunit et leur brouille l’esprit.¾

Photo d’illustration : Allégorie extraite du compte Telegram de Nadine Touzeau Profiler officiel

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