Créer un site internet

Coupables, levez-vous ! (première partie)

Le 22/09/2023

Dans Actualités

Pour oser commettre des forfaitures aussi inouïes que le 11 septembre 2001 ou que l’assassinat de JFK, encore faut-il avoir de sérieux motifs et que ceux qui le décident aient les moyens de leurs ambitions. Mais alors, se demande-t-on, qui sont-ils, ces personnages qui ont tant de sang sur les mains ? Qui sont ces individus qui n’ont pas hésité à sacrifier tant de vies innocentes à leurs noirs desseins ? Car, à force d’incriminer le seul système et ses multiples agences, on en viendrait à penser que ces personnages sont intouchables, protégés par un éternel anonymat.

Ainsi, même aujourd’hui, où les langues de délient, qui a l’aplomb de nommer les donneurs d’ordre de l’exécution de JFK ? En vérité, peu de monde. Les uns et les autres désignent bien la CIA comme le tueur à gages, mais qui pointe du doigt le ou les commanditaires ? Personne ne s’y risque, encore maintenant, de peur des représailles et d’y laisser la vie.

Les temps changent toutefois. La chaîne Kla tv s’est essayée à l’exercice. Elle a pris à bras le corps le problème et a nommé les coupables dans une de ces grandes affaires, dans lesquelles l’Etat profond américain est impliqué jusqu’au cou. Je veux parler du 11 septembre 2001. Ses journalistes ont montré que tous les soupçons se portaient sur les membres éminents d’une institution connue sous l’appellation de CFR (en français, le Conseil des Relations Extérieures). On retrouve ainsi le CFR d’un bout à l’autre de l’investigation.

Le CFR constitue le premier cercle de l’élite oligarchique, qui prend les décisions de façon collégiale, du moins en apparence. Cette structure a pour vocation d’entériner les grandes décisions. Le Bilderberg, la Trilatérale ou même Davos ne sont que ses excroissances, qui ont pris au cours de l’histoire plus ou moins d’importance ou d’autonomie. Mais le CFR demeure sans conteste le cœur du réacteur mondialiste. Der Spiegel, le journal allemand, ne s’y était pas trompé. Dès 1975, il écrivait que c’était « l’institution privée la plus influente d’Amérique et du monde occidental ».

Or, c’est toute la gestion de l’événement 11 septembre que l’enquête de Kla tv va révéler. Et, pour ne pas cultiver l’ambigüité, le média titrera « 9/11 : les tireurs de ficelles ». Au CFR, en effet, se concentrent les vrais tireurs de ficelles. Ils constituent un gouvernement de l’ombre, une sorte de cabinet fantôme privé. Le CFR est le centre stratégique où se prennent les résolutions, quitte ensuite à ce que la CIA, son bras armé, les mette en application.

Screenshot 20230913 192418 telegram

Si rien n’a filtré bien entendu des conciliabules entre ses membres et si aucun verbatim n’est sorti de leurs entretiens, en revanche toute la toile des hommes d’influence nous ramène inlassablement au CFR. Et pourquoi tous ces hommes auraient-ils travaillé en secret pour camoufler tant de vérités, s’ils n’avaient eux-mêmes conspiré afin d’abattre les tours jumelles et le WTC7 ?

Fondé en 1921 par des banquiers de la stature d’un John Rockefeller Jr, ce lobby est toujours en grande partie financé par la dynastie la plus célèbre d’Amérique. De ses fils David et Nelson qui furent à l’origine de la création des Twin Towers, c’est essentiellement David qui siègera au CA et le dirigera au final. Mais Nelson n’en partagera pas moins ses orientations.

Seulement, question légitime, qu’est-ce qui aurait incité les Rockefeller et leurs acolytes à vouloir saborder le symbole de leur réussite ? La réponse est connue depuis une certaine interview d’Aaron Russo, le célèbre réalisateur et producteur d’Hollywood, qui nous a fourni sur un plateau les raisons sous-jacentes d’un acte aussi odieux que gigantesque. Il se trouve que Russo comptait parmi ses relations un membre de la famille Rockefeller, Nicholas alias Nick, lui aussi un familier du CFR. Ce dernier aurait évoqué en aparté avec lui, onze mois avant le 11 septembre 2001, la survenue d’un événement mondial, sans en expliciter la nature. Cet événement devait préparer l’invasion de l’Afghanistan afin de construire des pipelines depuis la Mer Caspienne, suivie de celle de l’Irak, toujours pour des motifs liés au pétrole. Annexer ces zones du Moyen-Orient pour en faire des marches du Nouvel Ordre Mondial entrait dans leurs plans et, à leurs yeux, sacrifier le World Trade Center et des milliers de vies ne semblait pas cher payé pour les réaliser.

En tout état de cause, n’est-ce pas ce à quoi nous avons assisté après le 11 septembre ? Le 11 septembre a permis de justifier ce qui a suivi, la pseudo-guerre contre le terrorisme. Ce n’était qu’une blague, insiste Russo, un écran de fumée destinée à mieux contrôler la population américaine. Or, là encore, n’est-ce pas ce qui s’est passé avec le Patriot Act, signé un mois après seulement ? La mission était pleinement accomplie pour les Rockefeller.

En vérité, c’est une fois le 11 septembre passé qu’on a vu à l’œuvre l’entreprise de camouflage se mettre en branle et ses principaux protagonistes, tous issus du CFR, se démasquer par leurs actions suspectes. Notamment avec la constitution de la Commission dite du 11 septembre. Cette commission était, dès le départ, aussi compromise que la Commission Warren avait pu l’être. Bis repetita, la Commission du 11 septembre, chargée d’instruire le crime, à son tour, comprenait ceux précisément qui le parrainaient.

Après s’être élevé contre l’idée d’une commission indépendante, George Bush avait fini par accepter le principe d’une commission, à la condition d’en nommer lui-même le président. Tout était dit. Bush nomma Kissinger à sa présidence. Encore lui ! Kissinger, l’archétype du tireur de ficelles, membre du CFR et de son CA. Comme indépendance, on fait mieux. Kissinger laissera ensuite sa place à Kean et Hamilton, deux autres membres du CFR eux aussi fortement compromis. Il fallait laver le linge sale en famille. Ces gens-là étaient cooptés pour veiller bien évidemment à ce que la thèse officielle de la culpabilité des 19 pirates de l’air et de leur chef Ben Laden reste la seule à faire les titres des journaux. Soixante dix-huit petites mains se chargèrent au jour le jour du boulot, à la tête desquelles on plaça Philip Zelikow, un ardent propagandiste de ladite thèse. Zelikow, le lecteur ne s’en étonnera pas, appartenait aussi au CFR. Connu pour avoir théorisé l’invasion de l’Irak, Zelikow est celui qui annonça qu’on avait retrouvé dans les décombres des tours les papiers des pirates de l’air. Rien de moins. L’heureux hasard, si je puis dire ! Pour qui s’est un tant soit peu penché sur le dossier technique, il est de notoriété que tout a été pulvérisé. Il n’est rien resté même du mobilier présent aux différents niveaux des tours. Et l’on voudrait nous faire croire que seuls les papiers des terroristes auraient échappé à l’apocalypse ! Tout comme la Commission du 11 septembre fut un copier-coller de la Commission Warren, la découverte de ces papiers d’identité fut un succédané de la balle magique qui aurait eu raison de JFK. A des décennies de distance, toujours les mêmes fables à destination du public !

Zelikow avait également veillé à ce que la Commission ne retienne que les témoins confirmant le discours officiel, écartant d’emblée les autres. Encore une similitude avec les procédés de la Commission Warren. La Commission du 11 septembre ne fut, comme son homologue, qu’une camarilla de faux enquêteurs mais d’authentiques faussaires. George Bush s’était même arrangé pour ne pas avoir à prêter serment devant elle, et pour que son audition ne soit pas enregistrée et qu’elle se déroule à huis clos. Dick Cheney, son vice-président et âme damnée, eut droit au même traitement de faveur. Si ce n’est pas une preuve de leur implication dans l’indicible, qu’est-ce que c’est ?

Ceci dit, dès 2004, le journaliste d’investigation Eric Laurent ne venait pas dire autre chose chez Ardisson. « On est exactement dans la même situation que dans l’assassinat de Kennedy avec la Commission Warren. La Commission d’enquête sur le 11 septembre a totalement effacé toute trace gênante. Les délits d’initiés ne sont pas contenus dans le rapport de la commission, les doutes sur l’identité des pirates de l’air non plus, et il y a aussi un point extrêmement important c’est la personnalité du président de cette commission, Thomas Kean… »

De leur côté, la CIA et le FBI encadrèrent les investigations officielles. La première était dirigée par George Tenet du CFR, qui a osé qualifier certains sujets relatifs au 11 septembre de tabous, autrement dit interdiction de les évoquer, et le second par Robert Mueller, un proche aussi du CFR. Les liens incestueux entre l’administration Bush, de Dick Cheney à Condoleezza Rice en passant par Donald Rumsfeld, et le CFR sont désormais avérés, tout comme ceux entre la Commission du 11 septembre et le CFR. Cette commission n’en fut qu’une succursale. Et elle a eu comme évidente mission d’effacer toutes les traces de culpabilité des véritables instigateurs des attentats et de dissimuler au public leur identité et leurs objectifs.

Passons vite sur le volet financier et économique du dossier. Non pas qu’il soit sans incidence, loin de là, certains initiés comme Larry Silverstein en liaison avec les hommes haut placés du CFR ayant capitalisé des milliards sur la chute des tours, mais le développement de cette facette nécessiterait à lui seul un article en marge de celui-ci.

Screenshot 20230916 094017 telegram
Screenshot 20230916 093912 telegram

Ce qui découle de ce faisceau de présomptions est que tout a été verrouillé par des hommes du CFR pour qu’une version bien arrangeante soit ficelée et présentée aux médias, eux-mêmes peu regardant sur sa véracité. On retrouve un modus operandi similaire à celui employé par leurs prédécesseurs de la Commission Warren. Si les hommes avaient changé, les méthodes n’avaient pas varié d’un iota. Bien sûr, dans ce milieu, aucun ordre écrit ni même oral ne sera retrouvé qui stipulera quels étaient leurs objectifs et quels étaient les donneurs d’ordre. Sans doute, un procès impliquant tous ces hommes aurait mis en lumière les responsabilités des uns et des autres. Car, plus on cherche, plus on trouve. Encore faut-il se donner la peine de chercher et ne pas se contenter de faux semblants. Se serait-on satisfait de juger Al Capone par un jury composé de ses lieutenants ? Depuis longtemps, on aurait dû soumettre ces hommes au feu des questions, et devant un tribunal.

Au cours de l’interview où il révéla les confidences que lui fit Nick Rockefeller, Aaron Russo ne mâcha pas ses mots : « Le 11 septembre a été organisé par des gens de notre gouvernement, de notre propre système bancaire pour créer la peur au sein du peuple américain et pour qu’il accepte tout ce que le gouvernement décide de faire. » A cette époque, il sortit même un documentaire sur l’Etat profond, America… from freedom to fascism. Six mois plus tard, il mourait. Mais il avait eu le temps de nous délivrer sa part de vérités. Le 11 septembre 2001, on nous a donné à voir et à haïr un ennemi qui n’était pas le bon en l’occurrence. Qui est ce « on » ? Eh bien ce sont ceux qui occupent le sommet de la hiérarchie du CFR, dont les noms ont été égrenés, ceux qui savaient et partageaient les buts occultes du gotha de l’élite. Tout pointe du doigt ces infâmes individus qui se sont arrogé le droit d’être à la fois juge et partie et surtout d’avoir commis de telles forfaitures, puis couvert leurs crimes.

En seconde partie, nous revisiterons une fois encore l’assassinat de JFK  à la lumière d’une toute nouvelle révélation faite par un ancien des Services Secrets. Une révélation qui détruit définitivement les conclusions de la Commission Warren et la déconsidère à tout jamais. Elle déconsidère également toute tentative à l’avenir de traiter de complotistes ceux qui cherchent la vérité de façon rationnelle, car dans l’assassinat de JFK aussi seuls lesdits complotistes avaient raison et leurs détracteurs n’étaient que les supplétifs des conspirateurs et assassins. A l’avenir, le fait d’user de cette injure pour disqualifier autrui renverra son auteur au seul rang qu’il mérite, celui de fasciste. Nous verrons encore se confirmer le parallèle avec le 11 septembre, et les mêmes intérêts se coaliser pour commettre l’irréparable.¾

Commission du 11 septembre 11 septembre 2001 CFR

×