Un exemple, chers compatriotes, le dernier en date : le service public d’audiovisuel, par le biais de la chaîne France 2, dévoilait sa nouvelle série documentaire Notre histoire de France destinée à déconstruire le roman national. Ils ne s’en cachent même plus. Leur but est clairement avoué : désacraliser les hauts personnages de l’histoire de France, par conséquent les symboles qui ont bâti la France millénaire, la France de Péguy, pour les remplacer par celles de l’élite dépravée et apatride. En fait, il n’est pas seulement question de détruire le roman national, il est dans leur intention d’ériger en lieu et place une fiction empreinte de progressisme et d’allusions satanistes. Je dis bien fiction, car l’Europe ne devait-elle pas nous apporter la paix et la prospérité, comme ils l’avaient promis ? Ce n’était en vrai qu’une fable. Voyez plutôt aujourd’hui vers quoi les européistes nous ont conduits. Toujours plus d’argent versé dans le tonneau des Danaïdes ukrainien, en fait otanien, toujours plus de bruits de bottes entretenus par les faucons de Washington et toujours plus de paupérisation, la soupe populaire pour les étudiants et les taxes abusives qui étranglent le petit peuple et le petit entreprenariat. Pendant ce temps-là, la télé nous explique qu’il faut jeter aux oubliettes Jeanne d’Arc et Napoléon, et les remplacer par Conchita Wurst et Taha O. Voilà nos nouvelles icônes : une lopette et un migrant violeur et assassin. Voilà sur quelles figures se fondera la nouvelle France, appelée in fine à disparaître. Ses liquidateurs y veillent, qui disposent de toutes les manettes pour cela. Dernièrement, je rappelais que tous les totalitarismes ont maille à partir avec l’histoire. L’islamisme la nie carrément, le mondialisme la refonde afin qu’elle colle au mieux à sa logorrhée. Tout totalitarisme, dans sa conquête planétaire, se donne pour objectif premier de dépasser les nations. Pour le nouvel ordre mondial, la déconstruction du roman national français, c’est-à-dire la réécriture orientée de son histoire, constitue le dernier clou planté dans le cercueil de la nation France. Nul doute que les naïfs ingurgiteront cette série puante, réalisée avec leurs impôts et les nôtres. A moins que ce ne soit l’abandon de notre langue qui soit l’ultime clou, finalement. Il est sûr qu’au rythme où déferle la submersion migratoire, l’arabe détrônera bientôt le français et parachèvera le programme de destruction savamment orchestré depuis un demi-siècle. L’Europe sera livrée ensuite au dépeçage, entre les crocs de ses prédateurs mondialistes et islamistes. Deux hyènes immondes se disputant le cadavre de notre pays, l’oligarchie à un bout, les barbus à l’autre. Il ne sera plus temps alors, chers compatriotes, de dessoûler. Il sera trop tard. L’heure sera écoulée.
L’Observatoire du journalisme de l’excellent Jean-Yves Le Gallou s’interroge. « En un mois, dit-il, France TV a annoncé une émission Sommes-nous tous racistes ? pour culpabiliser les français, une série pour déconstruire les mythes provenant du roman national et un documentaire pour promouvoir l’enseignement de l’arabe à l’école. » Et de conclure que « France TV touche des subventions pour [mieux] cracher sa haine de la France. » Non seulement la télévision d’Etat met le paquet, mais elle le fait à découvert. Elle ne se cache même plus en diffusant sa propagande la plus vulgaire. En promouvant l’arabe, elle confirme ce que je disais précédemment sur cet ultime grand remplacement, peut-être le plus odieux, celui de notre belle langue par l’arabe, la langue des nouvelles masses et surtout celle de l’Islam. A nos risques et périls ! Les naïfs cuveront-ils leur vin devant France TV en buvant ses paroles ou, comme des hommes dignes, éteindront-ils leur poste devant tant de reniements ?