Il y a une semaine encore, Jan répondait aux questions de John de The Patriots Voice. John n’en revint pas lui-même des questions qu’il osa lui poser. En quelques mots, voilà ses réponses :
- Oui, il y a bien un plan, sous-entendu une alliance résistant au plan mondialiste de Great Reset.
- Oui, les fameux chapeaux blancs existent bien et œuvrent pour le bien de l’humanité.
- Parmi les militaires américians, on compterait 200 généraux. Seulement 7 non militaires participeraient au plan.
- Il y aurait bien un événement déclencheur pour l’acte final où l’armée prendrait ouvertement le contrôle du pays et jugeraient les acteurs principaux du Deep State. Jan pense que cet événement pourrait être l’affaire criminelle de Trump en Géorgie. Ce qui signifie qu’il serait alors imminent.
Précédemment, à la mi-août, Jan était reçue dans le podcast de Nino Rodriguez. Elle y déclara faire partie d’une cellule de douze personnes surveillant les médias sociaux afin d’estimer le degré d’éveil des foules. Et cela dans le but d’en informer un groupe chargé d’une opération psychologique dont l’objectif est de régler au mieux le timing des interventions au sein du plan. Mais le plus remarquable est cette dernière confidence qui fouette le moral de la résistance :
- Les militaires attendent l’opinion publique pour intervenir. L’armée, comme vous le savez, finira par entrer en jeu. Ensuite nous devons déterminer le moment opportun et être en mesure de prédire la date de l’événement. Autrement dit, dans cette guerre de cinquième génération, l’équivalent du débarquement en Normandie aura bien lieu. Sa date n’est qu’une question stratégique.
Beaucoup font preuve encore de leurs réticences vis-à-vis de cette résistance qui est pour eux une arlésienne. Mais analysez les faits, comme pour le covid. Une fois un certain nombre de faits significatifs en notre possession, seule résiste l’explication d’une force de résistance tirant elle aussi les ficelles dans l’ombre. Je propose pour finir quelques-uns de ces faits qui ne s’expliquent qu’à la lumière de cette présomption.
Question liminaire : Si les Démocrates n’avaient pas été entravés dans leurs mouvements, comment ont-ils pu choisir Biden comme candidat en 2020 ? Il était déjà sénile et notoirement corrompu.
Question : Si l’armée a permis à Trump de l’emporter en 2016 en neutralisant la fraude orchestrée par l’élite de pouvoir, pourquoi n’a-t-elle pas récidivé en 2020 ? Sinon pour exposer la fraude en prenant le peuple à témoin et en faisant porter à Biden et aux siens la responsabilité du naufrage du pays pendant son mandat.
Question : Pourquoi Biden aurait-il reconduit les ordres exécutifs 13848 et 13818 à trois reprises, qui risquent de l’envoyer devant un tribunal pour haute trahison ? Sinon parce que les patriotes le contrôlent. De même, pourquoi, après avoir dénoncé la Space Force, ne l’a-t-il pas démantelée s’il siégeait bel et bien au Bureau ovale ? De même pourquoi avoir déclassifié tous les documents fédéraux concernant la pandémie covid, qui risquent de les incriminer, lui et son camp ? Pourquoi, après avoir cherché à fermer Guantánamo, l’avoir prolongé et même agrandi ? Les démocrates et les rinos redoutent en effet d’y finir leurs jours, car Gitmo est connue pour être une base où se tiendraient leurs procès par des tribunaux militaires et où on y exécuterait les sentences.
Question : Si le camp de Gitmo est un doux fantasme de complotiste et que des têtes du Deep State n’y sont pas transférées pour être jugées, condamnées et exécutées, si rien de tout cela n’a de réalité, dites-moi alors pourquoi l’ancien chef du personnel du DHS, le Département de la Sécurité, Miles Taylor, est venu pleurnicher sur MSNBC. Il craignait que Trump, dans l’éventualité de son retour, ne l’envoie croupir à Gitmo pour traîtrise. Il faut dire qu’en la matière le freluquet s’y connait. Voilà quelques années, il avait été une taupe à l’intérieur de l’administration Trump.
Enfin, le 11 septembre dernier, tout un symbole, le banquier d’affaires suisse, Pascal Najadi, qui souffre d’effets secondaires graves suite aux injections qu’il a reçues, a confirmé en conférence de presse ces informations restées sous cape, à commencer par le fait que l’Amérique est bien en ce moment sous loi militaire.¾
Photo d'illustration : Jan Halper-Hayes et Donald Trump