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Le camp de la honte

Le 04/10/2024

Dans Actualités

« T’as pas honte de t’assumer comme ça… » Léo Ferré

Une innocente jeune française est violée, assassinée et enterrée, et une partie de nos compatriotes viennent manifester bruyamment leur soutien à l’assassin, en criant nous sommes tous antifascistes, et perturber les hommages rendus à la victime. Je n’aurais jamais cru que nos semblables aient pu atteindre un tel degré de cynisme, d’inversion des valeurs et d’obscénité, qui plus est au nom de la bien-pensance ! Non je n’aurais jamais cru assister à une telle provocation de leur part. Comment des personnes équilibrées peuvent-elles se comporter de façon aussi ignoble, à moins d’avoir perdu tout sens moral ? Comment peuvent-elles se vautrer dans la fange de l’idéologie la plus nauséabonde, frappant des mains comme dans un stade et braillant des slogans éculés, les montrant sous leur vrai jour, celui du fascisme le plus abject ?

Jamais je n’aurais cru que des compatriotes puissent cracher sur le cadavre d’une innocente. A moins qu’ils ne soient plus ni mes compatriotes, ni même des êtres du genre humain. Mon écœurement n’a jamais été aussi grand. Je n’ai pas assez de mots pour exprimer la répugnance que ces individus m’inspirent.

Retour sur les faits : Le 20 septembre dernier, Philippine, une étudiante de 19 ans de l’université Paris-Dauphine disparait. On retrouve ensuite son corps enterré dans le bois de Boulogne. Elle a manifestement subi des actes de violence. On apprendra qu’elle a été violée. Son assassin, un marocain de 22 ans, avait déjà été condamné pour viol en 2021, mais bénéficiait d’une libération anticipée prononcée en juin 2024. Si le multirécidiviste n’avait pas bénéficié de la mansuétude d’un juge, le libérant moins de trois ans après son incarcération, Philippine serait encore de ce monde. Et pour ajouter à la trahison des juges qui n’appliquent pas la législation relative aux migrants, l’assassin était sous le coup d’une OQTF.

Or, lors d’un rassemblement à sa mémoire, à Vienne, en Isère, la minute de silence a été perturbée par un ramassis de malappris. Il faut les avoir vu, tous venus du camp du bien, se comporter comme des malotrus, des gens indignes, pour dire le fond de ma pensée comme des salauds. Il faut les avoir entendus scander des slogans antifascistes, comme si Philippine avait été une militante d’extrême-droite. Non seulement ils offensent sa mémoire, mais ils offensent notre intelligence et surtout ils offensent la vérité. Il faut les avoir vus le sourire aux lèvres, reprenant le clapping islandais des stades de football, odieux outrage, pour mieux se donner du cœur à l’ouvrage et cracher leur venin sur le cadavre encore fumant de la victime. Certains portaient même le masque, le masque de la honte, soit par nostalgie du covid soit pour ne pas être dévisagés et reconnus. On se demande de qui ? Puisqu’ils n’encourent aucune poursuite judiciaire de qui que ce soit. Une autre de ces honteuses personnes arbore même un keffieh, je suppose par fraternisation avec l’humaniste Hamas. Au milieu de cette orgie d’indécences, seul l’imperturbable recueillement des personnes venues rendre hommage à Philippine contrastait par sa dignité et son silence.

Mais qui sont ces individus au juste ? Qui sont ces soi-disant compatriotes qui affichent une attitude aussi monstrueuse ? Eh bien, nous connaissons leur identité. Les réseaux sociaux ne se sont pas privés de rechercher si certains d’entre eux n’étaient pas des figures notables de la société. Ces perturbateurs professionnels ne sont pas des racailles d’un lumpenprolétariat quelconque. Ils ne sont pas non plus des délinquants. Non, ils ont pignon sur rue. Ce sont des professeurs, des psy, des élus, bref oui des notables, mais surtout des bobos mus par la même haine idéologique et l’assurance de représenter le camp du bien alors qu’en se comportant ainsi ils représentent le camp de la honte. Allez confier ensuite vos enfants à des professeurs aussi grossiers, aussi incultes et aussi immoraux, allez consulter des psy aussi pervers et allez voter pour des politiques aussi fanatisés et aussi malveillants… Le pire est que ces gens-là essaiment dans toutes les professions, et d’abord chez les juges, les premiers responsables pour avoir relâché des tueurs dans la nature et n’être jamais poursuivis pour atteinte à l’ordre public.

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De tous ces sordides participants, ce sont évidemment les politiques les pires. Ils devraient donner l’exemple et font tout le contraire. Ils sont indignes, non seulement en tant que citoyens français évidemment, mais plus encore en tant que représentants politiques. Admirez sur la photographie servant d’illustration le large sourire de la rouge Myriam Thieulent (Union populaire) au moment de son forfait, admirez le rire hideux de la honte. Ou encore admirez l’écolo Quentin Dogon moins démonstratif mais tout aussi méprisable. Et pour parachever ce tableau lamentable, le collaborateur d’un député LFI, l’antifa Allan Brunon. Voilà bien la gauche, toute la gauche, dans son ignominie, jouissant de sa forfaiture.

On pourrait arguer qu’il ne s’agit là que d’un événement isolé. Détrompez-vous. Comme on l’a dit, les salauds se sont répandus partout, à commencer par les facultés. On a ainsi assisté à Sciences Po à une étudiante prise en flagrant délit d’arrachage d’affiches en hommage à Philippine et à son effigie. Des professeurs auraient même prêté main forte. Comme le souligne Philippot, cette étudiante semble réagir et parler mécaniquement. Comme elle, un pourcentage de la jeunesse étudiante a probablement suivi un lavage de cerveau. On l’a abrutie au nom de l’antiracisme sans qu’elle s’en aperçoive. Elle ne réfléchit plus, elle ne se cultive plus, elle ne débat plus, elle se comporte en automate du progressisme le plus débilitant. Heureusement qu’un autre étudiant a osé s’interposer et a su rappeler à l’arracheuse d’affiches la décence et le respect qu’elle devait à la morte !

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A Grenoble, des militants de l’UNEF, en ont fait autant. Ils se sont mis à plusieurs pour arracher des affiches de Philippine dans l’indifférence générale. Personne pour les rappeler à l’ordre et les mettre face à leur vilénie.

Cette idéologie qui les anime les uns et les autres, qui les pousse à faire le mal et à penser de travers, c’est l’islamo-gauchisme. Je l’ai dit, je le répète, la gauche n’est jamais aussi fascinée que par le totalitarisme : islamique pour les uns, mondialiste pour les autres et communiste pour les derniers des mohicans. S’il ne leur a pas été difficile de respecter une minute de silence pour le voyou Naël, au contraire il était impensable pour eux d’en faire autant avec la blanche colombe Philippine ! Si ce n’est pas du racisme, qu’est-ce que c’est ? En fait, leur antiracisme les conduit au racisme, comme leur antifascisme les a conduits au fascisme. Bravo à eux ! Les racisés sont arrivés à être racistes, tout comme les antifas sont devenus fachos. Qu’on leur tende un miroir et qu’on les force à se voir dedans !

Mais, du fait de la submersion migratoire, on est déjà dans l’après-Philippine. Son enterrement était à peine terminé qu’un nouveau jeune blanc, Kilian, tombait sous les coups d’un algérien cette fois. Combien de nos enfants devront-ils mourir sous les coups d’immigrés musulmans et à cause du laxisme orchestré par la Justice et le politique, avant que le peuple ne se décide à défendre ses enfants ? Même les animaux bravent le danger pour défendre leurs petits ! Et nous ?

Pour achever ce coup de gueule, je voudrais faire référence à ma propre expérience et montrer combien le laisser-faire général remonte à des années. Novembre 2015. Nous sommes au lendemain des attentats du Bataclan. J’entre en salle des profs. Aucune effervescence particulière. Autour d’une table des collègues, avec lesquels j’entretiens des relations amicales, discutent. Je m’approche d’eux et j’entends alors une collègue se lancer dans une tentative sinon de justification des crimes commis du moins de mansuétude, de bienveillance envers les assassins ! Mon sang ne fait qu’un tour et, chose inhabituelle, je sors de ma réserve, j’apostrophe l’auteure de ces paroles qui me choquent tant. Mais enfin, lui dis-je, comment peux-tu parler de la sorte ? Tous ces jeunes qui sont morts à cause du fanatisme et de la violence de leurs bourreaux sont nos enfants ! Oui j’éprouve une peur rétrospective, car les miens étaient au Bataclan il y a moins de deux mois. Ils auraient pu être victimes eux aussi, et toi tu viens trouver des excuses et plus encore à ces salauds ? Tu as toi-même une fille, n’est-ce pas ? Elle sera bientôt en âge de sortir la nuit et cela ne te fait pas peur qu’elle croise la route d’une telle ordure ? Car enfin qui tombe toujours sous les coups de qui et pourquoi ? Ne voyez-vous pas, je m’adresse alors à la tablée entière, que les islamistes sont les fascistes d’aujourd’hui ? Inutile de vous dire que dans le tas de professeurs présents il y avait une de ces jeunes gauchistes à la vision altérée qui voyait des terroristes d’extrême-droite partout et des terroristes islamistes nulle part. Les professeurs étaient déjà perdus à l’époque, perdus pour la démocratie et acquis au totalitarisme. Pas étonnant que, cinq ans plus tard, ils aient réagi pendant le covid comme ils l’ont fait, en bons chiens de garde de la tyrannie.

En 2015, j’ai été aussi écœuré par l’atonie de mes collègues qu’on peut l’être aujourd’hui à la vue de ces déchets humains qui ont bafoué les égards dus à Philippine.¾

Totalitarisme Gauche Islamo-gauchisme Honte

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