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L’étau se resserre autour de la pieuvre mondialiste. A quoi le décèle-t-on, me direz-vous ? C’est que les derniers jours ont fourni matière à réflexion. Des nouvelles de différents fronts, mises bout à bout, prouvent cette perspective d’un Etat profond à l’agonie et qui se crispe, se raidit, se débat et assène ses coups sans retenue, quand, dans le passé, il opérait subrepticement, dans l’ombre, sans jamais se trahir, sans jamais trahir son implication dans les événements majeurs de ce monde, sans que jamais nous nous en doutions.
Technicisation et totalitarisme
L’écrivain Stefan Zweig a vécu au plus profond de son âme la montée de l’hitlérisme, au point de mettre fin à ses jours, de désespoir. Les dernières années de son existence, il les a passées à prendre acte en temps réel des mécanismes d’un totalitarisme en action. Trois ans après l’accession d’Hitler au pouvoir et six ans avant de se suicider, il écrivait Conscience contre Violence.
Péonia a twitté : « Macron, Ursula, Schwab & Co ont réussi à séparer des familles, des amis… » Elle voulait parler de leur stratégie de division durant le covid afin de mieux nous contrôler. Et ce fut objectivement une incontestable réussite. « Mais ils ont commis une très grosse erreur », discerne-t-elle. Beaucoup se sont interrogés sur le sens un peu énigmatique de ce tweet. Sur quoi se seraient-ils abusés ? Selon Péonia, voilà en effet où réside leur erreur : «… ils ont réuni des personnes qui pensent de la même façon, qui ont les mêmes principes, les mêmes valeurs. Pas bon pour eux, pas bon du tout. »
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« C'était l'escadron volant des journalistes incompétents, qui, ne sachant rien, tâchent de le faire oublier, à force d'adulations aux vainqueurs et d'injures aux vaincus » Romain Rolland
Il y a plus de dix ans eut lieu avec le H1N1 une répétition ou peut-être même une première tentative de l’Etat profond de mettre en branle sa machination. Certains acteurs étaient déjà en place : Castex, Bachelot pour ne citer qu’eux. Mais, disert à ce sujet, un de ses membres a prétendu que l’opération tourna court parce que les médias ne suivirent pas à l’unisson le narratif approprié. A l’époque, ceux-ci étaient encore loin d’être tous le petit doigt sur la couture du pantalon, et ils avaient manifestement rechigné à s’aligner.
Vraiment notre époque ressemble bien peu aux trente glorieuses, en particulier aux années 60 et 70. Notre temps est aussi noir que ces années d’antan nous paraissent radieuses avec le recul. D’aucuns penseront que votre serviteur bougonne, l’âge venant, qu’il sort son couplet d’ancien combattant au nom du c’était mieux avant ! Et pourtant… N’y a-t-il dans cette préférence des temps passés qu’une banale nostalgie ?
Soleil vert se déroule en 2022 !
Alors jeune étudiant, friand de septième art, j’ai eu l’occasion d’aller voir le film Soleil vert au cinéma, à sa sortie en 1973. Quel choc ! Ce film ne me laissa pas indemne, bien qu’à aucun moment je n’y aie vu autre chose qu’une dystopie comme les aime Hollywood. A l’époque, le mot n’était pas encore à la mode. Le film nous montrait seulement une vision cauchemardesque de notre avenir, à nous humains, si nous n’y prenions garde. Mais, d’un avis largement partagé, personne n’envisageait que l’humanité irait réellement vers un tel enfer. Un optimisme de bon aloi régnait en ce temps-là, que les mondialistes allaient s’employer à saper.
Date de dernière mise à jour : 02/07/2023
