Aux Etats-Unis, ils donnent dans la guerre civile contre Musk ainsi que dans les traquenards contre Trump et son gouvernement. Comme pendant son premier mandat, ils tentent de semer la zizanie dans son administration et d’allumer des feux partout dans le pays. Ainsi, comme avec BLM en 2020, Soros met en branle ses colonnes infernales : gauchistes traîne-savates et femelles déconstruites, tous plus grossiers les uns que les autres battent le pavé. Ainsi ils tempêtent contre Musk qui fait des ravages avec ses coupes sombres dans les financements de leurs ONG. La violence et l’impunité de ces vandales ne devraient plus exercer longtemps leur influence nauséabonde, une fois que Trump aura purgé la justice de ses juges rouges. En attendant l’Etat profond conserve son pouvoir de nuisance. Et celui-ci ira jusqu’à l’assassinat politique, n’en doutez pas. Sur InfoWars, l’émission d’Alex Jones, on le confirme. En Europe, les mondialistes se contentent pour l’heure de barrer la route à leurs opposants. Après l’élimination politique de Georgescu, la scandaleuse éviction par trois juges Soros de Marine Le Pen, l’actuelle favorite de la présidentielle 2027, constitue un point d’orgue dans la série de coups d’Etat à laquelle se livre l’UE. Personne ne pourra plus jamais nous faire croire que la France est encore une démocratie et encore moins l’Europe. L’une comme l’autre sont devenues des voyoucraties à la soviétique. La liste est longue des pays européens qui ont eu officiellement à faire face à la dictature européiste : l’Italie avec la tentative d’emprisonner Salvini, l’Allemagne avec celle d’interdire l’AfD, la Hongrie avec le projet de suspendre son droit de vote européen et, après la France, le cas de l’Irlande se profile avec la volonté de rendre inéligible à la présidence le candidat anti-immigrationniste Connor Mc Gregor. Que faut-il de plus aux européens pour se rendre compte qu’ils vivent désormais en dictature ? Ceux qui oseront encore prétendre le contraire n’auront aucune excuse au regard de l’Histoire. Leur lâcheté les marquera du sceau de l’infamie.
En résumé, que ce soit par la guerre civile ou la guerre tout court, leur programme pour s’accrocher au pouvoir réside dans le déclenchement des violences et l’entretien de ces violences. Et rien ne les arrêtera si ce n’est une révolution ou une défaite militaire en rase campagne. Les révolutions n’aboutissant nulle part parce que tuées dans l’œuf, reste la défaite militaire des mondialistes en Ukraine pour espérer que tombe enfin leur régime inique. A la fin de cette EMI, cette expérience au bord de l’anéantissement de nos sociétés, on devrait en revenir avec des leçons à tirer, de bonnes résolutions à prendre pour nous redresser, un optimisme raisonnable et peu à peu s’effectuera le retour au vert de nombreux signaux qui à cette heure sont au rouge écarlate (insécurité, immigration, islamisation, pillage des finances publiques, désindustrialisation, ubérisation de la société, dévoiement des esprits par les théories fumeuses du transgenrisme, pédocriminalité, corruption à tous les étages de la science et de la médecine, détournement des appareils policier et judiciaire contre le peuple de souche, bureaucratie pléthorique et déférente, prolifération des comportements gauchistes…), une fois bien entendu nos Etats purgés des criminels et des dictateurs à leur tête. C’est du moins l’espoir que fera naître cette EMI globalisée, être passé si près de l’anéantissement de l’occident et le voir renaître expurgé de ses élites assassines. En France, avec le dirigeant le plus proche des Rothschild nous risquons d’attendre plus longtemps qu’ailleurs… ¾
Photo d’illustration : Jérôme Bosch Visions de l’au-delà