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Les confidences de Jan

Le 15/09/2023

Dans Actualités

Donald Trump a suffisamment été le bouc émissaire de l’Etat profond pour ne pas en rajouter par un manque de reconnaissance de notre part. Rendons-lui au moins justice pour sa contribution à le faire vaciller. « Il est le seul homme politique, s’insurge l’équipe de Quantum Leap Traduction, à avoir eu [par exemple] le courage de parler de la traite des enfants et de mettre en place des actions concrètes… » « …en France quel homme politique a osé en parler ? » Vous pouvez décliner cette sentence à propos de bien d’autres sujets : de l’iniquité des élections dans nos démocraties, de la partialité des médias, du dévoiement de la Justice, de la prévarication de la Médecine, des graves égarements de l’Education, que sais-je encore…

On peut également comparer Trump à ses prédécesseurs et à son successeur Biden dans un domaine encore plus capital, la guerre. Des Bush à Biden en passant par Obama, tous ont lancé des guerres, excepté Trump qui demeure l’unique président de l’époque moderne à ne pas avoir déclenché de conflit militaire. Au contraire, puisqu’il a entre autres à son actif d’avoir résorbé les tensions avec la Corée du Nord.

Mais citons à ce stade les propos du procureur Jim Garrison, celui-là même qui reprit l’enquête sur l’assassinat de JFK, à la suite de la commission Warren et de ses manquements. Dans son livre intitulé A Heritage of Stone, il déclare : « Tant que le travail des assassins de Kennedy n’aura pas été défait, les présidents iront et viendront, mais la machine de guerre et ses vastes tentacules de renseignements, tant nationaux qu’étrangers, resteront aux commandes. L’assassinat a réduit le président des Etats-Unis à un fonctionnaire éphémère, un serviteur du conglomérat de guerre. » Et c’est précisément ce qui a eu lieu aussitôt que Trump a été évincé en 2020. Le complexe militaro-industriel a repris de plus belle son offensive belliqueuse. Il n’a pas fallu attendre plus d’une année avant qu’une guerre par procuration n’engage les Etats-Unis contre la Russie à travers l’OTAN.

Mais revenons en arrière, en 2016 et à l’élection présidentielle qui résonna comme un coup de tonnerre pour le Deep State, qui pensait contrôler les élections et placer son pion Hillary Clinton. Le discours d’investiture de Trump en 2017, que nous connaissons ici désormais, fut de dire qu’il ne s’agissait pas d’une simple passation de pouvoir d’une administration à une autre, d’un parti à un autre, mais bien d’un transfert de pouvoir de Washington DC au peuple des Etats-Unis. Il n’en a pas fallu davantage pour que les médias occultent à l’époque ses paroles libératrices. Le discours ne fit pas non plus les gros titres chez nous. Mais il prend avec le recul tout son sens.

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Tentons de résumer maintenant ce qui se passe en coulisse, tel que les réseaux sociaux l’avancent depuis plusieurs années. Inauguré président en 2016, Trump a signé en septembre 2018 des ordres exécutifs, le 13848 (qui impose des sanctions en cas d’ingérence étrangère dans une élection américaine) et le 13818 (qui permet de saisir les biens des personnes impliquées dans de graves violations des droits de l’homme ou dans des actes de corruption). Trump se doutait bien que la fraude redoublerait en 2020. Mais l’armée ayant effectué un décompte des bulletins de vote, en particulier la branche appelée Space Force, et ayant acté que 80% des voix s’étaient portées sur Trump, celui-ci n’aurait pas quitté ses fonctions, en réalité. Conformément à ses ordres exécutifs émis à cet effet, il aurait assuré une continuité de gouvernement, connue sous le nom de plan de dévolution, et mis en place par l’armée, tout au moins ses éléments loyaux.

Toujours opérant en sous-marin, Trump aurait laissé croire que Biden était bien le président des Etats-Unis. En réalité, il ne serait président que de la société privée US Inc circonscrite au seul territoire de Washington DC. Son investiture n’aurait été qu’une parodie, un film hollywoodien pour duper l’ennemi et le démasquer. Des acteurs y auraient même joué certains rôles. Nombreux ont été les alerteurs à évoquer, dès janvier 2021, toutes les anomalies de cette investiture. Biden n’aurait d’ailleurs toujours pas les codes nucléaires. Mais n’insistons pas et poursuivons.

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Aucun président en exercice n'a jamais bénéficié d'un tel cortège, peut-être bien parce que Trump est toujours aux commandes !

D’autres indicateurs sont venus confirmer ce qui ne restait jusqu’à présent qu’une thèse. Parmi les derniers en date, Trump a confirmé sur son réseau Truth Social son rôle de commandant en chef, de président en temps de guerre, considérant que l’Amérique avait été attaquée par des pays qui s’étaient ingérés dans l’élection 2020 et avaient soudoyé des personnes comme Joe Biden. Sûr de son bon droit et déterminé, Trump a même annoncé : « Nous mettrons fin au trafic d’enfants, nous détruirons l’Etat profond. Pelosi finira en enfer. » L’animosité entre les patriotes et le Deep State, on le sait, culmine à un tel niveau que c’est pour chaque camp une question de vie ou de mort. Soit nous survivons et ils vont en enfer payer leurs crimes, soit l’humanité s’éteindra dans un effroyable capharnaüm. Mais une autre phrase sortie de la bouche de Trump est venue ajouter de l’eau au moulin des tenants de la dévolution : « Nous utiliserons toutes les ressources étatiques, locales, fédérales et militaires nécessaires pour mener à bien la plus grande opération de déportation nationale de l’histoire américaine. » Il me semble que cette phrase, pourtant lourde de sens, est passée souvent inaperçue. Elle confirme l’existence d’un plan de dévolution. D’ailleurs, même Newsweek Magazine s’en est fait l’écho. C’est dire que le Deep State prend cela très au sérieux. « Selon de nouveaux documents et interviews d’experts militaires […] [il existerait] des lois souterraines pour assurer la continuité de gouvernement. Elles sont si secrètes que, dans le cadre de ces projets extraordinaires, une dévolution pourrait contourner les dispositions constitutionnelles normales en matière de succession gouvernementale, et les autorités militaires pourraient être placées aux commandes de toute l’Amérique. »

L’idée circule donc depuis trois ans qui veut que Trump, après avoir usé de tous les recours légaux pour destituer l’establishment, avoir exposé le marais selon son expression et avoir constaté le blocage des institutions toutes vérolées, en aurait appelé à l’armée. Une fois informée de la situation et assez éveillée pour entendre de grandes révélations sur la noirceur de ceux qui la dirigent, la population verrait alors elle aussi en l’armée la solution. Ainsi l’appel aux forces militaires ne ressemblera pas à un coup d’Etat mais à une reprise en main par le peuple des instances du pays. Trump veut éviter une guerre civile, que l’Etat profond n’hésitera pas à provoquer pour lui barrer la route. Le chaos a toujours servi les desseins mondialistes de gouvernement mondial unique. Et le conditionnement a tellement pénétré les populations qu’il est indispensable de ne rien brusquer et de les réveiller avec ménagement. D’où, disent les commentateurs, le temps interminable que prend ce renversement de pouvoir. Il ne faudrait pas que le peuple égaré par ses bourreaux en vienne à prendre parti pour eux.

Certains vont même très loin et pensent que si l’Etat profond commet de telles bévues et se déconsidère tout seul de manière aussi grossière, c’est que la fameuse alliance est au contrôle et amène en douceur le réveil des peuples en les faisant assister à une sorte de film pour que la « masse critique » des réveillés soit atteinte. Pour ceux qui pensent ainsi, des événements comme la dédollarisation poussée à marche forcée par les BRICS et l’arrestation étonnante de Trump n’auraient pu avoir lieu de la sorte si l’Etat profond avait encore la main. Pour eux, « il n’est pas agonisant, il est mort. » Inutile de dire que je ne partage pas entièrement cette vision éthérée des choses. Car enfin, si l’Etat profond n’était pas à la manœuvre, qui aurait perpétré les incendies choquants à Maui en août dernier ? Qui d’autre sinon aurait lancé un tel programme de vaccination, aux répercussions si désastreuses ?

Nous en étions là de nos spéculations, lorsque Jan apparut. Et le cercle de famille s’agrandit. Et les trompettes de la vérité retentirent, soufflant un grand vent d’espoir. Ce petit bout de bonne femme, teigneuse et mordante, le Dr Jan Halper-Hayes, a su électriser son auditoire en dispensant sa vision des faits. Travaillant au DoD, cette proche de Trump a laissé entendre que ses efforts se déployaient actuellement pour sonder la population à partir des réseaux sociaux, afin de prendre les décisions idoines le moment venu. C’est comme si Jean Moulin était venu sur Radio Londres évoquer le débarquement à claire et intelligible voix. Nous y reviendrons, mais commençons par lister quels éléments factuels elle a corroborés au cours de ses diverses interviews, notamment les plus récentes.

Jan s’est donc confiée à plusieurs antennes et a confirmé les éléments suivants :

  • La Space Force a enregistré tous les résultats de 2020 en temps réel. Si vous pensez qu’elle n’a pas les résultats réels de l’élection, vous vous trompez. Ce furent ses propres mots.
  • Le DoD a tous les éléments, mais Trump savait que s’il présentait l’un ou l’autre de ces éléments dès le début, nous aurions une guerre civile. Il pensait vraiment que les gens avaient besoin de voir à quel point la situation pouvait empirer. Trump a voulu à tout prix éviter un bain de sang à sa population.
  • Le président Trump a mis les Etats-Unis en faillite… mettant fin à un traité de 1871 avec la Monarchie [Britannique] et le Vatican… pour ramener les Etats-Unis à une République. Les Etats-Unis sont alors passés de la nation souveraine qu’elle était à une corporation détenue par des capitaux étrangers. Avez-vous vu le visage du pape ? Il a fallu 650 avions pour enlever notre or. Trump aurait amené cet or à Fort Knox au nez et à la barbe de la Reine et du Pape.
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Il y a une semaine encore, Jan répondait aux questions de John de The Patriots Voice. John n’en revint pas lui-même des questions qu’il osa lui poser. En quelques mots, voilà ses réponses :

  • Oui, il y a bien un plan, sous-entendu une alliance résistant au plan mondialiste de Great Reset.
  • Oui, les fameux chapeaux blancs existent bien et œuvrent pour le bien de l’humanité.
  • Parmi les militaires américians, on compterait 200 généraux. Seulement 7 non militaires participeraient au plan.
  • Il y aurait bien un événement déclencheur pour l’acte final où l’armée prendrait ouvertement le contrôle du pays et jugeraient les acteurs principaux du Deep State. Jan pense que cet événement pourrait être l’affaire criminelle de Trump en Géorgie. Ce qui signifie qu’il serait alors imminent.

Précédemment, à la mi-août, Jan était reçue dans le podcast de Nino Rodriguez. Elle y déclara faire partie d’une cellule de douze personnes surveillant les médias sociaux afin d’estimer le degré d’éveil des foules. Et cela dans le but d’en informer un groupe chargé d’une opération psychologique dont l’objectif est de régler au mieux le timing des interventions au sein du plan. Mais le plus remarquable est cette dernière confidence qui fouette le moral de la résistance :

  • Les militaires attendent l’opinion publique pour intervenir. L’armée, comme vous le savez, finira par entrer en jeu. Ensuite nous devons déterminer le moment opportun et être en mesure de prédire la date de l’événement. Autrement dit, dans cette guerre de cinquième génération, l’équivalent du débarquement en Normandie aura bien lieu. Sa date n’est qu’une question stratégique.

Beaucoup font preuve encore de leurs réticences vis-à-vis de cette résistance qui est pour eux une arlésienne. Mais analysez les faits, comme pour le covid. Une fois un certain nombre de faits significatifs en notre possession, seule résiste l’explication d’une force de résistance tirant elle aussi les ficelles dans l’ombre. Je propose pour finir quelques-uns de ces faits qui ne s’expliquent qu’à la lumière de cette présomption.

Question liminaire : Si les Démocrates n’avaient pas été entravés dans leurs mouvements, comment ont-ils pu choisir Biden comme candidat en 2020 ? Il était déjà sénile et notoirement corrompu.

Question : Si l’armée a permis à Trump de l’emporter en 2016 en neutralisant la fraude orchestrée par l’élite de pouvoir, pourquoi n’a-t-elle pas récidivé en 2020 ? Sinon pour exposer la fraude en prenant le peuple à témoin et en faisant porter à Biden et aux siens la responsabilité du naufrage du pays pendant son mandat.

Question : Pourquoi Biden aurait-il reconduit les ordres exécutifs 13848 et 13818 à trois reprises, qui risquent de l’envoyer devant un tribunal pour haute trahison ? Sinon parce que les patriotes le contrôlent. De même, pourquoi, après avoir dénoncé la Space Force, ne l’a-t-il pas démantelée s’il siégeait bel et bien au Bureau ovale ? De même pourquoi avoir déclassifié tous les documents fédéraux concernant la pandémie covid, qui risquent de les incriminer, lui et son camp ? Pourquoi, après avoir cherché à fermer Guantánamo, l’avoir prolongé et même agrandi ? Les démocrates et les rinos redoutent en effet d’y finir leurs jours, car Gitmo est connue pour être une base où se tiendraient leurs procès par des tribunaux militaires et où on y exécuterait les sentences.

Question : Si le camp de Gitmo est un doux fantasme de complotiste et que des têtes du Deep State n’y sont pas transférées pour être jugées, condamnées et exécutées, si rien de tout cela n’a de réalité, dites-moi alors pourquoi l’ancien chef du personnel du DHS, le Département de la Sécurité, Miles Taylor, est venu pleurnicher sur MSNBC. Il craignait que Trump, dans l’éventualité de son retour, ne l’envoie croupir à Gitmo pour traîtrise. Il faut dire qu’en la matière le freluquet s’y connait. Voilà quelques années, il avait été une taupe à l’intérieur de l’administration Trump.

Enfin, le 11 septembre dernier, tout un symbole, le banquier d’affaires suisse, Pascal Najadi, qui souffre d’effets secondaires graves suite aux injections qu’il a reçues, a confirmé en conférence de presse ces informations restées sous cape, à commencer par le fait que l’Amérique est bien en ce moment sous loi militaire.¾

 

Photo d'illustration : Jan Halper-Hayes et Donald Trump

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