La même année, souvenons-nous qu’il s’agissait de la première année de Trump en fonction, s’est déroulé un épisode cocasse sur Europe 1. Le président recevait à la Maison blanche le premier ministre espagnol. En relatant la chose, la rédaction d’Europe 1 beaucoup plus sur la ligne mondialiste que celle d’aujourd’hui, avait fait des gorges chaudes d’une prétendue bévue de Trump qui avait appelé le premier ministre le président du gouvernement. Que n’avait-il pas dit ! Quelle faute de protocole ! Les journalistes s’étaient moqués de lui à n’en plus finir. Christophe Hondelatte commence ensuite son émission, comme si de rien n’était. Mais en douce veut en avoir le cœur net et cherche à vérifier l’info durant les pubs. Lorsque son émission s’achève, il rend l’antenne aux mêmes journalistes mais en profite pour les tancer vertement. Apprenez, leur dit-il, que le titre exact du premier ministre en Espagne s’intitule Presidente del Gobernio, ou le président du gouvernement. Alors avant d’accuser qui que ce soit, vérifiez vos infos… et les protocoles ! Rarement ces propagandistes ont été recadrés, que dis-je, mouchés aussi crument et en public. Il aurait été heureux qu’un autre Hondelatte mouche le sieur Ruquier en le menaçant de poursuites judiciaires.
Evidemment la même chasse aux sorcières a eu lieu et continue aux USA contre celui qui ne fait pas mystère de combattre l’establishment. L’ancienne directrice de la communication de Biden, Kate Bedingfield, reconvertie en collaboratrice de CNN a déclaré sur ce média que les Démocrates doivent « ouvrir le feu en direction de Donald Trump » ! Les mots me manquent. Et dire que ça a été directrice de la communication de la Maison Blanche ! Au passage, voyez comment elle est passée du pouvoir fédéral à un média de masse. La terrible consanguinité ! La charmante bécasse rectifie finalement et s’excuse pour sa rhétorique maladroite. Chose que n’ont pas faite Foresti ni Ruquier.
La vision qu’ont beaucoup de Trump n’est que le résultat d’un bourrage de crânes à un stade jamais égalé. Elle montre les prouesses de l’ingénierie sociale américaine mais aussi la crétinerie et l’aveuglement de certains. Il faut dire que la diabolisation de Trump a mieux fonctionné à gauche, où elle a fait de gros dégâts parmi la canaille antifa.
Un autre bateleur, Nikos, lui aussi dès l’arrivée de Trump au pouvoir a cru bon lors d’une de ses émissions de divertissement dresser un réquisitoire contre Trump, alors que le cuistre n’avait jamais levé le petit doigt contre Merkel quand elle saignait à blanc le peuple grec, deux ans plus tôt. Le monde du spectacle est décidément d’une puanteur insoutenable.
Venons-en maintenant à ce que représente Trump. De quoi Trump est-il le nom ? Suite à la tentative d’assassinat contre sa personne, avec son fight, fight, fight, le poing levé, la mine ensanglantée, les traits marqués mais plus que jamais offensif, il restera le symbole de la lutte contre les puissants. David contre Goliath. Il fait désormais figure d’homme providentiel, n’en déplaise à ceux qui nous affirment qu’il n’y a aucun sauveur. Pour nous mobiliser, nous avons besoin d’exemples forts, de modèles, d’une personnalité qui incarne ces valeurs foulées aux pieds, l’idéal d’un monde sain, généreux et pacifique. En avons-nous seulement un en France ou en Europe qui ose affronter cet empire de la mort, un qui ne plie pas devant cette tâche herculéenne ? Un qui soit prêt à recevoir les flèches de haine des mondialistes ? Non. Les seuls qui pourraient se comparer à Trump, et encore, ce serait Nigel Farage en Angleterre et Viktor Orban en Hongrie. Si nous gagnons cette guerre, nous français n’aurons aucun De Gaulle pour nous aider à retrouver notre honneur perdu.
En France, en 1940, il y a eu le Général qui a incarné cette volonté inexpugnable de ne rien céder au totalitarisme et à l’invasion de ses troupes barbares. Ils n’étaient pas nombreux à l’époque derrière lui. A lui seul ou presque, il a sauvé l’honneur d’un pays et si les français ont pu se regarder à nouveau dans la glace cinq ans plus tard, ce fut grâce à lui. Le combat aujourd’hui est davantage encore titanesque, tant le mal provient d’un peu partout et qu’il se prend pour le bien !
Trop de zones d’ombres, de questions légitimes laissées en suspens, trop d’incohérences pour savoir qui est vraiment le tireur, s’il y en a eu plusieurs ainsi que l’éventualité a pu apparaître, s’il a eu des commanditaires et lesquels, pour se prononcer sur les responsabilités des uns et des autres, à commencer par celles du Secret Service, dont la cheftaine est une proche de Jill Biden. Rien que ça ! En revanche, comptez sur les msm pour vous éloigner de la vérité. Lorsqu’une version officielle arrangeant l’Etat profond aura fini d’être élaborée par ce dernier, attendez-vous à ce qu’elle soit martelée dans les colonnes du Figaro comme sur CNN. Vous serez alors fermement convié à la prendre pour argent comptant et à circuler.
Alors oui on attend novembre 2024 parce qu’on sait que si Trump l’emporte il taillera des croupières au Deep State et, on l’espère, mettra en pièces son narratif, sa structure et ses moyens de nuire. Trump représente l’espoir de sortir de ce cauchemar par la grande porte. Laisser le Deep State poursuivre son effroyable machination et ce sera la guerre, la famine, l’esclavage par QR codes et le déferlement de virus savamment concoctés.
Trump est certainement un homme providentiel, à la De Gaulle. Mais il n’avance pas seul. Il a derrière lui tout un appareil : une bonne partie de l’armée, de la NSA, du renseignement militaire et du contre-espionnage, une armée de l’ombre qui travaille elle aussi pour saper l’Etat profond. Cette armée, que les réseaux ont dénommée les chapeaux blancs a usé des mêmes dissimulations que l’Etat profond pour le prendre à son propre jeu. Afin de vous rendre compte de cette force, à laquelle personnellement je crois beaucoup, je vous conseille cette longue intervention d’Alexis Cossette sur Géopolitique Profonde qui à l’occasion de la tentative d’assassinat de Trump développe bien des événements méconnus du grand public. Dans ses raisonnements n’intervient que la logique découlant de faits incontestables. Aucune supputation oiseuse ou gratuite. Vous trouverez le lien ici. Il revient sur le fait que l’armée est allée chercher Trump pour mener la bataille au grand jour. Il soulève toutes les incohérences de la situation pour justifier qu’à son avis cette force contrôle Biden in fine et dévie toutes les flèches que l’Etat profond décoche à Trump. Certains n’en croiront pas une miette, et pourtant ses thèses sont solides, ses arguments robustes, et lui reste un des meilleurs connaisseurs de la politique américaine, ce depuis une décennie au moins.
Nous devons tous à Trump notre réveil face au danger mondialiste. Jocelyne Traduction confesse à ce propos que « sans Trump, [elle] ne saurait même pas qu’il existe un Etat profond. {Elle] n’avait aucune idée de la façon dont le système était réellement truqué jusqu’à ce qu’il tire le rideau, nous dise la vérité et soit ensuite persécuté pour l’avoir fait.» Effectivement, sous l’initiative de Trump et son équipe, un bataillon de citoyens journalistes s’est constitué, a répandu les informations que les médias de grand chemin occultaient délibérément. Son message a parcouru la terre entière grâce aux réseaux sociaux et à internet. En France, par exemple, on peut estimer à un tiers de la population les personnes qui savent ce qu’est le mondialisme, ses objectifs, son leadership, son agenda mortifère et ses méthodes cyniques. Un bon tiers qui sait se défier des médias traditionnels comme de la peste et ne les consulte plus que pour dénigrer leur malhonnêteté.