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Le parti du meurtre

Le 19/09/2025

Dans Actualités

Charles de Gaulle avait fait part du tracassin qu’exerçaient sur lui « les équipes de la hargne, de la rogne et de la grogne ». Aujourd’hui, il est temps de dénoncer nos cohortes de la haine, de la teigne et de la gangrène. Car ce que leurs membres font depuis quelque temps n’a pas de nom. La violence de la gauche toute entière n’a plus de limite. Des conservateurs sont exécutés ou ont des contrats sur leur tête. Sinon, ils sont poursuivis par une justice chauffée à blanc contre eux. Les médias hurlent avec les loups et mettent des cibles « d’extrême-droite » sur ceux qui pensent mal. Les universitaires d’extrême-gauche embrigadent toujours plus de fanatiques. Ici on attente à la sécurité des journalistes de Frontières ou de Cnews, on menace des féministes comme Alice Cordier, on violente des observateurs jusque dans l’Assemblée nationale et de honteux députés n’hésitent pas à les intimider physiquement. Là-bas on tire sur des voix influentes et pacifiques qui ne demandent qu’à dialoguer. Partout, des Etats-Unis à la France, la même gauche hargneuse, lépreuse et prête à faire couler le sang n’a que l’insulte à la bouche et la nazification d’autrui en tête. Vous savez, cette gauche qui veut inclure… surtout les musulmans, pas les patriotes. Et, qu’on se le dise, chacun de nous finira par devenir leur cible.

Il ne suffit pas de déplorer l’escalade meurtrière de la gauche mais de la condamner haut et fort. Si jusqu’à présent elle se montrait violente seulement en paroles, elle a dorénavant franchi la ligne rouge du passage à l’acte. L’assassinat du jeune conservateur pacifique Charlie Kirk marque en effet une étape majeure dans sa spirale sanguinaire. Les gauchistes n’ont d’ailleurs pas attendu pour s’en féliciter. Ces succubes ont joyeusement fêté la nouvelle sur sa dépouille encore fumante. Les Démocrates, qui ne sont pas en reste, ont refusé de leur côté de faire une minute de silence au Congrès pour cet homme irréprochable, alors qu’ils l’avaient exigée pour le délinquant George Floyd. Mais lui avait l’avantage d’être noir. Leur comportement a été d’une grande obscénité. Pas plus cependant que celui de la gauche au Parlement européen. On a constaté la même réaction indécente de sa part. Alors que ce soit des députés soi-disant responsables ou des boutonneux de petits bourges illettrés qui s’autoproclament antifascistes, que ce soit la gauche feutrée d’Olivier Faure entraîné lui aussi par la gauche intégriste dans la palestinolâtrie ou que ce soit la gauche séditieuse, tous sont fascinés par la violence. Rares sont ceux, comme Hervé Hannoun, dont la carrière s’est faite dans les ministères et les banques centrales à l’ombre de Mitterrand et des socialistes, qui avouent ne plus reconnaître le PS. S’il reste un authentique peuple de gauche, il est temps pour lui de rejoindre les simples citoyens indignés par la haine et la pulsion de mort que la gauche véhicule. Il est temps pour lui de reconnaître que la gauche est à cette heure le vecteur de totalitarisme le plus dangereux. Maintenant le temps de l’ingénuité doit s’achever. A l’image de sa sœur ainée, l’islamiste, la gauche terrorise, tue, jubile d’avoir tué et entame la danse macabre de ses réjouissances obscènes. Il faut que cela s’arrête, mais qui l’arrêtera ?

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Musk n’a pas tourné autour du pot. « La gauche est le parti du meurtre », a-t-il tweeté. Formule lapidaire mais ô combien conforme à la réalité. La gauche fait même le service après-vente. En France, de Loiseau à Jirnov, ils y ont tous été de leur couplet à souffler sur les braises, salissant la victime et excusant son assassin ou, pire, l’accusant d’être trumpiste. Le mensonge outrancier après l’assassinat. Par ses propos odieux, le propagandiste déguisé en animateur Jimmy Kimmel a vomi sa bile lui aussi. La gauche ose tout. Alors assez de mensonges. Rétablissons les faits. Non, Kirk était un être de grande valeur et certainement pas le fasciste que ces faux antifascistes ont voulu dépeindre. Et à nouveau non, Tyler Robinson, l’assassin, n’est pas un trumpiste mais bel et bien un étudiant enrôlé et fanatisé dans l’une de ces universités gauchistes qui infestent l’Amérique. « La transformation en deux ans d’un jeune homme de famille conservatrice, relève l’essayiste Guy Millière, en pervers et en assassin gauchiste montre ce que peut faire le système universitaire américain tel qu’il est aujourd’hui. » Ce que corrobore Jean-Patrick Grumberg sur Dreuz.info dans un article intitulé « Les campus universitaires sont des camps d’entraînement terroristes. » En voici le chapeau : « Une enquête de FIRE auprès de 68000 étudiants dans 257 universités américaines révèle à quel point la gauche, qui a construit un monopole sur l’Education supérieure, transforme les cerveaux malléables en militants - même ceux de droite. » Tous les éléments connus à cette heure concourent donc pour affirmer que l’université a fait de Tyler Robinson un terroriste de gauche.

Les mensonges et les manipulations de la gauche...

 

Quant à la girouette Dominique de Villepin, jadis classé à droite, elle s’est illustrée en rejetant la responsabilité sur le climat de haine entretenu par Trump. Bravo l’artiste ! La gauche n’aurait pas fait mieux. Le grand escogriffe de l’islamo-chiraquisme a encore frappé. Quel toupet tout de même ! Le système médiatique n’a jamais cessé de traiter Trump d’Hitler nonobstant son bilan de faiseur de paix et sa préservation du peuple américain, mais, à l’en croire, c’est Trump qui sèmerait la haine. Triste fin de carrière politique pour cet égocentrique qui courtise plus le Qatar que son propre pays. Du vent… la girouette !

Tandis que le rire sardonique de la gauche retentit encore sur le cadavre de Charlie Kirk, rappelons qu’il n’est pas sa première victime. Effectivement, lorsque la gauche ouvre la voie aux islamistes sachant les meurtres que certains d’entre eux commettront un jour ou l’autre, leurs victimes sont aussi celles d’une gauche largement complice. S’en est-elle excusée ? Jamais. Au contraire elle a basculé de leur côté avec armes et bagages. Dans la même veine, aux USA, l’assassinat de deux membres de l’ambassade d’Israël à Washington est à attribuer à un groupe d’extrême-gauche antisioniste. Nos médias ont-ils mis à jour le compteur macabre de la gauche après ces morts ? Bien sûr que non. Quant aux meurtres perpétrés par des trans, les cas ne se comptent plus. Cachez-lui aussi ces morts qu’elle ne saurait voir ! Et puis le meurtre de Charlie Kirk ne vient-il pas après les tentatives d’assassinat de Trump ? Sur les réseaux sociaux circulent même des listes d’hommes à abattre. « Au suivant », clament les humanistes associés de la gauche canaille. De vrais appels au meurtre, qui devraient tomber sous le coup de la loi. Mais la loi c’est encore elle qui la fait appliquer comme bon lui semble, c’est-à-dire en dépit du droit, grâce à ses juges des libertés (libertés des assassins, faut-il entendre), des juges rouges qui prennent un malin plaisir à relaxer des archi-multirécidivistes. En Amérique, le suivant ce sera Trump, Musk ou Matt Walsh, en France ce sera Bardella ou Damien Rieu, en Israël Netanyahu. Remarquez que leur liste ne va jamais jusqu’à comporter des noms chinois ou arabes. Ils auraient trop peur du retour de bâton !

Le journaliste Jack Posobiec considère que la gauche américaine a enclenché unilatéralement une guerre civile. Je crois surtout, comme cet anonyme sur X, que la gauche ne veut pas nous tuer parce que nous serions nazis, mais qu’elle a besoin de nous traiter comme tels afin de se donner le droit de nous tuer. Nuance ! Nous traiter nous, honnêtes gens qui ne cassons rien et osons penser par nous-mêmes, de nazis c’est pour elle s’octroyer un permis de tuer. Car qui voudrait de nazis dans son humanité ? Son recours systématique à la nazification de l’autre est donc une sorte d’exclusion qui ne dit pas son nom. Car, de ce fait, les prétendus nazis ne pouvant se compter à part entière parmi l’humanité, la gauche nous en exclue plus facilement et peut se permettre de nous abattre comme des chiens, la conscience tranquille.

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Une autre façon de nous ostraciser est de prétendre que, parce que nous ne pensons pas comme eux, nous serions des prêcheurs de haine. L’inversion accusatoire ! Car qui a la bave aux lèvres en éructant le mot d’extrême-droite, si ce ne sont eux ? On prête à Charlie Kirk le mot suivant : « La vérité ressemble à de la haine pour ceux qui détestent la vérité. » Ainsi, renvoyer à la face de la gauche ses quatre vérités est vécu par cette gauche dépravée non pas comme une invitation à une introspection salutaire mais comme de la haine à son endroit.  

Mais enfin qui tue qui ? C’est ce que je ne cesse de répéter depuis les attentats islamistes de 2015 à tous ceux à gauche qui osent prétendre qu’il y aurait un danger d’extrême-droite. Or jamais aucun ne m’a cité de nom de terroriste de cette mouvance. En revanche et malgré ma mémoire défaillante, je pourrais citer quantité d’assassins musulmans qui ont tué au nom de l’Islam sur le sol français. Et qui meurent chaque jour sous leurs coups, sinon des français de souche. Aujourd’hui, au lieu d’avoir fait son mea culpa, en premier lieu à cause de ses fréquentations criminelles, la gauche persiste dans l’horreur. Et désormais c’est elle qui s’empare de l’arme du crime. C’est elle qui le revendique, s’en réjouit et sabre le champagne dans une ambiance de fête obscène. Jusqu’au jour où les comptes devront se régler. Et c’est à espérer qu’elle prendra cher !

La gauche empêche des spectacles culturels (Murmures de la cité), des fêtes du cochon (en Bretagne), des drapeaux tricolores (dans des manifs), parce qu’ils n’ont pas son agrément. Puis la garce casse, sabote, brûle et envoie même ses propres rejetons s’exercer sur d’innocentes vitrines avec des pavés en mousse. La belle éducation que l’apprentissage du vandalisme ! Le pire, c’est qu’elle s’absout ensuite grâce à ses juges, ses politiques et ses médias qui complotent pour conserver le haut du pavé (affaire Legrand/Cohen). Ce n’est pas pour rien également que la gauche protège les criminels depuis des lustres… Elle savait qu’elle avait elle aussi des instincts meurtriers. Elle a même aboli la peine de mort (sa première loi en revenant au pouvoir en 1981 après 23 ans d’opposition, c’est dire qu’elle y tenait) pour s’éviter ultérieurement le châtiment suprême. C’est parce que la gauche savait qu’elle devrait tôt ou tard verser le sang qu’elle a tenu à excuser par avance le meurtre de citoyens innocents et qu’elle pense à le décriminaliser.

 

Photo d'illustration : photo d’une guillotine prise lors de la mobilisation du 18 septembre 2025 ou les penchants sanguinaires de la gauche

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