Dix preuves irréfutables que nous sommes entrés en totalitarisme (suite et fin)

Le 20/06/2024

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Preuve numéro 6 : La dissimulation des centres de pouvoir d'un régime totalitaire, en particulier dans le cas du mondialisme, s'effectue grâce à la multiplication des services, expression empruntée à Hannah Arendt.

Celle-ci fait remarquer que le « citoyen du troisième Reich hitlérien ne vivait pas seulement sous les autorités simultanées […] de pouvoirs concurrents… ; il ne pouvait jamais savoir avec certitude, et on ne lui disait jamais explicitement, quelle autorité il était censé placer au-dessus de toutes les autres. » Sous le mondialisme, la prolifération des institutions contribue à un constant déplacement du pouvoir. Celui-ci ne cesse de brouiller les pistes, semblant émaner de divers lieux stratégiques sans connection apparente les uns avec les autres. Tantôt, en janvier, c’est Davos qui expose son agenda au grand jour, tantôt, en juin, c’est au tour du Bilderberg de se réunir. Cependant si l'un fait du bruit, les décisions de l'autre sont volontairement omises par les médias, pourtant invités à la grand-messe mais sommés de ne rien laisser filtrer. Le CFR n’est jamais très loin lui non plus, ni la myriade de comités Théodule du genre Aspen Institute qui composent la géographie de ce pouvoir d'élite. Depuis des années, ces organismes se sont agrégés sans qu'aucun disparaisse. Ce mille-feuille permet à l'élite de l'élite de disperser en apparence les responsabilités et de faire croire à des initiatives issues de la société civile et non d’un centre unique de pouvoir. « La seule règle sûre, dans un Etat totalitaire, est que plus les organes de gouvernement sont visibles, moins le pouvoir dont ils sont investis est grand ; que moins est connue l’existence d’une institution, plus celle-ci finira par s’avérer puissante. » Ne pensez-vous pas que de telles paroles, même dans la bouche de la plus grande spécialiste, la feraient passer aujourd'hui pour complotiste ? 

Il n’y a pas si longtemps, seule une poignée d'initiés connaissaient le nom de Bilderberg ou du CFR. Depuis que les médias alternatifs se sont substitués aux médias de connivence afin de nous éclairer sur ces institutions, il est probable que les centres de décision se soient au moins en partie déplacés. Peut-être vers des organes supranationaux comme l’OMS. Hannah Arendt avait une formule pour résumer ça : « Où le secret commence, commence aussi le pouvoir réel. » Que tous les sceptiques et autres debunkers viennent qualifier la grande dame de complotiste elle aussi, si ces nains l'osent ! Les tireurs de ficelles, eux, ont compris que, pour avoir l’assurance d’être intouchables, il valait mieux agir dans l’ombre que dans la lumière. C'était le prix à payer.

Preuve numéro 7 : La spirale totalitaire est également un signe qui ne trompe pas quant à la nature d'un régime. Arendt parle plutôt de radicalisation. « La radicalisation, explique-t-elle, commença lorsque la guerre éclata : on pourrait même avancer l’hypothèse qu’une des raisons d’Hitler pour provoquer cette guerre fut la possibilité qu’elle lui donnait d’accélérer le processus d’une manière inconcevable en temps de paix. Le plus étonnant dans ce processus est cependant qu’il ne fut aucunement stoppé par une défaite aussi cuisante que celle de Stalingrad ; le danger de perdre la guerre ne faisait, somme toute, qu’inciter encore davantage à jeter par-dessus bords toutes considérations utilitaires et à mettre les bouchées doubles pour tenter d’atteindre, grâce à une organisation totale et impitoyable, les buts de l’idéologie raciale totalitaire… » Faites maintenant le parallèle. Les mondialistes, non contents d'avoir "annexé" l'Ukraine en 2014 sous couvert de révolution et d'avoir installé des bases de la CIA à la frontière russe, ont plongé avec obstination dans la spirale de l'échec depuis 2022, se condamnant à rechercher l’affrontement avec Poutine. Les déboires militaires sur le terrain n'ont pas freiné la fuite en avant de leurs chefs de file. Au contraire, ils sont devenus plus nombreux à vouloir passer de la guerre larvée à la guerre totale. Des observateurs l’avaient signalé. Et quand le conflit s'est exacerbé en février 2022, c'est encore un des leurs, l'hirsute Boris Johnson, qui a fait capoter un accord de paix accepté pourtant par les deux parties. Non seulement, donc, ils veulent une victoire par ko contre Poutine, mais encore, même quand la situation leur échappe, ils tiennent à ce que la guerre débouche sur le chaos. L’Ukraine a beau être exsangue, au seuil d’une défaite en rase campagne, l'OTAN a beau avoir démontré ses carences, c'est le cadet de leurs soucis. Ils préféreront boire le calice jusqu'à la lie. Ils franchiront les lignes rouges une à une, sans jamais s’arrêter et négocier la paix.

Les intérêts de la ligue mondialiste n’ont rien à voir avec ceux des nations où elle s'est installée aux commandes. Elle est prête à les sacrifier ainsi que leurs peuples, bien que cela ne serve à rien. Elle n’hésitera pas à transformer sa défaite en une catastrophe finale pour les nations sous sa férule. Dès son intronisation, nous avons vu ainsi Macron spolier la France de ses richesses (Alstom, Astrid et tant d’autres fleurons…). Pour en comprendre la raison, relisez Hannah Arendt : « Comme un conquérant étranger, le dictateur totalitaire considère les richesses naturelles et industrielles de chaque pays, y compris le sien, comme une source de pillage et un moyen de préparer la prochaine étape de l’expansion agressive. » « Cette politique économique de spoliation systématique est poursuivie pour le bien du mouvement et non pour celui de la nation… » C’est précisément ce qui se déroule en France et en Europe, terres vassalisées depuis la seconde guerre mondiale, phagocytées par des traitres à la Monnet et à la Schuman et pillées comme jamais depuis que la spirale totalitaire s’est emballée.

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Propagande lgbt à connotation pornographique et noire réaction populaire (Norvège)

 

Preuve numéro 8 : Pour un régime totalitaire, ce qu’Hannah Arendt appelle le mouvement représente l'objectif prioritaire. Il s'agit de la colonne vertébrale idéologique qui sous-tend le régime. C'est le nord indiqué par la boussole doctrinale. « Ce qui frappe l’observateur étranger comme un prodigieux étalage de démence n’est que la conséquence de l’absolue primauté du mouvement non seulement sur l’Etat, mais aussi sur la nation, le peuple et le pouvoir dont sont investis les dirigeants eux-mêmes ». C’est bien le mot de démence qui vient à l'esprit en constatant le degré d'aliénation atteint par l’idéologie mondialiste. Un crédo climatique totalement aberrant sur le plan scientifique, une folie furieuse à vouloir mutiler les hommes en femmes et inversement par le transgenrisme, une méchante perversion à embarquer les enfants dans le train de la pédophilie et, last but not least, un amour aussi suspect qu'immodéré pour le migrant, qui n’est rien d’autre qu’une infâme manipulation, une xénocratie mortifère, une exploitation de la misère au nom des grands sentiments dont la gauche s’est faite la triste championne. Aussi n’attendez pas la moindre évolution de ces dogmes. Ils sont, en l'état, intangibles. Ce sont les commandements incontournables du mouvement fasciste, appelé mondialisme. Ils détruiront tout, Etat, nation, peuple, plutôt que de varier d’un iota face à la réalité des faits. La vraie folie totalitaire est là.

Preuve numéro 9 : S’il existe indubitablement un trait caractéristique du totalitarisme, c’est bien l’art du mensonge. « Le dictateur totalitaire, nous dit Arendt, peut et doit pratiquer l’art du mensonge totalitaire d’une manière plus cohérente et à plus large échelle que le chef du mouvement. » Autrement dit, Hitler devait mentir davantage après 33, tout en restant cohérent, malgré ses déconvenues qui débutèrent avec l'opération Barbarossa. Une fois installé, le totalitarisme doit mentir de manière totale, jusqu’à l’obscénité, jusqu'à la caricature. Et c’est ce spectacle que le covid nous a offert. Tout à tour obscènes et risibles furent les mensonges d’un Véran ou d’un Macron, d’un Castex ou d’un Salomon. Toutefois, les conditions d’une domination totalitaire n’étant pas complètement réunies, mentir systématiquement au monde entier n’a pu se faire impunément. Nous sommes des millions à nous être réveillés, nous extrayant définitivement de leur emprise.

Dans le registre de la tromperie, ajoutons que faire sciemment le contraire de ce qu’on dit ne vaut guère mieux. Macron ou Véran avait, l’un comme l’autre, juré ne rien conditionner à la vaccination anticovid. Après quoi, ils se sont empressés de faire ce qu'ils s'étaient refusés d'appliquer.

Preuve numéro 10 : La question du secret est de celles qui emportent tout sur leur passage. On a vu que les instances décisionnaires s’entouraient d'un épais secret, notamment à cause de leur multiplication et du flou artistique de la hiérarchie mondialiste. « Plus est visible le pouvoir du totalitarisme, plus ses véritables desseins deviennent secrets. » Hannah Arendt ne se trompait pas. Le secret autour de la solution finale, but ultime des nazis s’il en fut, l'atteste. Toute trace de la conférence de Wannsee fut ainsi détruite par le feu aussitôt que ses participants prirent congé des lieux. L'organisateur Adolf Eichmann y veilla. 

Maintenant que le mondialisme a été démasqué, allez savoir quel but obscur il s’assigne avant d’embraser la planète. Les secrets avec le mondialisme ce n’est pas ce qui manque. On ignore entre autres le fin mot de l’histoire du covid. Le but final était-il l’éradication d’une bonne partie de l’humanité ou sa surveillance ? On ignore encore tout des grands événements qui ont jalonné l’actualité depuis soixante dix ans et des desseins que leurs initiateurs avaient en les perpétrant (11 septembre, assassinat des Kennedy…). Aussi l’histoire du XXème siècle sera à réécrire, une fois ces énigmes percées. 

Laissons maintenant le mot de la fin à Hannah Arendt : « …la défaite ne résidait pas dans une catastrophe militaire, affirme-t-elle concernant le nazisme, ni dans la menace de famine pour la population, mais uniquement dans la destruction des formations d’élite qui étaient censées, de génération en génération, mener jusqu’à son terme --  si terme il y avait – la conspiration pour la domination du monde. » Les mots élite et conspiration sont lâchés. Et Arendt parlait exclusivement du nazisme, malgré l’impression qu'en donne ce texte qui parait avoir été écrit en 2020 ! Cette élite abâtardie n’a pas abandonné sa vieille obsession d'écraser le monde. Elle conspire sournoisement, depuis des générations, mais, dès lors que ses forfaitures sont mises à nu, elle braille qu'elle est innocente comme l'agneau qui vient de naître. Alors qui va la croire, hormis ses membres et les gens politiquement peu regardants ?¾

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