La gauche ayant partie liée avec le mondialisme, d’abord parce que ce dernier a adopté son infléchissement politique mais aussi parce qu’en retour elle a été choyée par le pouvoir mondialiste et parce que ses antifas dans la rue et sur les réseaux sont habilités à agir pour fomenter les troubles voulus au moment voulu. La gauche a donc des buts communs avec les mondialistes, c’est pourquoi elle est leur meilleur compagnon de route. Et ses méthodes subversives contre la société sont mises en œuvre. Notamment faire passer pour des faits divers les actes délictueux qui se multiplient contre les français et sont sciemment favorisés par la caste dirigeante. 120 coups de couteau par jour, nombre d’églises brûlées, bref une France orange mécanique, et tout ça ne serait que des faits divers. Oh que non ! A ce point de généralisation, c’est un fait social que le pouvoir, mondialistes et politiques de gauche confondus, s’ingénie à travestir en inversant les responsabilités. D’ailleurs, en ce qui concerne les églises martyrisées, on soupçonne grandement l’extrême-gauche agissante d’en être à l’origine. Ces faibles d’esprit qui n’ont pour tout viatique intellectuel que le manuel du petit vandale applaudissent à chaque église qui se consume en brandissant leur désormais célèbre la seule église qui illumine est celle qui brûle. En 68, leurs pères rêvaient de plage sous les pavés. Aujourd’hui, ces crétins ne rêvent que de feux de joie au détriment du legs de leurs ancêtres. Ils vomissent leur pays, ils renient leurs racines, tout bien pesé ils n’ont pour philosophie que la haine de soi. A l’image du suspect interpelé après l’incendie de l’église de Saint-Omer, un certain Joël Vigoureux. Il s’agit d’un multirécidiviste, sous le coup de 25 condamnations, dont plusieurs pour incendies d’églises. D’après ses fréquentations sur Facebook, son intérêt se portait sur l’antiracisme, la cause palestinienne et l’Islam. Mais rien là d’étonnant !
En fait, cette inversion abjecte des valeurs vers laquelle nous conduit le mondialisme, beaucoup l’attribuent à sa religion, le satanisme. Mais c’est aussi ce vers quoi tend la gauche, qui, comme un train fou, renverse toutes les valeurs, même celles qui furent naguère les siennes. Son but rejoint celui du mondialisme. Et peut-être a-t-il été le même dès le début, c’est-à-dire à la Révolution française.
Paul-Antoine Martin termine par cette tirade illustrant l’inversion des valeurs : « Quand il n’y a plus ni bien ni mal, quand la paix est la guerre, quand le laid est le beau, quand l’indigne est porté aux nues, quand le mensonge est la vérité, quand les élites s’empiffrent sur le dos de ce pays, quand des débiles incultes sont ministres, quand la Seine pleine de m*rde est qualifiée de géniale et douce, quand la censure est faite pour garantir nos libertés, quand les élections ne servent plus à rien, quand le Churchill du XXIème siècle joue du piano avec sa b*te et détourne des centaines de millions d’euros, quand un président aime emmerder les français, quand on achète des bébés sur catalogue avec garantie de deux ans, quand un homme est une femme parce qu’il se croit femme, et réciproquement, alors on va chercher des excuses bidons à un abruti qui assassine un gendarme. »
En guise de devinette, je vous propose d’illustrer vous-même chacune de ses propositions subordonnées. Pour ma part, je relèverai seulement le « quand les élections ne servent plus à rien ». En effet, après trois tours d’élections, qui ont vu la chute de la macronie, la poussée du RN, devenu premier parti de France en nombre de voix et de députés, et puis… eh bien rien n’a changé. La même Présidente de l’Assemblée Nationale après tripatouillage des votes. Le même Président de la République pourtant désavoué. Un Premier ministre plus européiste que jamais après une défaite en rase campagne des européistes aux européennes et deux mois d’attente pour conduire… la même politique suicidaire. Un Premier ministre issu d’un parti ultra-minoritaire à l’Assemblée et nommé au mépris de l’esprit de la Constitution, mais qui s’entourera des mêmes euro-mondialistes. Le peuple s’est rendu dans les bureaux de vote en masse pour que ça change et au final rien n’a bougé. Soit les mondialistes (du NFP) jouent la comédie de l’opposition, soit ceux de la macronie passent outre les résultats sortis des urnes. Nous sommes face à un déni d’élection, comme on n’en a jamais vu. Les élections ne servent donc plus à rien. Au passage, si ce n’est pas aussi un déni de démocratie ! Le pouvoir a officiellement sombré dans l’arbitraire.
Jadis, en 68, on avait un slogan pour ça : élections, piège à c*ns ! C’est même la gauche qui s’en était fait le chantre. Un comble, puisqu’une fois au pouvoir elle l’applique à la lettre. Car, oui, elle domine le pays, que ce soit dans la rue avec les antifas qui font la loi, celle du plus fort, ou que ce soit à l’Elysée avec les socialo-macroniens.¾
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