Durden écrit : « Les Etats-Unis semblent être entrés dans la phase intermédiaire d’un tel effondrement, de nombreux sociopathes et psychopathes commençant à penser qu’ils pourraient être en mesure d’agir selon leurs pires impulsions sans conséquences ». Après une phase de violence gratuite, avec destruction de biens comme on en a déjà connu lors d’émeutes de quartiers, une phase de débâcle sociale s’ensuit. Une sauvagerie débridée, celle décrite par un Laurent Obertone, se donne alors libre cours. Dès cet instant, les psychopathes voient dans l’anarchie l’occasion de faire du mal aux autres. « Les psychopathes aiment exploiter le chaos des troubles politiques pour assouvir leurs tendances violentes ou pour convaincre d’autres personnes d’en faire autant. Si personne n’agit pour éliminer la première vague d’actes criminels lors d’un effondrement social, des milliers d’autres criminels se mettront en place pour en profiter. La première vague se transforme en avalanche, tout cela parce que le système n’offre plus suffisamment d’incitations à se comporter correctement. » Ce qui devient ensuite original dans le propos de Durden, c’est le cas de figure où « les psychopathes […] se trouvent au sein même du gouvernement qui est censé protéger nos libertés ». Et Durden de poser le problème qui dérange. Avec ce postulat de départ où les criminels sont déjà aux manettes, ceux-ci se considèrent « autorisés à recourir à la violence contre les citoyens grâce à l’illusion de la loi. La population est alors confrontée à l’inévitable question : les lois valent-elles la peine d’être suivies lorsque ce sont des psychopathes qui les rédigent ? » Evidemment, si vous tenez ce discours, vous passerez aux yeux du pouvoir pour un dangereux séditieux et vous en subirez les conséquences. La question demeure néanmoins. Devons-nous continuer de plier sous le joug de la vilaine brochette de psychopathes concentrée actuellement à Davos ? Et si vous n’êtes pas convaincus que nos gouvernants le soient, prêtez l’oreille à Mila Aleckovic Bataille, de la Société de Psychopathologie de l’Expression et professeur à la Sorbonne. Elle a dressé un portrait croustillant de beaucoup d’entre eux, qui ne laisse pas le moindre doute sur leur nature de psychopathe.
« Lorsque des personnes corrompues, poursuit Durden, dirigent un gouvernement, le bien devient le mal et le mal devient le bien. Il suffit de penser à l’extrême différence de traitement entre les foules d’activistes gauchistes et les manifestants conservateurs. Regardez la réaction du gouvernement et des médias aux émeutes de BLM par rapport à leur réaction à l’événement du 6 janvier. Dans le cas des émeutes du Capitole, la police a tiré des balles en caoutchouc et des gaz lacrymogènes sur une foule par ailleurs pacifique, puis lorsque les manifestants ont réagi violemment, ils ont été accusés d’insurrection. Existe-t-il un exemple de ce type de montage utilisé contre la gauche politique ? Non. Au lieu de cela, les médias et les fonctionnaires décrivent les foules destructrices comme étant enflammées mais essentiellement pacifiques.»
La fin de son propos est aussi digne d’intérêt : « Ce deux poids deux mesures est absurde, mais là encore il est censé l‘être. Pourquoi ? Parce que les psychopathes de la gauche politique ont été récompensés et encouragés. Les conservateurs et les modérés sont censés se sentir vaincus, ce qui les empêche de se battre plus longtemps. C’est ce genre de conditions qui alimente les personnes déséquilibrées et prédatrices, et qui les libère sur la population. Lorsque les psychopathes se sentent protégés, un bouleversement total s’ensuit rapidement. »
Toutefois Durden ne dit pas si l’effondrement fait partie intégrante des plans mondialistes. Auquel cas, il ne serait qu’une transition pour instaurer expressément le Nouvel Ordre Mondial. Ce serait l’antépénultième étape vers la mondialisation triomphante. Les pays du G7 s’effondreraient, tombant de facto dans la guerre civile. Un climat insurrectionnel s’ensuivrait provoquant l’abdication des gouvernements au profit d’un gouvernement mondial.
A l’inverse, certains estiment que l’effondrement pourrait être contrôlé par le camp opposé, telle la démolition d’un immeuble. Cela signifierait la chute fracassante et définitive du mondialisme bien sûr, à partir du moment où les patriotes seraient au contrôle. Ce qui reste à faire la démonstration. En attendant, les faits sont là : une peur panique s’est emparée de nos ennemis. Il se pourrait que 2024 voie la chute de la Maison Mondialiste.¾
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