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Les liquidateurs

Le 02/09/2022

Dans Actualités

Lorsque l’Etat profond se retrouve acculé, il emploie les grands moyens. Il ne finasse plus. Il assène ses coups les plus violents sans aucun discernement. Il dynamite, il disperse, il ventile ! Evidemment face aux témoins avertis les ficelles paraissent de plus en plus grosses.

De ce point de vue, l’actualité du début août a regorgé de coups fourrés. Quelques uns ont retenu mon attention, parce qu’à eux seuls ils montrent toute l’étendue des exactions mondialistes. A cette heure, c’est à la sulfateuse qu’ils règlent leurs problèmes.

Imaginons qu’un mandarin de la Faculté de Médecine, par exemple le Professeur Perronne, démonte le récit covidiste avec efficacité et constance. Eh bien on lui mettra le Conseil de l’Ordre entre les pattes. Autrement dit la police politique de la Santé, sorte de Polpot du médical. C’est ce qui arrive justement au professeur Perronne pourtant peu épargné jusqu’ici. L’éminent et intègre infectiologue a en effet été convoqué, le 13 septembre 2022, devant la chambre disciplinaire du Conseil de l’Ordre des Médecins d’Ile de France. Jamais le Conseil n’a autant mérité qu’on lui rappelle ses origines pétainistes. Jamais il n’aura autant mérité sa dissolution et la traduction de sa direction devant une instance populaire pour répondre de ses actes à son tour. Le Conseil de l’Ordre est en effet, depuis un bon bout de temps, plus intéressé à sévir contre les médecins éthiques que contre les covidistes, perclus de conflits d’intérêts.

A la suite de cette comparution, Perronne risque de se voir radier tout bonnement. Mais si le Conseil de l’Ordre s’y hasarde, il pourrait à terme signer son propre arrêt de mort, tant Perronne représente la droiture et la compétence. Quant à lui, une radiation constituerait la dernière et la plus illustre de ses médailles.

Autre bras de fer engagé par l’Etat profond : il s’agit de ce magistrat uruguayen qui a eu le courage de demander que soit réalisée une analyse du contenu des injections ARNm. Il n’a pas eu à attendre longtemps le retour de bâton. Révoqué ! Voilà le verdict sans appel qui a été pris à son encontre. Le curieux voulait trop en savoir. Mal lui en a pris. Maintenant il devra aller chercher du travail de l’autre côté de la rue.

Les méthodes des mondialistes peuvent s’avérer encore plus radicales, comme avec le président du Tribunal de Pesaro (Italie), Giuseppe Luigi Fanuli. Le magistrat transalpin avait lui aussi ordonné l’expertise du contenu des injections ARNm. Dans son cas, les barbouzes de l’Etat profond auront été encore plus expéditifs. On l’a retrouvé mort chez lui. Il avait 65 ans et vivait seul. On évoque une attaque cardiaque ou une attaque fulgurante… J’entends d’avance les éternels sceptiques parler de coïncidence et me dire que j’accuse sans preuve. Et la mort, leur répondrai-je, du biologiste italien Franco Trinca qui était venu dénoncer la présence de graphène dans les injections sur les plateaux télé, est-ce aussi une coïncidence ? Etonnantes toutes ces coïncidences qui n’affectent que ceux qui veulent la vérité ! Il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.

Devant ces décès suspects à répétition, vous me direz pas de quoi se formaliser, personne n’est naïf au point de croire que les pouvoirs démocratiques ne recourent pas eux aussi à des mesures peu avouables. Bon, mais le raid du FBI à Mar-a-Lago au domicile de l’ancien président Trump ? Est-ce que cela n’est pas nouveau et inquiétant quant à nos libertés, lorsque des opposants politiques aussi en vue que Trump ne sont pas à l’abri de descentes de police pour les intimider ou plus si possible ?

Raid fbi mar a lago trump

Des agents des forces locales devant la maison de Donald Trump à Mar-a-Lago, Palm Beach (Floride) le 9 août 2022 (Giorgio Viera/AFP via Getty Images)

Donald Trump, personne ne l’ignore, est leur ennemi viscéral. Beaucoup parmi le public le détestent sans trop savoir pourquoi comme ils aiment Obama sans trop savoir pourquoi non plus. Il faut dire que le lavage de cerveaux opéré par les services secrets des pays occidentaux en guerre psychologique contre leurs propres populations a été très efficace. Ces manipulateurs sont parvenus à leurs fins en diabolisant l’un et en angélisant l’autre.

La descente du FBI dans la demeure de Trump est le coup fourré le plus osé qui soit. Jamais président n’avait été ainsi malmené, qui plus est sur la base de griefs fallacieux. Rappelons a contrario tous les éléments à charge dont dispose le même FBI contre Hunter Biden et son père Joe, avant même qu’il devienne président, et pourtant ce FBI-là n’a toujours pas levé le petit doigt.

Le Deep State (DS) est acculé. Il voit les midterms arriver. Les démocrates sont au plus mal. Et Trump refait surface. Alors le DS s’en remet à des méthodes expéditives qui ont fait leur preuve. Le temps presse. L’alerteur Alex Jones, qui avait vu juste depuis longtemps, n’hésite pas à le clamer : « L’Etat profond planifie l’assassinat de Trump avant la destruction de l’Amérique. » Le message a le mérite d’être clair.

Le FBI est le bras armé du DS. Cela ne fait plus aucun doute. Son fonctionnement actuel met en évidence une militarisation de la politique. L’interview sur Newsmax de Steve Gray, ancien agent du FBI, indique parfaitement quelle direction a prise le Bureau Fédéral d’Investigation. Sa politisation par la gauche radicale et sa militarisation confirment qu’il est devenu une vraie police politique. C’est au prix de sa vie que Steve Gray, vous pensez bien, révèle sa forfaiture.

Steve gray

L'ex agent du FBI Steve Gray (à droite) sur Newsmax

On peut étoffer le dossier avec des éléments provenant du journaliste indépendant Paul Sperry. Un des agents du FBI qui ont signé le mandat de perquisition au domicile de Trump n’est autre que le chargé d’enquête sur le 6 janvier 2021. La commission en charge du dossier est, de notoriété, partisane et corrompue jusqu’à l’os. Elle comporte des agents et des fonctionnaires déjà impliqués dans l’affaire du Russiagate, une affaire montée de toutes pièces pour couler Trump. De plus, a découvert Paul Sperry, les agents du FBI qui ont effectué la perquisition sont eux-mêmes sous le coup d’une enquête du conseiller spécial John Durham.

Qu’on ne se fasse pas d’illusion, comme le déclare le sénateur Chuck Grassley, le FBI a été créé uniquement pour protéger l’Etat profond et personne d’autre. Steve Bannon l’a redit : « Nous sommes dans une guerre idéologique et politique […] Ils ont militarisé le Département de la Justice (DOJ) […] Ils ont une peur bleue de Trump ». Bannon rajoute : «  Le FBI, en ce moment, c’est la Gestapo ! »

Tout est dit. Mais ne nous arrêtons pas à ce stade. Remontons la piste. Le juge qui a approuvé la perquisition chez Trump, Bruce Reinhart, était dès 2008 un donateur de la campagne du sénateur Obama. Reinhart a même travaillé pour Epstein. Allons encore plus haut. Le DOJ de Biden a refusé de dévoiler les motifs de la perquisition, car, selon lui, elle « nuirait de manière irréparable à l’enquête pénale en cours. » Verbiage et langue de bois pour dissimuler l’absence de motifs légaux.

Toute une chaine de commandement, de Biden et son administration à l’agent de base pourri du FBI, est dans le coup. En réalité, tout est bon, mêmes les pires expédients, pour se débarrasser de Trump qui représente pour eux un danger existentiel. Rien n’arrêtera ces ordures. Ils iront jusqu’à son meurtre qu’ils auront pris soin de maquiller, ça ne fait pas l’ombre d’un doute.

Une vision plus optimiste de la situation est avancée par Alexis Cossette, à laquelle j’ai bien du mal à souscrire. L’actuel chef du FBI, fait-il remarquer, Christopher Wray, n’a pas été révoqué par Biden. Ce qui lui fait dire que cet homme de l’ombre est un pion de Trump. Un pion pour s’assurer du bon déroulement d’opérations contre le DS. Pour Cossette, le raid sur Mar-a-Lago est une opération téléguidée, afin d’établir un précédent dont se servira Trump pour initier des raids semblables, cette fois contre ses prédécesseurs Clinton et Obama ou son successeur Biden. Leurs méfaits auraient alors une chance d’être divulgués, et leurs auteurs poursuivis. Les documents saisis lors de ce raid ne présenteraient aucune nuisance pour Trump. Au contraire ils pourraient se retourner contre les instigateurs du raid. On ne cesse, par exemple, d’avancer, à demi-mots, que Trump avait conservé des documents sur Macron, sur sa vie sexuelle notamment. Le DS se serait alors tiré une balle dans le pied, si ces documents venaient à être étalés en place publique dans sa poursuite de Trump.

Cette façon de procéder, ce type de piège est récurrent, dit le québécois, et l’Etat profond se laisse avoir systématiquement. Il pense porter le coup de grâce et finit par voir ses mauvaises actions exposées. Je dis : pourquoi pas, on ne peut l’exclure, mais cela demeure une spéculation. Il est difficile d’en juger, tant l’Etat profond a infiltré nos sociétés, nos institutions, et surtout les esprits. On constate bien des lézardes probablement dues à l’action de forces patriotes, mais les masses sont encore trop complices de leurs bourreaux. Pour reprendre espoir, encore faudrait-il assister à un procès retentissant de l’une de nos bêtes noires. Seulement les instances judiciaires ne valent pas mieux que tout le reste. Le grand séisme, que nous attendons tous, n’est décidément pas pour demain. L'assassinat récent de Daria Douguine nous montre une triste certitude : les liquidateurs du DS continuent à flinguer à tout va. ¾

 

Photo d'illustration : Manifestation spontanée des patriotes à Mar-a-Lago à l'annonce du raid du FBI au domicile de Trump (Photo : Sylvia Miami)

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