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L’alpha et l’oméga du camp du bien : l’inversion des valeurs

Le 08/09/2024

Dans Actualités

Le spécialiste de l’Etat profond français, Paul-Antoine Martin, réagissait à la mort tragique du gendarme de Mougins, Eric Comyn, lors d’un contrôle routier. Sa réaction semble avoir été contenue dans un premier temps avant d’exploser. Et en cela elle présente de l’intérêt. Comme pour bien des français, cet acte odieux après tant d’autres a fini de remplir la marmite d’indignations. La coupe est pleine. Leurs dirigeants, qui ont exécuté méthodiquement un tel programme de destruction, sont aujourd’hui pointés du doigt, et tôt ou tard ils devront rendre des comptes au pays meurtri.

Paul-Antoine Martin écrivait donc : « Je n’ai que dégoût profond pour ces journalistes qui participent à cette inversion abjecte des valeurs. D’un côté, on nous présente d’extrême-droite l’épouse du gendarme de Mougins, et de l’autre l’abruti multirécidiviste, qui a assassiné le gendarme en lui fonçant dessus, comme un gars à qui on dresse des éloges… Cette société a perdu la raison. »

Pour être juste, certains médias comme CNews ou Europe 1 se sont démarqués du prêchi-prêcha traditionnel en approuvant la colère de l’épouse du gendarme. Or, dans son message public, celle-ci faisait remonter à 1981, et donc à l’avènement de la gauche, les responsabilités. A savoir la promotion de la culture de l’excuse, le laxisme judiciaire et pire encore, le dénigrement des victimes. Ce discours bien entendu aura déplu à la caste médiatique dont on sait depuis des années qu’elle est orientée à gauche, voire à l’extrême-gauche en quasi-totalité. Mais que nous importe. Seule la vérité compte. Et l’on doit en finir avec le politiquement correct de la bienpensance.

Cela fait des années que nous sommes confrontés à ce genre d’événements qui heurte notre sens civique. C’est donc bien que des forces agissent de façon souterraine pour que cela continue. Les médias donc sont montés au créneau, hormis les mêmes CNews et Europe 1, pour s’en prendre à la veuve Comyn. Le complexe politico-médiatique a cherché à éteindre l’incendie. Toujours de manière odieuse, en jouant sur l’inversion des valeurs : stigmatiser la victime et sa famille tout en victimisant le coupable. La gauche a même lâché ses pitbulls sur les réseaux pour harceler Harmonie Comyn et la menacer de mort. Et puis, conjointement, les ignobles larbins de BFM, en la personne de la péronnelle Laura Baqué, sont allés exécuter leur sale besogne, recueillir des témoignages pleins de louanges sur le tueur de flic. « Gentil, discret et travailleur », tels furent les qualificatifs entendus à son sujet. A en croire ces braves gens, quel aimable assassin ! En somme, pour tous ceux qui le connaissaient, le gentil garçon n’aurait pas fait de mal à une mouche. Cela sous-entend d’une certaine façon que l’adjudant-chef avait dû le chercher quelque part. On a même voulu faire croire que le meurtrier n’avait pas vu le gendarme ! Cependant, si on veut bien sortir un instant du roman à l’eau de rose que nous content BFM et ses cousines, la réalité est tout autre. Car tel est le pedigree du gentil garçon depuis 2006 : violences, outrages, délit de fuite, conduite sans permis, conduite en état d’ivresse… Pas de quoi fouetter un chat, vous dirait la gauche lénifiante à l’égard des canailles. Ainsi va sa glose qui ignore la victime, relègue son épouse à l’extrême-droite et angélise l’assassin !

Bien sûr ce qu’aurait dû dire l’épouse, ce n’est pas tant que la France a tué son mari, encore que la passivité de son peuple n’y soit pas étrangère, mais que ceux qui la dirigent ont tout fait pour en arriver là et ont le sang de son défunt mari sur les mains. J’emploie à dessein le mot assassin. Car parler pudiquement de refus d’obtempérer est encore une façon de dédouaner le coupable de son crime, au moins de sa préméditation. En fonçant sur Eric Comyn intentionnellement, le coupable ne pouvait avoir d’autre but que de supprimer celui qui lui barrait la route.

Dans le registre de l’ignominie professée par l’éternel camp du bien, c’est la réaction d’Olivier Faure, le patron du PS, qui a atteint des sommets d’injustice. Inversion des valeurs, vous dis-je. Selon lui, concernant la réponse à apporter, la prison n’est pas la solution ! Des vacances aux Maldives peut-être… ?

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La gauche ayant partie liée avec le mondialisme, d’abord parce que ce dernier a adopté son infléchissement politique mais aussi parce qu’en retour elle a été choyée par le pouvoir mondialiste et parce que ses antifas dans la rue et sur les réseaux sont habilités à agir pour fomenter les troubles voulus au moment voulu. La gauche a donc des buts communs avec les mondialistes, c’est pourquoi elle est leur meilleur compagnon de route. Et ses méthodes subversives contre la société sont mises en œuvre. Notamment faire passer pour des faits divers les actes délictueux qui se multiplient contre les français et sont sciemment favorisés par la caste dirigeante. 120 coups de couteau par jour, nombre d’églises brûlées, bref une France orange mécanique, et tout ça ne serait que des faits divers. Oh que non ! A ce point de généralisation, c’est un fait social que le pouvoir, mondialistes et politiques de gauche confondus, s’ingénie à travestir en inversant les responsabilités. D’ailleurs, en ce qui concerne les églises martyrisées, on soupçonne grandement l’extrême-gauche agissante d’en être à l’origine. Ces faibles d’esprit qui n’ont pour tout viatique intellectuel que le manuel du petit vandale applaudissent à chaque église qui se consume en brandissant leur désormais célèbre la seule église qui illumine est celle qui brûle. En 68, leurs pères rêvaient de plage sous les pavés. Aujourd’hui, ces crétins ne rêvent que de feux de joie au détriment du legs de leurs ancêtres. Ils vomissent leur pays, ils renient leurs racines, tout bien pesé ils n’ont pour philosophie que la haine de soi. A l’image du suspect interpelé après l’incendie de l’église de Saint-Omer, un certain Joël Vigoureux. Il s’agit d’un multirécidiviste, sous le coup de 25 condamnations, dont plusieurs pour incendies d’églises. D’après ses fréquentations sur Facebook, son intérêt se portait sur l’antiracisme, la cause palestinienne et l’Islam. Mais rien là d’étonnant !

En fait, cette inversion abjecte des valeurs vers laquelle nous conduit le mondialisme, beaucoup l’attribuent à sa religion, le satanisme. Mais c’est aussi ce vers quoi tend la gauche, qui, comme un train fou, renverse toutes les valeurs, même celles qui furent naguère les siennes. Son but rejoint celui du mondialisme. Et peut-être a-t-il été le même dès le début, c’est-à-dire à la Révolution française.

Paul-Antoine Martin termine par cette tirade illustrant l’inversion des valeurs : « Quand il n’y a plus ni bien ni mal, quand la paix est la guerre, quand le laid est le beau, quand l’indigne est porté aux nues, quand le mensonge est la vérité, quand les élites s’empiffrent sur le dos de ce pays, quand des débiles incultes sont ministres, quand la Seine pleine de m*rde est qualifiée de géniale et douce, quand la censure est faite pour garantir nos libertés, quand les élections ne servent plus à rien, quand le Churchill du XXIème siècle joue du piano avec sa b*te et détourne des centaines de millions d’euros, quand un président aime emmerder les français, quand on achète des bébés sur catalogue avec garantie de deux ans, quand un homme est une femme parce qu’il se croit femme, et réciproquement, alors on va chercher des excuses bidons à un abruti qui assassine un gendarme. »

En guise de devinette, je vous propose d’illustrer vous-même chacune de ses propositions subordonnées. Pour ma part, je relèverai seulement le « quand les élections ne servent plus à rien ». En effet, après trois tours d’élections, qui ont vu la chute de la macronie, la poussée du RN, devenu premier parti de France en nombre de voix et de députés, et puis… eh bien rien n’a changé. La même Présidente de l’Assemblée Nationale après tripatouillage des votes. Le même Président de la République pourtant désavoué. Un Premier ministre plus européiste que jamais après une défaite en rase campagne des européistes aux européennes et deux mois d’attente pour conduire… la même politique suicidaire. Un Premier ministre issu d’un parti ultra-minoritaire à l’Assemblée et nommé au mépris de l’esprit de la Constitution, mais qui s’entourera des mêmes euro-mondialistes. Le peuple s’est rendu dans les bureaux de vote en masse pour que ça change et au final rien n’a bougé. Soit les mondialistes (du NFP) jouent la comédie de l’opposition, soit ceux de la macronie passent outre les résultats sortis des urnes. Nous sommes face à un déni d’élection, comme on n’en a jamais vu. Les élections ne servent donc plus à rien. Au passage, si ce n’est pas aussi un déni de démocratie ! Le pouvoir a officiellement sombré dans l’arbitraire.

Jadis, en 68, on avait un slogan pour ça : élections, piège à c*ns ! C’est même la gauche qui s’en était fait le chantre. Un comble, puisqu’une fois au pouvoir elle l’applique à la lettre. Car, oui, elle domine le pays, que ce soit dans la rue avec les antifas qui font la loi, celle du plus fort, ou que ce soit à l’Elysée avec les socialo-macroniens.¾

 

Photo d’illustration : © Gerd Altmann de Pixabay

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