Passons maintenant à l’utilisation de certaines images sur les réseaux sociaux. L’actrice Véronique Genest, toujours en électron libre du showbiz, ne l’a pas envoyé dire aux propagandistes de la cause palestinienne : « Cessez de diffuser des photos horribles d’enfants blessés à Gaza provenant de la propagande du Hamas. Avec l’IA on sait que la plupart sont créées de toutes pièces et l’étalage de ces horreurs est tellement impudique qu’elles produisent l’effet inverse. »
Ceux qui pensent que seuls les faux jetons mondialistes sont capables de telles bassesses n’ont aucune idée des méthodes islamistes. Croire que le Hamas n’est pas en mesure de créer de tels faux lui aussi et s’interdit de passer à l’acte pour redorer son blason en rejetant la faute sur son ennemi, c’est faire preuve d’une candeur condamnable. Pour eux, tout est bon pour faire triompher l’Islam.
Depuis le début des années 2000 et probablement avant, on a eu affaire à ce genre de simulacres utilisés à dessein par les palestiniens. Combien de fois n’ont-ils pas eu recours à des ambulances pour transporter leurs combattants ! Des vidéos l’ont prouvé à foison. Une fois braqués, des hommes en armes en sortaient, fuyant les lieux pour ne pas être fait prisonniers. Combien de fois se sont-ils planqués dans un hôpital ou une école mettant en danger leur population sciemment ! Faisant fi de la vie humaine, ils gagnent à tous les coups : soit les israéliens tirent et on leur imputera la mort d’innocents, soit ils renoncent à tirer et les valeureux brigadistes s’en sortent sains et saufs.
Il faut reconnaître à la gauche pro-palestinienne et aux islamistes, comme aux mondialistes du reste, de savoir user de photos truquées ou sinon détournées. Malgré l’obscénité du procédé, toute la presse française en 2015 a exploité ad nauseam l’image de ce petit garçon syrien retrouvé mort sur une plage turque. Les mondialistes en place alors voulaient nous faire accepter la vague démentielle d’immigration qui était à leur programme. Pour cela, il fallait faire pleurer dans les chaumières, faire vibrer la corde émotionnelle pour mieux imposer les millions de migrants musulmans. Google, la voix de la CIA, nous dit aujourd’hui encore que le destin de cet enfant est devenu le symbole de la crise migratoire. Non. Absolument pas. Que la photo ait été réelle ou pas, elle a été instrumentalisée. Ce fut de la récupération, et la plus ignoble. Elle fut le moyen le plus répugnant d’arriver à leurs fins, à savoir la submersion migratoire. Les mondialistes nous ont fait la morale sur le dos de cette petite victime, si victime il y a bien eu. En effet, certains élus FN ont fait part à l’époque de leurs doutes quant à l’authenticité de la photo et ont même parlé de montage. Eux qui déclenchent des guerres à n’en plus finir, eux qui se moquent de la vie des peuples, eux les malveillants auraient tout d’un coup manifesté de la compassion ? On n’y croit pas une seconde. Ils sont venus larmoyer dans le but de faire passer pour des monstres ceux qui refuseraient le grand accueil de réfugiés destinés à nous remplacer. Les connaissant, il n’est pas inconcevable d’imaginer qu’ils ont truqué la photo, si cela devait les aider à nous faire accepter ce nouvel épisode du grand remplacement.
Dans le même registre des photos d’enfants morts qu’on instrumentalise, il y eut en 2000 l’affaire du petit Mohamed Al Dura. Tout était parti d’un reportage de France 2. Le caméraman était palestinien et le journaliste, un propagandiste bien connu, Charles Enderlin. Les images et le commentaire prétendaient montrer que le petit Mohamed avait trouvé la mort à Netzarim dans la bande de Gaza, sous les balles des soldats de Tsahal. Comme par hasard, elle fut un des prétextes à la deuxième intifada, dont on sait qu’elle avait été préméditée par Yasser Arafat. Notez le parallèle entre les méthodes mondialistes et islamistes. On créé médiatiquement l’événement qui déclenchera en retour les actions concrètes qu’on attend.
A l’époque de nombreuses preuves furent apportées notamment par Philippe Karsenty pour montrer qu’on avait eu affaire à une mise en scène de la part de la chaîne. La journaliste allemande Esther Shapira réalisera de son côté un documentaire démontrant que les balles israéliennes ne pouvaient avoir atteint l’enfant. S’il fut diffusé en 2002 par la chaîne ARD, aucune autre chaîne hertzienne ne le diffusera à son tour. Il fallait ménager le roublard Arafat. On voyait déjà en ce temps-là le même suivisme des télés à l’encontre d’Israël. A l’époque, les médias, dont on dit qu’ils étaient moins assujettis au Deep State qu’aujourd’hui, l’étaient au moins dans leur intégralité à l’Islam, du fait de leur implication à gauche. Il fallait pour eux diaboliser Israël, symbole du colonialisme. Un faux historique bien sûr mais qui marche encore hélas.
Véronique Genest souligne pertinemment que les images proviennent toutes du Hamas. On pourrait ajouter que le nombre de morts civils annoncé aussi. Or partout il est fortement recommandé de recouper ses informations auprès de plusieurs sources et de ne pas se contenter d’une seule, au surplus lorsque celle-ci est douteuse. Alors pourquoi se fier au bombardement de ces images suspectes ? Islamistes et mondialistes ont ceci en commun qu’ils sont les fervents agents d’un totalitarisme. Pas étonnant que leur rapport à la vérité soit aussi galvaudé. Par conséquent, avoir foi dans les images du Hamas revient à avoir foi en celles de BFM ou de CNN. A chacun de voir…
Comme je l’ai évoqué précédemment, les génocides commis par l’Islam sur ses propres terres ne manquent pas. Cependant avez-vous jamais vu sur les écrans des photos d’enfants morts sous les balles islamiques ? Avez-vous lu des pamphlets contre les tueurs ? Voyez-vous de ces images inonder les réseaux pour fustiger les violences musulmanes ? Que non ! Qui oserait s’en prendre à deux milliards de musulmans soudés par la foi ? Ce serait s’attirer immanquablement une fatwa. Comme de s’en prendre aux pontes mondialistes. Quand la terreur règne, ne vous attendez pas à des gestes d’un tel panache. En ces temps déraisonnables, il n’y a plus de Don Quichotte. Pour être juste, je suis tombé quand même sur l’une de ces photos. Je pourrais la montrer ici, mais je m’en garderai bien, par pudeur. Il s’agit d’un massacre perpétré par des islamistes au Burkina Faso. Oh, cette photo ne risque pas de tourner en boucle sur nos chaînes et encore moins sur Al Jazeera. Qui se soucie de ces victimes ? Ni le monde musulman, ni l’occident décadent. Qui osera hurler contre les coupables sans arrière-pensée, uniquement au nom d’une certaine humanité ? En ne la montrant pas, au moins personne n’aura l’obscénité de l’utiliser à son avantage.¾