Didier Laloum

Le billet d'humeur de Didier Laloum

 

En ces temps où sévit un totalitarisme planétaire

où ni plus ni moins qu'un apartheid s'instaure

avec l'assentiment tacite d'une partie de la population

chaque voix libre doit se faire entendre.

 
 

  

Mes derniers articles

Les grandes manœuvres (I)

Le 17/11/2024

L’écrasante victoire de Donald Trump dans la course à la Maison Blanche a déclenché de grandes manœuvres de part et d’autre, là-bas comme ici. Ce qui frappe de prime abord n’est pas tant la mine déconfite des mainstream à laquelle on s’attendait, mais c’est celle de Trump lui-même. Personne n’a remarqué qu’il n’affichait aucun triomphalisme après sa victoire. Aucun éclat de rire, aucun sourire même. Rien qu’un air grave. D’habitude, le candidat qui décroche la timbale arbore un large sourire au minimum et des effusions de joie retentissent autour de lui. Or, sur la scène, autour de Trump annonçant sa réélection, la même solennité se lisait sur les visages. C’est que l’heure avait sonné, l’heure des grandes décisions. De celles où, comme George Washington traversant le Delaware, on entre une fois pour toutes dans l’Histoire.

Si l’Islam m’était conté

Le 12/11/2024

Tout dernièrement, la marionnette Macron est allée pérorer devant le parlement marocain et faire acte de contrition en louant al-Andalus. Son marionnettiste, Jacques Attali, lui avait fait la leçon depuis longtemps. Dans la confrérie des éveillés, un roman paru en 2004, l’homme de l’ombre, qui se targuera d’avoir fait Macron, rabâche le même conte à l’eau de rose de la coexistence harmonieuse des trois religions du Livre dans l’Espagne musulmane, sous le Califat de Cordoue. Ceci n’était pas gratuit. Il lui fallait accréditer l’idée qu’il était possible d’intégrer pacifiquement des millions de musulmans en France. L’agenda mondialiste était déjà en marche. Pendant que le faiseur de rois rêvait à cette légende, l’islamiste Mohamed Latrèche, à la tête du Parti des Musulmans de France, haranguait la foule dans une manifestation parisienne, aux côtés de chiites purs et durs, proches du Hezbollah. Le mythe pour le « doux rêveur » Attali et la dure réalité pour le peuple de France. Voilà où mènent les chimères mondialistes.

La souricière afghane

Le 06/11/2024

Des signaux indiquent que les grands équilibres sont en train de se rompre. Le mondialisme se fissure, non pas tant par le contrecoup du réveil des peuples que par sa dégénérescence propre, due à son idéologie. L'un de ces signaux est la multiplication des prises de position contradictoires là où l'unanimisme et la discrétion étaient de rigueur auparavant. Ses leaders à l’instar de Von der Leyen et Macron, naguère d'accord, partent désormais en vrille, dans des directions opposées. La première vers plus de mondialisme et le second soudainement entraîné vers l'islamisme. Il semble donc que le globalisme se délite. Un autre de ces signaux est l'avancée en Europe de l'Islam, que le mondialisme avait sous-estimé, trop arrogant pour croire à une concurrence venue du tiers-monde.

Sélection d'articles antérieurs

Raid sur Moscou

Le 27/06/2023

On prête à Rudyard Kipling d’avoir écrit que « la première victime de la guerre est la vérité ». S’il en va ainsi, alors le bon sens vient tout de suite après. En effet, dans cette guerre de nouvelle génération, où le champ de bataille se situe dans nos esprits mêmes, le bon sens est mis à rude épreuve. Les difficultés à se représenter les forces hostiles et celles favorables, la difficulté à cerner les dessous des événements que nous traversons, la difficulté à percevoir certaines fake news des médias de grand chemin, toutes ces difficultés embrument nos esprits, et bien malin celui qui a d’emblée réponse à toutes les questions.

La peur après le covid

Le 25/02/2022

Deux ans de covid, et la peur commençait à s’essouffler. Beaucoup trop de monde ne marchant plus pour une troisième, voire une quatrième dose, un peu partout en occident le narratif covid s’étiolait. Le passe de la honte a été suspendu ou le sera à courte échéance. En attendant le passage à l’identité numérique, le Deep State, acculé dans ses retranchements, se devait de focaliser sur une autre peur. L’affaire ukrainienne allait opportunément le servir.

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La mutation du mondialisme

Le 25/02/2025

« A chaque pas, on rencontre en ce monde une chose inexplicable : c’est pour ceux qui ne peuvent pas les expliquer, et qui ne veulent pas y croire, que le doute a été inventé. » Alexandre Dumas

Depuis le dernier article, il est apparu qu’un chef avait pris finalement le commandement du dernier réduit mondialiste. Si on en croit Viktor Orban, et il y a tout lieu de s’en convaincre, Alex Soros a fui l’Amérique trumpiste pour venir trouver refuge à Bruxelles. De George Soros, nous n’avons aucune nouvelle. Vu son âge, Soros père n’a certainement plus toutes ses facultés. Son héritier a dû prendre la relève. Or, Alexandre Soros donne désormais ses ordres depuis l’Europe. Il s’est donc replié sur Bruxelles. Il y joue les petits chefs, comme il en a pris l’habitude. Regardez-le se faire prendre en photo en train d’émettre ses directives aux européistes, le regard interdit. Puis d’inonder X de ses clichés par pur narcissisme.

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Date de dernière mise à jour : 02/07/2023