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Au royaume du trompe-l’œil

Le 07/12/2022

Dans Actualités

On a parlé précédemment de nos illusions perdues. Mais pour certains le spectacle continue. Les médias, en mode commando, l’entretiennent avec tous les moyens dont ils disposent, notamment la technologie moderne qui aurait fait rêver plus d’un potentat passé. Je vous propose quelques morceaux choisis parmi l’actualité. Ce sont tous, d’une manière ou d’une autre, des faits en trompe-l’œil destinés à abuser nos sens ou notre entendement. Ce florilège n’a toutefois rien d’exhaustif.

L’Etat profond s’est permis depuis longtemps toutes les violences, a ordonné des meurtres, a commandité des guerres et a programmé sans état d’âme un génocide global. Toutes ses mauvaises actions, appréciez l’euphémisme, ont été préméditées. Ce n’est pas pour reculer aujourd’hui devant d’autres expédients comme la duperie ou le trompe-l’œil.

Premier exemple. Vous connaissez, je suppose, Le Diable s’habille en Prada. Eh bien, ce titre ment. Le Diable s’habille en Balenciaga ! L’affaire a fait grand bruit sur les réseaux sociaux, à défaut de tf1. Elle a tant retenti qu’elle en a laissé muets les chaînes de connivence. La dernière campagne publicitaire de la marque, depuis longtemps vouée aux déviances de « l’élite », a défrayé la chronique. C’est un tollé. En effet, tout dans les photos qui la composent suinte la pédocriminalité, voire l’exalte. Beaucoup d’internautes se sont mis en quête d’informations, qui une fois mises bout à bout ont donné de Balenciaga une satanée image. Les photos ont été examinées à la loupe. On y répertorie un nombre impressionnant d’objets suggestifs autour d’un enfant à la mine morne : un éventail d’accessoires BDSM, des oursons harnachés comme des esclaves sexuels, un rapport de procès pédocriminel et tout un panel d’articles qui n’ont rien à faire dans une chambre d’enfant. Ces expositions ne laissent aucun doute sur les intentions abominables des responsables de la campagne, du photographe à la direction de Balenciaga, en passant par la société de production. Si leurs comparses n’avaient pas pris en otage la Justice, l’on aurait aimé des poursuites au pénal. Les photos ont été en effet prises en France. Ne tombent-elles pas sous le coup de notre législation ? Mais, entre voyous de la même engeance, on lave son linge sale en famille, pas en public. Sur Quotidien, on ricane de l’affaire. Dans la presse écrite, on minimise. Vous aurez mal vu, disent certains. Vous voyez du mal là où il n’y a que création artistique. Voilà la lamentable défense des pédophiles et de leurs soutiens. Ce serait un trompe-l’œil et on aurait mal interprété. Non, pédophiles que vous êtes, nous avons très bien vu ce que nous avons vu. Il n’y a rien à prendre au deuxième ou au troisième degré. Vous avez seulement cru ne plus avoir à cacher vos turpitudes et vos pulsions criminelles. Cependant, la société n’est pas aussi dégénérée que vous l’avez supposé. Prenez garde, l’électrochoc pourrait la traumatiser. Il ne faut pas déplacer trop vite la fenêtre d’Overtone, sinon gare à sa réaction !

Balenciaga campagne pub

Une des photos de la dernière campagne publicitaire de Balenciaga

Deuxième exemple, le comportement des nababs mondialistes. Des décennies durant, Bill Gates a vendu ses produits Microsoft, mais interdisait, pendant ce temps, les écrans à ses enfants. Pas d’ordinateur, de tablette ou de portable entre les mains de ses chérubins. Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais. Telle fut la devise de ce bon père de famille. Puis il changea de voie et se mit en tête de piquer la Terre entière. En ayant encadré l’OMS par ses dons et ses fondations, il allait pouvoir assouvir son obsession. Le lascar qui veut réduire la population mondiale par humanisme, je suppose, veut aussi la piquer. Mais, là encore, qu’apprend-on par l’intermédiaire de son ancien médecin ? Eh bien que sa fille n’est pas vaccinée contre le covid. Tiens, tiens… D’ailleurs elle n’est vaccinée contre aucune maladie. Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais. Sur ce point, il n’a pas changé. La même duplicité dans le caractère. Une autre mondialiste qui tient un discours pour les médias et qui fait le contraire dans sa vie privée, la walkyrie Ursula Von der Leyen. En tant que représentante de l’UE, celle-ci encourage les européens, c’est peu de le dire, à la transition écologique. Certains comme Richard Boutry diraient « escrologique ». Mais, hors des caméras officielles, regardez-la monter à bord de son jet pour faire un saut de puce de 50 km. Elle ne manque pas d’air, la donneuse de leçons ! Tout sonne faux dans leurs propos, qu’il s’agisse d’écologie, de santé ou de politique sociale. Il y a la façade, qui fait dans le rouge et le vert, dans une espèce de communisme écolo, et il y a leur train de vie, qui relève d’un mélange de capitalisme sauvage et de presse people.

Fille bill gates non vaccinee
Jet ursula von der leyen

Troisième exemple d’abus en trompe-l’œil. Un groupe d’« antivax », diraient nos ennemis, décide de faire une descente musclée dans un centre de vaccination pour enfants en plein New York. Leur intention était probablement d’informer les parents, avant qu’ils fassent inoculer leur progéniture, de la toxicité des prétendus vaccins. Quelle ne fut pas leur surprise en constatant que ce centre était détenu par … des chinois ! Remarquez que le personnel fut aussi interloqué qu’eux. Une vaccinatrice plus forte en gueule que d’autres finit par vociférer contre les intrus. Ce n’est pas dans son beau pays que l’on autoriserait une telle intrusion. Encore un trompe-l’œil que ces cellules étrangères, opérant masquées bien entendu, au cœur de la Grosse Pomme.

Chinoise centre de vaccination new york

Un membre du personnel chinois travaillant dans ce centre de vaccination à New York

Quatrième exemple, peut-être le plus éloquent. En matière de faux-semblant, les médias peuvent aujourd’hui nous faire gober ce qu’ils veulent. Eux et leurs chiens de garde, les fact-checkeurs, dont la crédibilité depuis les affaires Facts & Furious et Conspiracy Watch s’est effondrée, ne s’en privent pas. Cela fait partie de leur arsenal. Etant donné que ce ne sont pas de véritables médias mais d’authentiques mercenaires à la solde des mondialistes, ils sont armés de gadgets comme des pros. Le numérique est une mine d’outils en ce domaine. Et ce qu’ils donnent à voir n’est pas toujours ce qui se passe réellement. On en a déjà eu un aperçu avec des reportages truqués sur les toits ukrainiens, dans une maternité à Marioupol ou des commentaires lunaires sur des manifestations parisiennes qui n’auraient pas eu lieu. Mais il y a pire dans les procédés. Il y a la reconstitution en images d’une réalité aussi burlesque qu’inventée de toutes pièces. Une réalité virtuelle à laquelle on veut nous voir adhérer. Autrement dit, une réalité en trompe-l’œil, encore et toujours. Ainsi, Mohamed Diallo, le sympathique alerteur, est fortement convaincu de la désertion de Washington. Beaucoup de ceux qui ont parcouru la capitale depuis des mois l’ont rapporté, preuves visuelles à l’appui. Ils témoignent d’une désaffection de la ville par rapport à l’affluence habituelle. Affluence dont je peux témoigner même en été, pour m’y être rendu au mois d’août 2018. Beaucoup de bâtiments officiels comme celui du FBI ont présenté porte close devant eux. La multitude d’agents de l’Etat qui y travaille et qui forme un microcosme bien connu à Washington semble avoir fondu au soleil de DC. Mais le plus troublant est cette conférence de presse donnée par Biden, en mars 2021, devant soi-disant un parterre de journalistes sur la pelouse de la Maison Blanche. Il se trouve qu’un ancien militaire prénommé Richard, reconverti dans le témoignage direct au moyen de son portable et qui se veut citoyen journaliste, a prouvé via sa caméra qu’au moment précis où CNN retransmettait des images censées être tournées en direct depuis la Maison Blanche, rien ne se passait en réalité sur ses pelouses de Rose Garden. Pour éviter toute contestation, il effectua un travelling ininterrompu d’un téléviseur allumé sur CNN jusqu’à une vue plongeante sur la partie arrière de la Maison Blanche, totalement déserte. La démonstration est restée dans nos mémoires. Les images télévisées n’étaient donc qu’un subterfuge pour nous amener à croire que Biden occupait bien la Maison Blanche, puisqu’il y donnait une conférence et que CNN la diffusait. Mais nos yeux nous disaient le contraire. La réalité était tout autre. Un savant montage avait dû être à l’origine de cette conférence contrefaite, avec la complicité des médias mainstream. Les téléspectateurs non avertis n’y auront vu que du feu.

Video richard citizen journalist a
Videos richard citizen journalist b

Les deux extrémités du travelling de Richard Citizen Journalist pendant la conférence de presse de Joe Biden le 12 mars 2021

Plus près de nous, la dernière visite de Macron à son pote Joe des Amériques fait aussi débat. Certains remettent en question l’authenticité des cérémonies à la Maison Blanche. La rumeur court qu’un autre lieu, situé avenue Pennsylvania, reproduisant l’intérieur de la Maison Blanche, aurait accueilli les scènes de réception. On pourrait se demander pourquoi une telle mise en scène, si la Maison Blanche semblait afficher la même fréquentation que pendant les mandats précédents. Or l’activité y est scrutée depuis le 20 janvier 2021, et il y a bien des raisons objectives de se poser des questions, tant le ballet quotidien est sensiblement réduit. La confusion qui règne sur le sujet suffit à montrer la défiance que suscitent les médias officiels et leur relation des événements. En tous cas, ne doutez pas une seule seconde que ces médias soient capables de nous égarer au point de nous faire voir une pièce de théâtre et non des faits réels. De la continuité de leur discours dépend la prolongation de leur règne sur les esprits et de celui de leurs maîtres sur les hommes. Par conséquent ils n’auront aucun scrupule à le faire.

Un journaliste, qui se rappelle parfois l’être, Pascal Praud, a le courage de s’exprimer sans frein. A propos de ce qui restera de Macron, Praud n’y va pas par quatre chemins : le roitelet insignifiant n’a aucune pensée politique sérieuse, dit-il, aucune vision propre. Tout chez lui tient dans la com et n’est que représentation. Pour Praud, il restera comme « le prince du vent ». Aussi doit-il paraître pour exister. On comprend pourquoi les médias s’emploient à le valoriser au détriment de la vérité. Macron s’invente des relations qu’il n’a pas, car Macron n’existe plus sur la scène internationale. Il existe à peine dans son propre pays où la haine qu’il déclenche n’a d’égal que la flagornerie de ses valets. Praud achève son portrait par une sentence shakespearienne qui fera date : « Le Prince du vent règne sur le royaume du vide. » Personnellement je pencherais plutôt pour le royaume du trompe-l’œil. Je parierais ainsi que toutes les scènes qu’on annonce tournées par exemple à la Maison Blanche l’ont été ailleurs pour donner encore l’illusion que les mondialistes dirigent les choses, quand de toute évidence la ville échappe à leur contrôle. Beaucoup le pensent et leurs arguments s’avèrent souvent convaincants.

On comprendra qu’après cela je me sois écarté définitivement des informations mainstream, tant les vérités qui fâchent y sont ou déformées ou ignorées. Je m’en suis écarté au point d’ignorer les nouvelles futiles qui occupent nos médias pour nous distraire des choses essentielles : une phrase montée en épingle, un débat sur le barbecue ou les mille et une astuces pour ne pas grelotter cet hiver... L’inconvénient est de sembler sortir des nues, lorsque vous croisez un endormi qui vous entretient de la dernière nouvelle insipide qui aura été balayée par la suivante à la même vitesse qu’elle-même est apparue. Alors, si le courage me prend, je lui montre la gravité de la situation et ses pieds au bord du vide.¾

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