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Du côté de chez Sam

Le 07/08/2025

Dans Actualités

Du côté de chez l’Oncle Sam, les choses bougent. La bataille fait rage. Trump assène ses coups. Les Démocrates se divisent et se font déborder par leur extrême-gauche islamiste. Le mondialisme est pris en tenaille. Comme il n’est pas question pour lui de composer avec Trump, il se commet de plus en plus avec les islamistes. Ainsi, après l’Espagne et la France, l’Angleterre donne un blanc-seing au Hamas en reconnaissant, sans contrepartie, un Etat palestinien sur des ruines fascistes. Car Gaza n’est qu’une ruine fasciste, une sorte de Dresde 2025. Et la douce France d’ouvrir ses portes aux gazaouis, devenus tous des réfugiés comme par miracle, et qui s’aperçoit que ce sont pour la plupart des nazislamistes. La gauche Sciences Po, qui se dit antifasciste, les cajole de son côté et pourtant la majorité, à l’instar de Nour Ataallah accueillie en grande pompe par l’IEP de Lille, fait l’apologie d’Hitler. Mein Kampf est son livre de chevet. Allez comprendre la gauche qui hurle contre les fascistes, tout en s’alliant à des adeptes du Führer ! Allez comprendre cette gauche à la dérive ! L’Europe devient elle aussi un champ de ruines que se partagent les mondialistes d’en haut et les islamistes d’en bas, au fur à mesure que le marécage de Washington cède du terrain.

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A ce propos, Trump a redoublé ses offensives contre l’Etat profond. Sa Directrice du Renseignement National Tulsi Gabbard a sorti les dossiers compromettants qui visent Barack Obama, Hillary Clinton, l’ancien directeur de la CIA John Brennan, James Clapper le prédécesseur de Gabbard à l’époque d’Obama et l’ex-directeur du FBI James Comey pour avoir fomenté un coup d’état contre Trump en 2016-2017. Tous sont mouillés. Les preuves ressortent plus accablantes que jamais. Elles devraient conduire, dans un Etat qui se flatte à tort d’être un Etat de droit, tout ce vilain petit monde devant des hautes cours de Justice pour trahison et crime contre la nation. On ne reviendra pas sur l’affaire des courriels de Clinton, sur le Russiagate pour compromettre Trump, sur l’Obamagate pour avoir orchestré avec les agences de renseignement des faux dans le but de destituer Trump. On sait désormais que l’opération pour impliquer Trump dans une collusion avec la Russie a été organisée par Obama en personne, lors d’une réunion secrète à la Maison Blanche, le 9 décembre 2016.  Tout ressort dans les médias, même si ici c’est le black-out et si là-bas les médias de gauche tentent tout pour innocenter Obama et détourner l’attention du public sur d’autres sujets. Ainsi que le dit Guy Millière, il fut un temps où les médias de gauche américains ne publiaient pas des mensonges et des ignominies, ce temps est révolu… Pour autant, le président de la Commission de surveillance de la Chambre des Représentants James Comer a assigné à comparaitre d’ici quelques semaines certaines de ces personnalités. Ces comparutions seraient en rapport avec l’affaire Epstein. Le juge Napolitano a spécifié sur Newsmax qu’un refus de comparaitre entrainerait une arrestation. Et dans l’affaire du Russiagate, un Grand Jury devrait se réunir en Floride, loin du Washington et de ses coups bas.

Trump a décoché aussi ses flèches contre la FED  de Jérôme Powell. Désirant reprendre les rênes de l’économie, Trump doit pouvoir conduire la politique monétaire de son pays. Il réclame en particulier des taux d’intérêts plus bas. Mais l’actuel patron de la FED, Jérôme Powell, non seulement fait de l’obstruction, mais encore est incapable de rendre des comptes sur des milliards de dollars partis en fumée. Le président américain manœuvre donc. Il semble vouloir que le Conseil des gouverneurs de la Réserve Fédérale prenne le contrôle et que Powell soit débarqué. C’est pourquoi des pressions se sont exercées sur une gouverneure nommée par Biden, une certaine Adriana Kugler. Opportunément celle-ci a envoyé à Trump sa lettre de démission. Ce dernier va pouvoir la remplacer par un allié de son choix et effectuer le virage qu’il souhaite.

De concert, RFK Jr et Trump ont lancé des attaques contre Big Pharma. L’un adresse un ultimatum aux géants pharmaceutiques (Novartis, Sanofi, Pfizer…) pour qu’ils baissent drastiquement le prix de leurs médicaments et l’autre leur interdit d’introduire du mercure (du thiomersal) dans les vaccins, fidèle à sa croisade pour assainir le secteur de la Santé. Il a également dénoncé le trafic d’organes et ses horreurs : « Nos conclusions, a-t-il déclaré, montrent que les hôpitaux ont autorisé le processus de prélèvement d’organes alors que les patients montraient encore des signes de vie ». Allez ensuite faire don de vos organes ! Il a annoncé encore qu’il mettait fin à 22 contrats de « vaccins » ARNm. Un coup fatal pour Moderna, Pfizer ou Sanofi. « Paradoxalement, a-t-il balancé, les vaccins ARNm créent des mutations et prolongent les pandémies ! La technologie ARNm provoque plus de risques que d’avantages pour ces virus respiratoires. » Mais RFK Jr n’a pas toujours les coudées franches. Il doit faire face à son administration, soupçonnée d’agir dans son dos. Le marais est vraiment profond et ses taupes très nombreuses.

Trump bataille aussi à l’international. Par exemple, il ne ménage pas l’UE et les européistes. Peut-être même a-t-il employé les méthodes de l’Etat profond pour forcer Von der Leyen à courber l’échine. Il avait, n’en doutons pas, des dossiers sur elle, en particulier les fameux sms échangés avec Bourla, susceptibles de la faire plier lors de leurs tractations commerciales. De plus, il l’a fait en la convoquant dans une de ses propriétés, en Europe. Un symbole ! Il a agi de même avec Starmer. Il les a tous deux sermonnés : à l’une pour ses saletés d’éoliennes, à l’autre sur la liberté d’expression brimée dans son pays. Il avertit aussi les européens de stopper la submersion migratoire, s’ils ne veulent pas y perdre leur âme. C’est une preuve de plus que Trump ne se moque pas du sort des européens. Le séisme qu’il a déclenché en forçant VdL à endosser le mauvais rôle est la meilleure aide qui soit pour faire voler en éclats l’UE. Le mouvement des petits patrons allemands furieux a fait reculer Merz et l’exécutif français est même sorti de ses gonds, et pas pour défendre VdL. La zizanie s’est emparée de l’UE. Le feu couve.

Bien qu’il demeure des RINO (des républicains traitres) comme ce John Thune au Sénat, dont l’obsession est de bloquer les nominations de Trump, ce sont les déchirements entre Démocrates qui apparaissent significatifs. D’abord leur popularité est en berne. Selon une enquête du Wall Street Journal, 63% des électeurs inscrits ont une opinion défavorable des Démocrates contre 33% qui ont une opinion positive. Le pire score pour le DNC depuis 1990. Leurs idées sont battues en brèche sur tous les sujets dominants. Ensuite, des revenants nommés Biden et Harris, dont les Démocrates ne veulent plus, sont bien décidés à continuer d’occuper le devant de la scène. Les Démocrates voudraient bien se débarrasser de ces encombrants, mais ce n’est pas aussi simple. Surtout Biden dont la sénilité ne fait plus mystère. A quoi rime qu’il s’accroche ou qu’on s’accroche en son nom ?

Matt Margolis, chroniqueur à PJ Media, parle même de guerre interne au Parti Démocrate. Ce ne sont plus seulement des fractures. Il en va de « l’âme du Parti ». En voulant multiplier les primaires, les socialistes derrière Zohran Mamdani défient les figures démocrates adoubées jusque-là par l’Establishment. Même le leader des Démocrates à la Chambre des Représentants, Hakeem Jeffries, qui a succédé à la retorse Nancy Pelosi, est visé. Trop « modéré et établi ». Les représentants Ritchie Torres, Jerry Nadler, Dan Goldman et Yvette Clarke sont dans leur collimateur également. Un séisme se prépare. Les éléphants du Parti comme le sénateur Chuck Schumer ont bien senti le danger de se faire déborder et se sont abstenus de soutenir Mamdani. Cependant l’absence de réaction des caciques du parti devant la rébellion des socialistes ne laisse pas d’étonner. Même Jeffries feint d’ignorer la menace. Alors, le sournois trouve le moyen d’accuser les Républicains de vouloir frauder en 2026, ce que ne cessent de faire les Démocrates sous sa coupe. Voilà ce qu’en dit encore Margolis : « Au lieu de s’opposer aux radicaux, trop de figures de l’Establishment se recroquevillent sur elles-mêmes, espérant que la tempête passera. Mais l’apaisement ne fait qu’enhardir les insurgés. Chaque fois qu’un personnage comme Mamdani s’en tire en calomniant les dirigeants du parti, la gauche marginale devient plus forte et plus effrontée. Si le Parti Démocrate continue sur cette voie, les résultats seront catastrophiques pour lui […] Les radicaux peuvent penser qu’ils gagnent, mais en réalité ils brûlent la maison même qu’ils prétendent vouloir diriger. La guerre civile démocrate… est là, elle est laide et elle s’intensifie. L’extrême-gauche est en train de brûler sa propre maison, et l’Establishment est impuissant à l’arrêter. »

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Mais comment se fait-il que le tout puissant Establishment se retrouve désarçonné face à l’islam, qui lui taille maintenant des croupières. Difficile de le savoir. Les pontes ne communiquent pas là-dessus. Néanmoins ils savent sans l’ombre d’un doute que, derrière ces « socialistes », se dissimulent des islamistes. Ont-ils eux aussi fini par miser sur l’Islam ? Quant à l’enhardissement de leurs protégés, les gauchistes, il n’a lieu que parce que ceux-ci se sentent plus forts en ayant épousé la cause islamiste. Or, le moment venu, Mamdani saura prendre le virage. C’est ce que ne semble pas voir l’auteur de ces lignes. Vainqueur des primaires à New York, Mamdani briguera donc la mairie en novembre. Mais il est davantage islamiste que socialiste, une couverture qui lui permet de passer pour fréquentable. Ce musulman, tout socialiste qu’il se présente, refuse de condamner le Hamas ; il participe aux manifestations antisionistes et veut généraliser l’intifada. Tout est dit. Son vernis marxiste ne trompe personne. Même cas de figure à Minneapolis où, des primaires démocrates, est sorti en tête un certain Omar Fateh, un islamiste proche de la congressiste antisémite Ilhan Omar. Tout ça ne relève pas du hasard. Il faut remonter à l’ère Obama pour comprendre comment le Parti Démocrate a été noyauté pour le transformer en un parti gauchiste puis islamo-gauchiste. La tournure des événements au DNC ne peut donc que satisfaire Obama. Il a en effet une lourde responsabilité dans le dynamitage de son propre parti pour en faire un marchepied pour l’Islam. Et si pour l’heure le Parti démocrate présente encore une façade rouge, elle virera très vite au vert, une fois revenu au pouvoir. L’Islam entraîne le mondialisme à sa perte, plus sûrement que le souverainisme, parce qu’il agit de l’intérieur. La guerre intestine au sein de la gauche mondialiste augure donc d’un changement de maître : c’est le grand remplacement du mondialisme par l’islamisme, celui des grands notables par des imams, celui de George Soros par Tariq Ramadan ! Il y a encore quarante ans, on aurait pu imaginer que le bloc communiste ait raison un jour de l’empire américain, mais jamais on aurait cru l’islam de taille à l’abattre.


Photo d'illustration : © Branco

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