Le navire mondialiste est en train de prendre l’eau de toutes parts et ceux à sa barre en sont réduits à écoper. Les forces mondialistes ne doivent pas être sous-estimées cependant. Elles peuvent encore mettre des bâtons dans les roues de Trump, comme la FED de Jérôme Powell qui se livre à une obstruction systématique, et nuire aux peuples européens contre lesquels elles se sont retournées.
Il leur faut donc agir, et vite. Ce qu’elles font dans la précipitation. Mais elles le font de façon si désordonnée que ça ne fait que trahir leur affolement. Si encore cela fonctionnait, mais la machine s’est emballée et les mondialistes, même avec leurs moyens d’ingénierie sociale, se montrent incapables d’éviter les écueils qu’ils rencontrent, quand ils ne les ont pas eux-mêmes créés.
Ils accélèrent donc leur agenda tant sur le wokisme, le climat, l’immigration forcée que sur une paix introuvable en Ukraine. Mais depuis le covid, se sachant démasqués, ils tentent aussi une percée vers le monde arabo-musulman. Non qu’ils n’y aient pas songé précédemment. En effet, leur « rêve » d’Eurabia ne date pas d’hier. Dès les années 70 et les crises pétrolières, ce programme avait été pensé. Mais depuis 2019 et probablement avant, il est devenu pour les têtes pensantes, s’il en reste parmi les mondialistes, une voie de sortie.
Ces totalitaires ont reconnu leurs homologues dans les porteurs du projet islamiste. Entre totalitaires on se reconnait au premier coup d’œil. Après tout, comme les mondialistes, les islamistes veulent « unifier » les peuples de la Terre sous la bannière d’une seule religion, la leur. Je devrais mettre plusieurs paires de guillemets autour du verbe unifier. Cette convergence a dû plaire aux stratégistes de l’oligarchie. Et ces derniers ont insufflé depuis 2019 un vent nouveau pour un changement de cap mais non de but final. Ils souhaitent s’appuyer plus que jamais sur l’Islam. Ils veulent profiter de son dynamisme, de sa force de « persuasion » et de son énergie politico-religieuse à travers une entente « cordiale ». Car bientôt ils savent que seuls face à leurs peuples d’origine ils ne disposeront plus du même ascendant. Avec l’Islam et ses cohortes, c’est une autre affaire et ils comptent s’en servir. Plus que jamais, il leur sera alors aisé de régner sur une masse dominée par le religieux, un religieux intransigeant, un religieux fanatique. Ils ont vu quelle arme pouvait constituer le joug islamique sur des milliards d’hommes dans le monde arabo-musulman. Plus d’aspiration démocratique ni même de révoltes sociales. Il leur suffirait, pensent-ils, d’intégrer dans le système des pions de ce monde politique et religieux musulman pour parvenir à conserver leur hégémonie. Non seulement cela ferait taire l’opposition qu’il est devenu insuffisant de qualifier d’extrême-droite, mais encore cela leur permettrait de s’étendre au-delà de la méditerranée. Voilà leur calcul.
La gauche de la gauche s’étant détournée de l’ex-URSS pour le monde arabe, il en va de même côté mondialisme. Il a opté lui aussi pour ce nouvel allié. Et c’est toute la gauche, de ses extrêmes mélenchonistes jusqu’à celle de pouvoir, c’est toute la gauche qui a acté ce pacte. La réception en grande pompe par le socialiste Macron du leader du HST, devenu numéro un de la Syrie, augure de cette alliance. Les familles des victimes du Bataclan, de Samuel Paty et de toutes les autres victimes de l’islamisme apprécieront. Mais les ponts sont jetés. Le pacte est scellé.
Dès 2019, date de la grande marche contre l’islamophobie à laquelle participa Mélenchon, le tournant était pris. Il fallait déjà habituer l’occidental à intégrer la grande fraternité de l’Islam. L’Europe à laquelle on avait dénié, dans un premier temps, ses racines chrétiennes se voit sommer dorénavant de se reconnaître des origines islamiques. La preuve ? Le projet de « Coran européen ». La voilà la preuve !