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Trump l'incassable

Le 22/07/2024

Dans Actualités

Avant « on disait ‘en attendant Godot’, nous on attend novembre… » Pierre-Yves Rougeyron

Une noire américaine, supposée ne pas voter Trump à cause de son prétendu racisme, faisait remarquer qu’aucun mauvais président n’avait jamais été assassiné ou même pris pour cible. « Les présidents qui ont fait du mal à notre pays s’en sont bien sortis. Ils vivent leur vie. Ceux qui ont fait du bien ont été victimes de tentatives d’assassinat. » Dans la première catégorie, on casera les Bush, Obama et Clinton, si on se limite à l’histoire récente des Etats-Unis. Dans la seconde, JFK, Reagan et désormais Trump. D’une façon générale, avez-vous vu des mondialistes notoires échapper à des tentatives d’assassinat ou y succomber ? Seuls leurs opposants sont ciblés.

La presse, après avoir nié carrément qu’il y ait eu attentat contre Trump ou avoir tout simplement  passé sous silence l’événement comme à Times Square où aucun moniteur ne l’a signalé, la presse a fini par en rejeter la faute sur Trump lui-même. A parcourir ses colonnes, il aurait attisé la violence, l’aurait semée comme un vent mauvais et n’aurait fait que récolter la tempête. Seulement, on le sait, ils procèdent toujours pas inversion accusatoire. Car qui a semé la haine contre l’autre ? Que n’a-t-on pas entendu ou lu contre Trump ! De Biden appelant ses donateurs à prendre Trump pour cible et à « mettre dans le mille » au Washington Post qui n’a pas peur du ridicule à force d’outrance en comparant Trump à Hitler, ils se sont tous déchaînés pour le diaboliser. Lui qui n’a cessé de répéter vouloir la paix en Ukraine comme au Moyen Orient. Lui qui n’a pas déclaré de guerre durant son mandat, rappelons-le aux amnésiques, et qui a relocalisé l’outil de production industrielle afin de redonner du travail et un meilleur niveau de vie à son peuple, en particulier aux minorités ethniques. La communauté noire a d’ailleurs changé du tout au tout à son sujet. C’est donc un comble de le comparer à celui qui a mis le monde à feu et à sang et qui fut un fléau pour son peuple. En fait, c’est le système médiatico-politique, sous l’injonction de ses hiérarques, qui n’a cessé d’attiser la violence en répandant de fausses rumeurs, puis en incitant le premier tordu à éliminer le 45ème président des Etats-Unis d’Amérique. Ceci, pour des raisons identiques à celles qui inspirèrent le complexe militaro-industriel, lorsqu’il se décida à assassiner JFK. Le même complexe a déclaré une lutte à mort à Donald Trump. Parce que Trump ne voit aucune nécessité à se lancer dans une guerre, parce la prospérité de sa nation l’emporte à ses yeux sur celle des grands groupes américains, parce qu’il a sûrement l’ambition de « briser la CIA en mille morceaux  et de l’éparpiller aux quatre vents » de même que l’Etat profond dans son ensemble, c’est pour toutes ces raisons qu’on a juré sa mort. La presse a chauffé à blanc les esprits contre lui. Elle l’a fait jusqu’à l’hystérie, au point que beaucoup le détestent sans trop savoir pourquoi. Les artistes n’ont pas été pas en reste pour distiller la haine envers lui et ils auront ensuite le toupet d’appeler à lutter contre la haine. Comme l’écrit si justement Elon Musk, ce ne sont pas les discours de haine qu’ils veulent interdire, ce sont les discours qu’ils haïssent.

A la question « Est-ce que vous avez déjà souhaité la mort de quelqu’un ? », la bêtasse Foresti a répondu avec un sourire aussi large que niais : « Si Trump ! Je pense qu’il va se faire descendre ! J’ai décidé qu’il allait se faire descendre. » Minute de haine orwellienne, comme l’a noté un internaute. Le degré zéro du langage est atteint, lorsque les saltimbanques se mêlent de vouloir exprimer une pensée politique du haut de leur médiocrité. En 2017, le gauchiste millionnaire Ruquier éructait sur un plateau tv, lui aussi avec ce ricanement de demeuré : « C’est quand même le seul Donald dont on aimerait qu’il soit abattu pour cause de grippe aviaire ! » Des applaudissements fusent alors d’une salle bien conditionnée et ivre de la même haine. « Notez bien que s’il continue comme ça, poursuit le ricaneur, la CIA pourrait bien lui organiser une petite balade en décapotable à Dallas… » Sensationnel ! On assiste à un appel au meurtre en direct. Et ça ce n’est pas de la haine, vous qui n’avez que ce mot-là à la bouche ? Le saligaud d’animateur se range sans équivoque du côté des meurtriers sans foi ni loi, valide les thèses de la CIA parrain du crime contre JFK et lui suggère carrément d’en faire autant avec Trump ! Ruquier est décidément le meilleur des larbins de l’oligarchie. Et ça se dit faire partie de la gauche morale ! Il encourage le Dulles de l’époque à éliminer purement et simplement celui qu’on a donné à haïr aux peuples. Combien de temps ces clowns noirs se répandront-ils sur les ondes ? Combien de temps les gens prêteront-ils l’oreille à ces fourberies ? S’il y a une justice en ce bas monde, le Ruquier devrait subir les conséquences de ses appels à la haine et au meurtre, et d’abord pénalement. Je passe sur « il est con, incompétent, raciste, misogyne et menteur ». Puis Ruquier le qualifie de « gros blanc » ! Le perroquet Ruquier a bien appris sa leçon et démontre qu’il est le vrai raciste des deux. Comme le souligne un certain Gilles Sacaze, « apprécions la grande neutralité politique d’un service public irréprochable ». Pour ces bouffons, quelle est la part de bêtise, quelle est la part de conformisme ? Je l’ignore. Le savent-ils seulement ! A cette heure, la gauche mondialiste, expression devenue un pléonasme, tolérante comme elle est, doit regretter amèrement que Trump n’ait pas été abattu.

La même année, souvenons-nous qu’il s’agissait de la première année de Trump en fonction, s’est déroulé un épisode cocasse sur Europe 1. Le président recevait à la Maison blanche le premier ministre espagnol. En relatant la chose, la rédaction d’Europe 1 beaucoup plus sur la ligne mondialiste que celle d’aujourd’hui, avait fait des gorges chaudes d’une prétendue bévue de Trump qui avait appelé le premier ministre le président du gouvernement. Que n’avait-il pas dit ! Quelle faute de protocole ! Les journalistes s’étaient moqués de lui à n’en plus finir. Christophe Hondelatte commence ensuite son émission, comme si de rien n’était. Mais en douce veut en avoir le cœur net et cherche à vérifier l’info durant les pubs. Lorsque son émission s’achève, il rend l’antenne aux mêmes journalistes mais en profite pour les tancer vertement. Apprenez, leur dit-il, que le titre exact du premier ministre en Espagne s’intitule Presidente del Gobernio, ou le président du gouvernement. Alors avant d’accuser qui que ce soit, vérifiez vos infos… et les protocoles ! Rarement ces propagandistes ont été recadrés, que dis-je, mouchés aussi crument et en public. Il aurait été heureux qu’un autre Hondelatte mouche le sieur Ruquier en le menaçant de poursuites judiciaires.

Evidemment la même chasse aux sorcières a eu lieu et continue aux USA contre celui qui ne fait pas mystère de combattre l’establishment. L’ancienne directrice de la communication de Biden, Kate Bedingfield, reconvertie en collaboratrice de CNN a déclaré sur ce média que les Démocrates doivent  « ouvrir le feu en direction de Donald Trump » ! Les mots me manquent. Et dire que ça a été directrice de la communication de la Maison Blanche ! Au passage, voyez comment elle est passée du pouvoir fédéral à un média de masse. La terrible consanguinité ! La charmante bécasse rectifie finalement et s’excuse pour sa rhétorique maladroite. Chose que n’ont pas faite Foresti ni Ruquier.

La vision qu’ont beaucoup de Trump n’est que le résultat d’un bourrage de crânes à un stade jamais égalé. Elle montre les prouesses de l’ingénierie sociale américaine mais aussi la crétinerie et l’aveuglement de certains. Il faut dire que la diabolisation de Trump a mieux fonctionné à gauche, où elle a fait de gros dégâts parmi la canaille antifa.

Un autre bateleur, Nikos, lui aussi dès l’arrivée de Trump au pouvoir a cru bon lors d’une de ses émissions de divertissement dresser un réquisitoire contre Trump, alors que le cuistre n’avait jamais levé le petit doigt contre Merkel quand elle saignait à blanc le peuple grec, deux ans plus tôt. Le monde du spectacle est décidément d’une puanteur insoutenable.

Venons-en maintenant à ce que représente Trump. De quoi Trump est-il le nom ? Suite à la tentative d’assassinat contre sa personne, avec son fight, fight, fight, le poing levé, la mine ensanglantée, les traits marqués mais plus que jamais offensif, il restera le symbole de la lutte contre les puissants. David contre Goliath. Il fait désormais figure d’homme providentiel, n’en déplaise à ceux qui nous affirment qu’il n’y a aucun sauveur. Pour nous mobiliser, nous avons besoin d’exemples forts, de modèles, d’une personnalité qui incarne ces valeurs foulées aux pieds, l’idéal d’un monde sain, généreux et pacifique. En avons-nous seulement un en France ou en Europe qui ose affronter cet empire de la mort, un qui ne plie pas devant cette tâche herculéenne ? Un qui soit prêt à recevoir les flèches de haine des mondialistes ? Non. Les seuls qui pourraient se comparer à Trump, et encore, ce serait Nigel Farage en Angleterre et Viktor Orban en Hongrie. Si nous gagnons cette guerre, nous français n’aurons aucun De Gaulle pour nous aider à retrouver notre honneur perdu.

En France, en 1940, il y a eu le Général qui a incarné cette volonté inexpugnable de ne rien céder au totalitarisme et à l’invasion de ses troupes barbares. Ils n’étaient pas nombreux à l’époque derrière lui. A lui seul ou presque, il a sauvé l’honneur d’un pays et si les français ont pu se regarder à nouveau dans la glace cinq ans plus tard, ce fut grâce à lui. Le combat aujourd’hui est davantage encore titanesque, tant le mal provient d’un peu partout et qu’il se prend pour le bien !

Trop de zones d’ombres, de questions légitimes laissées en suspens, trop d’incohérences pour savoir qui est vraiment le tireur, s’il y en a eu plusieurs ainsi que l’éventualité a pu apparaître, s’il a eu des commanditaires et lesquels, pour se prononcer sur les responsabilités des uns et des autres, à commencer par celles du Secret Service, dont la cheftaine est une proche de Jill Biden. Rien que ça ! En revanche, comptez sur les msm pour vous éloigner de la vérité. Lorsqu’une version officielle arrangeant l’Etat profond aura fini d’être élaborée par ce dernier, attendez-vous à ce qu’elle soit martelée dans les colonnes du Figaro comme sur CNN. Vous serez alors fermement convié à la prendre pour argent comptant et à circuler.

Alors oui on attend novembre 2024 parce qu’on sait que si Trump l’emporte il taillera des croupières au Deep State et, on l’espère, mettra en pièces son narratif, sa structure et ses moyens de nuire. Trump représente l’espoir de sortir de ce cauchemar par la grande porte. Laisser le Deep State poursuivre son effroyable machination et ce sera la guerre, la famine, l’esclavage par QR codes et le déferlement de virus savamment concoctés.

Trump est certainement un homme providentiel, à la De Gaulle. Mais il n’avance pas seul. Il a derrière lui tout un appareil : une bonne partie de l’armée, de la NSA, du renseignement militaire et du contre-espionnage, une armée de l’ombre qui travaille elle aussi pour saper l’Etat profond. Cette armée, que les réseaux ont dénommée les chapeaux blancs a usé des mêmes dissimulations que l’Etat profond pour le prendre à son propre jeu. Afin de vous rendre compte de cette force, à laquelle personnellement je crois beaucoup, je vous conseille cette longue intervention d’Alexis Cossette sur Géopolitique Profonde qui à l’occasion de la tentative d’assassinat de Trump développe bien des événements méconnus du grand public. Dans ses raisonnements n’intervient que la logique découlant de faits incontestables. Aucune supputation oiseuse ou gratuite. Vous trouverez le lien ici. Il revient sur le fait que l’armée est allée chercher Trump pour mener la bataille au grand jour. Il soulève toutes les incohérences de la situation pour justifier qu’à son avis cette force contrôle Biden in fine et dévie toutes les flèches que l’Etat profond décoche à Trump. Certains n’en croiront pas une miette, et pourtant ses thèses sont solides, ses arguments robustes, et lui reste un des meilleurs connaisseurs de la politique américaine, ce depuis une décennie au moins.

Nous devons tous à Trump notre réveil face au danger mondialiste. Jocelyne Traduction confesse à ce propos que « sans Trump, [elle] ne saurait même pas qu’il existe un Etat profond. {Elle] n’avait aucune idée de la façon dont le système était réellement truqué jusqu’à ce qu’il tire le rideau, nous dise la vérité et soit ensuite persécuté pour l’avoir fait.» Effectivement, sous l’initiative de Trump et son équipe, un bataillon de citoyens journalistes s’est constitué, a répandu les informations que les médias de grand chemin occultaient délibérément. Son message a parcouru la terre entière grâce aux réseaux sociaux et à internet. En France, par exemple, on peut estimer à un tiers de la population les personnes qui savent ce qu’est le mondialisme, ses objectifs, son leadership, son agenda mortifère et ses méthodes cyniques. Un bon tiers qui sait se défier des médias traditionnels comme de la peste et ne les consulte plus que pour dénigrer leur malhonnêteté.

L’espoir de voir Trump revenir à la Maison Blanche, c’est l’espoir de voir un projet bien ficelé, son agenda 2025, être appliqué afin de réformer l’appareil bureaucratique supérieur et ses agences de sécurité. C’est voir ôter à l’Etat profond ses moyens de nuisance. Notamment celui de la FED, en la limitant sérieusement, en lui interdisant l’impression de l’argent par exemple, ou en l’abolissant tout bonnement. Le volant monétaire serait ainsi restitué au peuple.

Si Trump n’a pas inventé l’expression Etat profond, il l’a démocratisée, et, croyez-moi, elle est assez éloquente pour qu’on en comprenne intuitivement la signification. Mais au-delà de la bataille cognitive, Trump nous montre la voie. Il donne de sa personne. Il se bat chaque jour contre la pieuvre et demande que chacun en fasse autant à son niveau, comme l’aurait dit JFK en son temps.¾

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