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Le nazi-islamisme à l’origine de l’Union européenne

Le 12/09/2025

Dans Actualités

Nous avons découvert bien des vérités insoupçonnées à l’occasion de l’arnaque covid. En particulier, les racines nazies de la construction européenne. Nous en avons d’ailleurs abondamment parlé ici. Que cette Europe soit par conséquent dominée par l’Allemagne, que ce soit une Europe germanisée ne surprendra personne. D’apprendre que ce soit l’Allemagne nazie qui en a été à l’origine a résonné cependant comme un coup de semonce. Le nazisme n’avait donc pas été terrassé. Loin s’en faut. Mais un livre est sorti qui apporte une pierre supplémentaire à notre connaissance des origines de l’Europe. Ce livre s’intitule « les musulmans et la machine de guerre nazie ». On le doit à un certain David Motadel. L’ouvrage en question, nous dit l’historienne Bat Ye’or, va plus loin que beaucoup d’autres qui ont déjà abordé le sujet. Il a en effet « l’immense avantage de se placer sur le temps long de l’histoire et d’étudier dès la fin du XIXème siècle la géostratégie islamophile de l’Allemagne ». De ses travaux et de ceux de Bat Ye’or il devient clair que, dès le début, la construction européenne a eu comme piliers de sa politique internationale la constitution d’un axe euro-arabe et la programmation à plus ou moins longue échéance de son envahissement par l’Islam.

Nous passerons sur la collaboration nazie-musulmane déjà très documentée, que ce soit dans le domaine de la propagande ou dans le domaine militaire. En revanche, c’est la survivance de ce pacte entre une Europe germanique et le monde musulman, sous la forme d’un axe euro-arabe longtemps occulté et amorcé dans les années soixante dix sous l’euphémisme de Dialogue euro-arabe, qui explique la crise identitaire actuelle. Le premier acte dans cette voie préjudiciable a été sans nul doute la réforme du regroupement familial portée par Giscard d’Estaing en 1976, qui a permis les premières grandes vagues migratoires, essentiellement depuis des pays musulmans.

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Nos historiens distinguent plusieurs grandes étapes :

39-45 : La période de la seconde guerre mondiale a été incontestablement la concrétisation de l’islamo-nazisme. « On est [là] au cœur d’une humanité barbare nourrie d’une émulation entre le nazisme exterminateur et le djihadisme génocidaire ». L’islamophilie des nazis va atteindre de tels sommets que « plusieurs hauts fonctionnaires nazis se convertiront, en premier Himmler, le cerveau et l’architecte de cette vaste stratégie transnationale associant les musulmans à l’idéologie et à la stratégie nazies d’extermination du judaïsme et du christianisme enjuivé ». En approchant de leur défaite, les plus haut gradés, au moins certains d’entre eux, escomptèrent donc que le nazisme ressusciterait dans l’Islam.

45 : « Dans les dernières semaines du régime, indique justement Bat Ye’or, Hitler préconisait, pour la nouvelle Europe qu’il projetait de construire, une politique audacieuse d’amitiés envers l’islam ». Ajouter à cela « qu’excepté l’exécution des grands criminels ou leur fuite, les principaux architectes du nazi-islamisme appartenant au ministère des Affaires étrangères, à la Wehrmacht ou aux SS sortirent indemnes de la guerre et réintégrèrent leurs fonctions », et vous avez les ingrédients d’une résurrection inéluctable sous de nouveaux oripeaux. Voilà qui explique que les institutions de la nouvelle Europe seront infestées dès le départ d’anciens nazis, quand d’autres préfèreront la protection des pays arabes comme Aloïs Brunner qui coulera de vieux jours sous la protection des Assad.

Après 45 : « Une sorte d’internationale nazi-islamique d’après-guerre se dessine [ainsi] entre les Etats-Unis, l’Europe où résident la majorité des nazis et leurs collaborateurs européens et les islamo-nazis des pays arabes et musulmans. » Le ciment de cet internationale ? Ce sera « la mentalité du mépris de la vie juive et conjointement l’admiration pour l’islam ». Mein Kampf deviendra dès lors un best-seller dans le monde arabo-musulman. Cette idéologie « avait prévalu en Europe bien avant 39, [et] était encore très présente après 45. Elle contribua à créer un organisme, l’UNRWA, financé par l’ONU et exclusivement réservé aux Arabes qui avaient fui la Palestine et auxquels s’étaient joints les soldats perdus du nazi-islamisme attirés par les promesses de génocide et de pillage. La seconde manifestation de la rémanence du nazisme fut l’élection comme premier président de la Commission européenne de Walter Hallstein (1958-67), nazi convaincu et auteur en 38 du projet approuvé par Hitler d’une Europe sans juifs ni frontières régie par le IIIème Reich et économiquement liée au monde arabo-musulman. »

En définitive, le monde d’après-guerre est né sous des auspices aussi sinistres que celui de l’entre-deux-guerres ! Les mêmes causes produisant les mêmes effets, il aboutira à l’UE de la furie Von der Leyen. Demandez leur avis aux grecs sur la suprématie germanique au sein de l’UE ! Et puis ce n’est pas la walkyrie qui nous démentira, elle dont le père, Ernst Albrecht, a été de la première commission Hallstein. Ni ses alliés bandéristes de Kiev qui ajoutent une touche néonazie supplémentaire au tableau. Pour bien enfoncer le clou, pour bien signifier que ce n’est pas le fruit d’un malheureux hasard que des sorcières se soient penchées sur le berceau de l’Europe, Bat Ye’or rappelle que le chancelier d’Allemagne dans les années soixante n’était autre que Kurt Georg Kiesinger, « membre actif du parti nazi en 33 et travaillant sous Goebbels dans la section propagande destinée au Moyen-Orient » ou que l’ONU, encore elle, avait à sa tête dans les années soixante dix un certain Kurt Waldheim, « officier autrichien dans la Wehrmacht sur le front des Balkans durant les génocides ». L’historien qui miserait sur de simples coïncidences serait d’une crédulité indécrottable. Ce n’est pas le cas de Bat Ye’or qui pousse plus loin encore la démonstration. « On pourrait multiplier ces exemples, assène-t-elle, quand la Communauté européenne dès les années 70 accepte secrètement l’entraînement sur son territoire de terroristes palestiniens. Réminiscence des exercices militaires des musulmans engagés dans la Wehrmacht et les SS. » Oui, les ferments de l’Europe actuelle ont une autre composante prégnante : l’islamisme. C’est indubitable. Aussi que l’UE soit si foncièrement anti-israélienne et d’une bienveillance aussi déraisonnable envers l’islam ne doit plus nous surprendre. Ses prises de position résultent de son lourd héritage nazi-islamiste. En grande spécialiste de la question, l’historienne nous remémore les tristes événements qui ont jalonné ces cinquante dernières années et que certains à la mémoire courte pourraient avoir oubliés, à savoir : « les attentats terroristes anti-juifs, la piraterie aérienne, le boycott arabe du pétrole et la reddition européenne, les accords officieux du Dialogue euro-arabe entre les députés de tous les partis de la CEE et les pays arabes, accords qui pavèrent la voie de la dhimmitude en Europe et l’insécurité grandissante des juifs d’abord, puis des non-juifs. » Tous ces faits démontrent l’engagement de l’Europe dans la voie tracée par le nazi-islamisme.

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Après 70 : Ce « Dialogue » euro-arabe porte très mal son nom, puisqu’il s’agit avant tout pour les européistes de faire allégeance à l’Islam, ce depuis les années 70. A cette époque, l’Europe a planifié, ni plus ni moins, la fusion des deux rives de la méditerranée au profit du sud. En France, par exemple, on l’a dit, cela a commencé sous Giscard d’Estaing. En dehors du regroupement familial, ce dernier a eu d’autres occasions de faire unilatéralement le jeu de l’Islam. Par exemple, lorsqu’il a assuré l’accueil et la protection de l’Etat français à l’agitateur islamiste Khomeyni. Ou lorsqu’il a eu l’outrecuidance, dans le but de satisfaire les arabes, de tancer Israël pour avoir ordonné un raid sur Entebbe en 76 et libéré les otages des pirates de l’air, des allemands et des palestiniens comme par hasard. Pas un mot de remerciements pour l’équipage français qui eut aussi la vie sauve. Le seul qui y perdit la vie fut le chef du commando israélien, un certain Joni Netanyahu. Drôle de dialogue que ce dialogue euro-arabe où systématiquement les uns reçoivent les coups et les autres les fleurs.

Dans ces années 70 et les suivantes, va s’opérer la structuration de l’Europe « moderne » à coups de traités et loin des peuples. Une Europe qui sera une copie fidèle de celle que voulait Hitler, c’est-à-dire sous domination germanique et plus qu’amicale avec l’Islam. De fait, elle a été le résultat de ce qu’ont mis en œuvre des nazis, en costume trois pièces peut-être, mais des nazis. Pour laisser croire à un deal et donner le change, pour faire en sorte qu’on n’y voit pas une politique délibérée d’abandon des valeurs culturelles de l’Europe pour celles de l’Islam, le troc s’est fait en douce : le pétrole contre l’ouverture des frontières mais aussi l’ouverture à l’Islam, sa culture, sa foi et son message politique. Les pères fondateurs, on l’a dit, étaient de grands laudateurs de la culture islamique. Probablement c’est le totalitarisme et la violence de cette culture qui les ont attirés. Bat Ye’or parle d’une stratégie de subornation de l’Europe par les pays arabes avec la complicité des instances dirigeantes européennes. Du reste, la Commission ne pilote-t-elle pas un dispositif financier qui sert cette politique eurabienne ? L’Europe s’alignera d’abord d’un point de vue politique sur les états de la Ligue arabe, avant de s’aligner d’un point de vue culturel. N’a-t-elle pas au final renoncé à ses racines judéo-chrétiennes par haine de soi ? « La honte que ces élites éprouvent à l’égard de leurs ancêtres, a pu dire l’érudit Raymond Ibrahim, et l’éloge qu’elles font de leurs ennemis sont révélateurs du degré auquel elles ont été endoctrinées dans une histoire aux antipodes de la réalité. » Le corollaire de ce pseudo-dialogue est qu’il s’est fait en priorité sur le dos d’Israël. La chose ne semble plus guère étonnante si elle provient des successeurs des nazi-islamistes. On comprend aussi pourquoi les européistes font la fine bouche sur les Accords d’Abraham de Trump qui rebattent les cartes. Et on comprend surtout pourquoi Israël est si persécuté par l’ONU, une autre instance percluse de nazi-islamistes ou de leurs descendants. Enfin on comprend pourquoi les palestiniens tiennent tant à leur droit au retour des « réfugiés », un stratagème pour submerger Israël par la démographie, au moment où d’autres musulmans en font autant avec l’Europe.

En résumé, l’Europe qui ouvre ses portes aux musulmans de la terre entière, qui leur fait la part belle au détriment de ses citoyens de souche, qui flatte la religion islamique contre les autres religions, surtout le christianisme, qui ignore les meurtres au nom d’Allah et traite de racistes ceux qui exigent de sévir… cette Europe-là n’est en fait que l’aboutissement abâtardi du nazi-islamisme. C’est le projet d’Hitler dans toute son horreur. Une construction pour une destruction. Et laisser la place ensuite à un intégrisme de bédouins. Le pire est que toute la gauche a sombré en récupérant ce projet européiste. Elle, qui se dit antifasciste, la voilà qui vomit son antisémitisme. Faut-il qu’elle soit démente en plus d’illettrée. L’Europe, elle, est devenue une pourriture à force de soumission à l’Islam et de trahison envers ses peuples. Elle n’a jamais été autre chose qu’un projet innommable qui a germé dans l’esprit morbide de nazi-islamistes sous couvert de démocratie. On a vu en 2005 où était la démocratie. Nulle part. C’est ce que les historiens honnêtes finiront par reconnaître tôt ou tard.   

Durant la guerre, l’Allemagne avait coagulé autour d’elle ce qu’on a appelé les puissances de l’Axe. Depuis, l’Axe s’est reconstitué entre l’Europe à dominante germanique et les pays arabes. Et ce que nous voyons arriver aujourd’hui au Royaume Uni, en France, en Belgique ou en Allemagne s’explique aisément sous cet éclairage. Et que voyons-nous arriver de surréaliste ? Une député britannique en hijab qui prête serment au Parlement en jurant sur le Coran et en invoquant Allah, un prêtre interpelé car lisant la bible à haute voix dans la rue, accusé d’incitation à la haine puis jeté en prison, une représentante musulmane qui apostrophe les belges peu contents de voir ce que devient leur pays et qui a le culot de leur demander de le quitter si ça ne leur plait pas… Les exemples sont aussi révoltants que nombreux, pour ne pas voir qu’ils n’ont lieu que parce qu’une vision politique mortifère sous-tend ce virage affolant. Et qu’on la doit à Hitler et au grand mufti de Jérusalem !

Photo d'illustration : L'historienne Bat Ye’or

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