Meurtre politique

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Le parti du meurtre

Le 19/09/2025

Charles de Gaulle avait fait part du tracassin qu’exerçaient sur lui « les équipes de la hargne, de la rogne et de la grogne ». Aujourd’hui, il est temps de dénoncer nos cohortes de la haine, de la teigne et de la gangrène. Car ce que leurs membres font depuis quelque temps n’a pas de nom. La violence de la gauche toute entière n’a plus de limite. Des conservateurs sont exécutés ou ont des contrats sur leur tête. Sinon, ils sont poursuivis par une justice chauffée à blanc contre eux. Les médias hurlent avec les loups et mettent des cibles « d’extrême-droite » sur ceux qui pensent mal. Les universitaires d’extrême-gauche embrigadent toujours plus de fanatiques. Ici on attente à la sécurité des journalistes de Frontières ou de Cnews, on menace des féministes comme Alice Cordier, on violente des observateurs jusque dans l’Assemblée nationale et de honteux députés n’hésitent pas à les intimider physiquement. Là-bas on tire sur des voix influentes et pacifiques qui ne demandent qu’à dialoguer. Partout, des Etats-Unis à la France, la même gauche hargneuse, lépreuse et prête à faire couler le sang n’a que l’insulte à la bouche et la nazification d’autrui en tête. Vous savez, cette gauche qui veut inclure… surtout les musulmans, pas les patriotes. Et, qu’on se le dise, chacun de nous finira par devenir leur cible.

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« Ce sont des assassins. Ils nous tueront tous ! »

Le 05/07/2025

S’il fallait aux plus incrédules des preuves que nos dirigeants sont prêts à tous les crimes pour accéder au pouvoir et le conserver, l’affaire Boulin en serait une. Peut-être la plus éminente preuve. Aujourd’hui sont apparus sur la place publique plusieurs témoignages éloquents, celui de la fille de Robert Boulin, Fabienne, celui d’Elio Darmon, le témoin de la dernière heure, et enfin celui de Bernard Fonfred, l’assistant parlementaire de Robert Boulin. Leurs révélations ne laissent guère de doute sur les commanditaires de l’assassinat du ministre Boulin. Celui-ci ne s’est pas suicidé, comme les autorités ont tenté de le faire croire, mais a bien été tué après passage à tabac et abandonné au bord d’un étang, en pleine forêt de Rambouillet, dans la nuit du 29 au 30 octobre 1979. La caste, emmenée par ses figures les plus déterminées, règle toujours ses comptes à ceux qui lui mettent des bâtons dans les roues, fût-ce au moyen d’un tromblon.