Croire ou ne pas croire… Nous serons fixés tôt ou tard. Ceux qui auront cru à Q auront-ils été crédules ou au contraire visionnaires ? L’avenir nous le dira. En attendant, rappelons ce que les médias ont particulièrement tenu à cacher au public. Tout d’abord le discours d’investiture de Trump où celui-ci a bien précisé à l’époque que sa venue au pouvoir ne signifiait pas la succession d’une administration à une autre, somme toute anodine, mais bien la passation de gouvernance d’une élite dévoyée à nous le peuple. Une référence explicite à la constitution originelle des Etats-Unis d’Amérique. Nous étions alors en 2017 ! Personne ne prêta, en France par exemple, la moindre attention à ces paroles lourdes de sens. Et puis, avant de sembler devoir quitter la Maison Blanche, Trump invectiva un journaliste, lui reprochant d’abord de ne pas faire son métier et ensuite de ne pas annoncer ce qu’il lui cria : « I caught them, I caught them all ! » Je les ai eus, je les ai tous eus. Nulle ambigüité, il parlait bien de ses ennemis haut placés du Deep State. Néanmoins, des têtes du parti démocrate, de celles de la finance, de Bill Gates ou de Soros… lesquelles avaient été prises au piège par le leader républicain ? On l’ignore encore, car ces gens-là semblent poursuivre sans anicroche leur programme malfaisant.
Dans cette prodigieuse partie de poker, chacun bluffe. Pourtant les pions se déplacent. Pourtant des faits s’assemblent, qui donneraient raison à ceux qui ont explicité les grandes lignes du plan de Q. Mais il en faudra plus pour convaincre les méfiants.
Au cours de la conférence de Lucien Cerise dont j’ai parlé plus haut, un certain Michel Drac s’exprima aussi. Il affirma que déjà, c’est-à-dire il y a six ans, un schisme s’était produit dans la population entre ceux qui avaient choisi la commodité du discours médiatique et ceux qui tentaient de s’informer autrement, sur internet et les réseaux sociaux. Entre ceux qui s’en remettaient aux faux médias et ceux qui refusaient leur propagande. Entre la facilité et la volonté de démêler le vrai du faux. C’est d’ailleurs à cette époque que personnellement je basculai d’un monde dans l’autre. Une énième falsification perpétrée contre Trump par les médias m’écarta définitivement des bateleurs de nos chaînes de télévision.
Aujourd’hui vient se superposer une seconde dichotomie. Elle concerne ceux qui donnent crédit à Q et les autres. Mais ce n’est pas parce qu’une masse informe de gens, qui n’ont effectué aucune recherche personnelle et qui sont restés béats et mal informés depuis l’entrée en scène du covid, ne croient pas en Q, que j’en ferais autant. Quant aux ennemis déclarés, en priorité les faux médias, ce n’est pas d’eux que j’attends des réponses, ou alors en creux. En effet, leurs attaques contre Q et Trump ont tendance à produire l’effet inverse de celui qu’ils recherchent, à savoir donner crédit à une résistance de longue date, opérant en sous-marin et travaillant à notre libération. Quoiqu’il en soit, je ne peux que rêver d’une grande libération de l’humanité aujourd’hui prise en otage. Il n’est pas nécessaire de voir pour croire, ni de croire pour espérer.¾
Photo d'illustration : une photo de CNN cherchant à disqualifier Trump et le mouvement Q