La Gauche : grandeur et décadence

Le 11/12/2022

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Comment se fait-il que beaucoup de figures mondialistes (Schwab, Soros ou Von der Leyen en sont des exemples patents) aient des ascendants familiaux en lien étroit avec le nazisme, alors qu’elles professent un progressisme débridé à leurs administrés ? Le mondialisme plonge tellement ses racines dans le nazisme que certains ont appelé son projet de gouvernance mondiale le quatrième Reich. Et pourtant le Nouvel Ordre Mondial a choisi de jouer la carte de la gauche radicale, partout où son embryon de pouvoir s’exerce. Comment est-ce possible ?

Le Nouvel Ordre Mondial doit tout au mouvement New Age, à la Franc-maçonnerie et aux Illuminati. L’engagement de ces obédiences contre les sociétés conservatrices chrétiennes explique qu’elles aient été souvent cataloguées à gauche. D’ailleurs, elles ne s’en formalisaient pas. Il pouvait même leur arriver de le revendiquer.

Mais ce n’est pas pour autant que le national-socialisme ne s’est pas rapproché de ces milieux dans ses racines intellectuelles. Il a d’abord conservé le terme connoté de socialisme dans son appellation. Et, par ailleurs, bien que Wikipédia rejette le fait comme une théorie du complot, mais que peut-on attendre d’autre des gauchistes qui ont pris d’assaut la plateforme, le nazisme a frayé dès ses débuts avec l’occulte, notamment avec l’Ordre de Thulé, lui aussi arborant une svastika bien avant le parti d’Hitler. L’historien Ralph Epperson déplore à ce sujet que beaucoup de ses confrères aient occulté la chose. Chez les historiens il ne doit pas non plus manquer de francs-maçons qui cultivent l’art du secret au point de se censurer.

Article de Wikipédia sur l'Ordre de Thulé

Au sortir de la seconde guerre mondiale, le globalisme a cherché à se repositionner. Les horreurs du nazisme, une fois éventées, ont certainement beaucoup compté pour qu’ils décident de s’en éloigner officiellement. De là ont commencé la reductio ad hitlerum de leurs ennemis et le politiquement correct. Une vieille technique en vogue du côté du Kremlin. Ils se sont mis à épouser les thèses progressistes et à les diffuser dans le débat public et dans les universités. Jusqu’à la caricature. Jusqu’à ce que ces thèses, aujourd’hui avec le wokisme, marquent la fin des Lumières, comme le dit Mafesoli. Pour autant, ces prises de position ne valent que pour la plèbe. Eux faisant partie de la race des seigneurs, du moins c’est ainsi qu’ils se voient, demandez à Laurent Alexandre, ne se sentent pas concernés. C’est la filiation nazie qui transparait dans leurs déclarations. Plus question d’humanisme et de tolérance. Et ce qu’ils désignent sous le vocable de désinformation n’est autre que l’expression d’un discours opposé au leur, empreint lui d’humanisme et de patriotisme. Cela, ils ne le supportent pas. Si ce n’est pas le propre de l’intolérance, du sectarisme et du totalitarisme, dites-moi ce que c’est ?

Brandir l’étendard du progressisme à l’intention des foules à évangéliser, si je puis dire, a été, de leur part, une idée de génie. Ils se définissaient ainsi comme le camp du bien, toujours en opposition à l’extrême-droite, par principe fasciste. Une posture bien confortable pendant toutes ces années. Tous, peu ou prou, nous y avons cru, à un moment donné ou à un autre, aveugles à la manipulation derrière la langue de bois.

Et la gauche au lieu de renoncer à ce rôle l’a accepté. Sciemment, pour ses politiciens, de Mitterrand à Macron. Elle s’est vue plus belle qu’elle n’était, mais qu’importe. Seulement aujourd’hui les choses commencent à se voir. Elle va devoir payer pour ses renoncements et sa corruption. On parlera bientôt de la gauche comme on parle de l’extrême-droite. Elle ne s’en rend pas compte. Pourtant elle va devenir aussi infréquentable.

La gauche, et je le répète, toute la gauche, a endossé le rôle flatteur que lui ont attribué les mondialistes, disons à partir de Bilderberg, c’est-à-dire des années 50. Soixante-dix ans plus tard, ses représentants, adoubés par les puissants de ce monde, pensent s’en sortir en adoptant des positions aux antipodes des bons sentiments dont ils nous ont abreuvés tout ce temps. Un seul exemple : leur vénération de l’inclusion. Ils nous en ont rebattu les oreilles, ce qui ne les a pas empêchés de refuser la réintégration des soignants suspendus, après tout ce que l’on sait dorénavant des pseudo-vaccins, de leur inefficacité et de leur nocivité. Où est-elle leur inclusion pour ce valeureux personnel ? C’est un principe à géométrie variable chez elle apparemment. Non, la gauche est forte en gueule, mais elle s’est détournée depuis longtemps des petites gens, les fameux sans-dents de Hollande. Elle avait déjà abandonné les gilets jaunes entre les mains des massacreurs du socialo-mondialiste Macron. Elle renonce désormais à la France et obéit à ses liquidateurs.

La gauche s’est trop compromise, qui plus est depuis le covid, avec les mondialistes pour échapper à son sort. Il est trop intimement lié à celui des mondialistes. A aucun moment, la gauche n’a fait mine de se démarquer d’eux. Bien au contraire. Elle leur a emboîté le pas, voire l’a devancé. Alors passons aux preuves pour s’en convaincre.

Les socialistes constituent peut-être la faction la plus traitre, à gauche. Nous avions déjà découvert le haut degré de trahison d’un Fabius, quand, à la tête du Conseil Constitutionnel, celui-ci avait approuvé le passe sanitaire malgré toutes les infractions du texte de loi à l’encontre des lois antérieures. Nous avions eu l’occasion de remarquer la complicité du sénateur Jomier, plus covidiste que Véran. Rappelons aussi que les covidistes de la macronie venaient pour une grande part du Parti Socialiste. La gauche socialiste ferait-elle amende honorable après ses errements ? Aucunement. Le falot et intransigeant Patrick Kanner vient de réaffirmer que son groupe et lui-même avaient toujours été pour la vaccination obligatoire des français et qu’ils ne signeraient jamais un texte réintégrant les soignants suspendus. Alors pourquoi n’a-t-il pas appelé à injecter ses collègues députés et sénateurs ? Pourquoi y aurait-il deux poids deux mesures ? L’individu, au passage, juif et franc-maçon (il faudra m’expliquer comment est-ce possible), s’obstine dans l’incohérence et l’infamie. Et vous pensez que cette canaille se préoccupe du peuple ? C’est un secret de Polichinelle, les socialistes n’ont pas été les derniers à être introduits en politique par les Rothschild. Ils continuent de les servir plutôt que leur peuple.

Hidalgo prise a partie
Poutou

Anne Hidalgo prise à partie par un passant parisien : "Vous êtes la honte de la France !" et Philippe Poutou pour l'obligation du port du masque

Mais toute la gauche officielle est-elle vraiment vendue aux mondialistes ? Non, pas le NPA, direz-vous. Qui pourrait soupçonner Poutou de collusion avec le grand, l’énorme capital ? Eh bien détrompez-vous. Le grand révolutionnaire s’est déclaré à nouveau favorable au masque obligatoire, au moins dans les transports en commun. Bravo camarade collabo !

Du côté écolo, on ne fait plus dans la dentelle. Non contents de rendre nos villes insalubres et invivables par leur gestion déplorable, ils ne perdent jamais une occasion de s’élever contre la culture française ou de promouvoir des folies côté sexe. Mais surtout, forts de leur incompétence en matière de science, ils sautent sur toutes les occasions de tirer sur la sonnette d’alarme en affabulateurs compulsifs qu’ils sont. Partant de là, le sinistre Jean-Marc Jancovici en appelle à un système communiste, rien que ça, pour soi-disant épargner la planète. Il songe aussi à cesser de soigner coûte que coûte les personnes âgées malades qui ne font qu’aggraver l’empreinte carbone. On croirait vivre dans Soleil vert ! Il y a quelques jours, Pierre Cassen s’est fendu d’un portrait au vitriol contre ce nouveau Salomon, ce croque-mort du climat. Encore un apparatchik climatique, prêt à sacrifier les vieux sur l’autel d’une idéologie imaginaire mais en faveur d’un plan suicidaire qui lui ne l’est pas, imaginaire. Toujours en provenance de ce bord, Philippe Mürer nous apprenait que la porte-parole du mouvement écologiste fanatique Extinction Rébellion n’était autre que la conseillère du Secrétaire général des Nations Unies. A moins de croire au Père Noël, il n’y a là aucune coïncidence. L’activiste Sophia Kianni ne s’est pas retrouvée aussi proche des sommets sans avoir eu l’aval mondialiste. La dame n’est qu’un pion sur leur échiquier. Le Nouvel Ordre mondial sait comment récupérer à son avantage les écervelés de la gauche.

Greta thunberg et judith curry
Alexis corbiere

A gauche toute, maintenant ! Mélenchon, on le sait, est un grand admirateur du régime communiste chinois. Jamais vous ne l’avez entendu émettre la moindre réserve à son endroit. Encore moins, lorsque les lugubres brigades blanches, escadrons de la mort new look, se sont mis à sévir dans les rues de Chine ou dans les camps de quarantaine. Ces hommes de main du PCC ont exécuté avec zèle les mesures inhérentes à la politique zéro covid dont s’enorgueillit tant la Chine. A leur palmarès, ils ont bouclé des immeubles au poste à soudure pour y séquestrer les habitants. Ailleurs, ils ont laissé les résidents crever dans l’incendie de leur immeuble… Mélenchon a raison, que dire sinon que le communisme chinois est paradisiaque. En revanche, la grande gueule de la gauche a su venir à la rescousse du mondialisme. L’avez-vous écouté beugler contre le monde multipolaire des BRICS et prêcher pour un ordre mondial unique ? C’est pourtant ce qu’il vient de faire lors d’une conférence avec beaucoup de conviction. Mélenchon était en mission commandée pour le compte de ses frères francs-maçons probablement. Concernant son parti, La France Insoumise,  je ne peux à chaque fois que je prononce ces mots me retenir de rire, on a appris qu’il retirait finalement sa proposition de loi de réintégration des soignants suspendus. Ultime félonie à l’égard du peuple. C’est à souhaiter qu’ils paient un jour, les uns et les autres, pour chacune de leurs trahisons.

Hommes en blanc du pcc
Sondage nupes

Arrestation de brigades blanches de la mort en Chine et un sondage NUPES qui montre un résultat ignoble à gauche

Le gouvernement a remis sur le tapis la réforme des retraites. Il menace de l’adopter grâce à un énième 49.3. Mais la gauche se bat-elle bec et ongles contre ? Avez-vous vu ses bataillons arpenter les rues comme à son habitude ? A-t-elle seulement sollicité ses troupes pour manifester contre l’effondrement économique qui vient et les pertes d’emplois consécutives ? Non. Elle n’en a rien fait. Elle aura tout perdu, jusqu’à son crédit moral. Surtout son crédit moral. Ses représentants dans le milieu dit journalistique ne sont que des Joffrin, autrement des canailles sans grande envergure intellectuelle. Ils servent la soupe à leurs alter ego pour couvrir la vénalité de la macronie. Derniers épisodes du dévoilement de la corruption systémique : les affaires Pannier-Runacher et Braun tous deux pris la main dans le sac. On l’a dit à maintes reprises, et ce n’est pas une fleur de rhétorique, la condition sine qua non pour intégrer la macronie est de montrer patte noire, celle de  la corruption.

Et puis la gauche a trop tiré sur la corde. Elle a trop triché, car elle ne veut pas reconnaître le verdict issu des urnes. Les Démocrates américains en sont la caricature. Elon Musk, en reprenant Twitter, a exposé les pratiques censoriales de la gauche. Celles des démocrates du DNC et de Biden. Les démocrates avaient une ligne directe avec la direction de Twitter et n’avaient qu’à décrocher pour donner leurs ordres durant la campagne de 2020, afin de censurer l’opposition ou quiconque avait le malheur d’échanger sur le laptop de l’enfer, l’ordinateur de Hunter Biden, qui renfermait les preuves de leurs crimes. Si le grand public avait su, Joe Biden n’aurait pu être élu, même en fraudant. Mais l’a-t-il seulement été ? On s’en souvient, les démocrates étaient montés sur leurs grands chevaux lors du scandale du Watergate pour destituer Nixon, mais eux ont fait pire. Cent fois pire. A côté, le Watergate passerait pour une peccadille. Et qu’ont-ils à dire sur leurs méfaits ? Rien. Ils nient ou s’emploient à relativiser, quand Nixon au moins avait eu la décence de démissionner.

Puisque nous en sommes à la censure, parlons maintenant des moyens qu’a imaginés la gauche mondialiste pour faire taire la contestation. Dans la rue, il y a leurs sections de choc : les antifas, les BLM et les black blocks. Jamais interpelées, jamais arrêtées, jamais inculpées malgré la violence qu’elles sèment sur leur passage, ces troupes d’enragés agissent systématiquement sous la protection de Soros ou, chez nous, sous celle de l’appareil d’Etat macronien. Ils jouissent ainsi d’une immunité pour les services qu’ils rendent en occupant le pavé ou en noyautant certaines manifestations. Au sein des médias, il y a ensuite les fact-checkeurs. Ils sont au verbe ce que les antifas sont à la rue. Le plus souvent un pois chiche en guise de cervelle, tout ce petit monde du débunkage émarge à l’extrême gauche. Je veux parler des Rudy Reichstadt, Julien Pain, Tristan Mendès France ou Antoine Daoust… Leur rôle consiste à intimider par la violence verbale, tout comme les antifas le font par la violence de leurs actes. Tous sont recrutés à l’extrême-gauche. En connaissez-vous un qui soit patriote ? Pas un. Ajoutez à ces mercenaires de la plume la prise déjà consommée de Wikipedia par la gauche radicale, et vous aurez un aperçu des stratagèmes d’embrigadement de la parole.

Pour la gauche, la fin justifiant les moyens, tous sont bons pour se maintenir au pouvoir. Au Brésil, elle s’est alliée aux trafiquants de tout poil. A l’annonce des résultats de la dernière élection présidentielle, le peuple est-il descendu dans la rue pour fêter l’icône de la gauche altermondialiste Lula ? Aucunement. Seuls des gangs de trafiquants dans les favelas ont manifesté leur contentement en tirant quelques salves. En revanche, la victoire volée à Bolsonaro a déclenché un mouvement populaire qui embrase encore le Brésil. N’est-ce pas là une nouvelle forfaiture du camp censé défendre le peuple ? Signalons en passant qu’en Argentine Cristina Kirchner, la camarade de Lula, est tombée pour corruption grave.

Le tableau ne serait pas complet si l’on n’évoquait pas ses penchants pédopornographiques et satanistes. Mais il y aura d’autres occasions d’aborder ce douloureux chapitre. Remettons-le donc à plus tard.

Pour faire la leçon, la gauche est imbattable. Pour se l’appliquer, c’est autre chose. Sa morale ne s’applique qu’à ses adversaires. Voilà pourquoi elle a tant séduit en plus de ses prêches jadis humanistes. La gauche aura trahi tous ceux qu’elle semblait défendre, les uns après les autres : le peuple, les pauvres, les travailleurs, les femmes, les minorités... Un jour ce sera le tour des migrants. Tous ses beaux discours n’auront servi qu’à illustrer le bon mot de Pasqua : les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Elle sera finalement restée fidèle aux seuls mondialistes qui ont toujours été ses sponsors.

La gauche me fait penser à Karl Marx. Ce dernier savait vitupérer contre les tenants du grand capital. Il leur reprochait entre autres d’avoir de la domesticité. Mais sait-on que le père du communisme, malgré l’indigence de sa situation, disposait d’une bonne à demeure ? Sait-on encore que des amours ancillaires s’ensuivront et qu’un enfant naitra de leur union ? En l’occurrence, Karl Marx se comporta comme les bons gros bourgeois qu’il dénigrait. Le marxisme, en pratique, débutait sous les meilleurs augures.¾

 

Photo d'illustration : Les Antifas

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