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To believe or not to believe, that is the question

Le 02/10/2022

Dans Actualités

Croire ou ne pas croire est effectivement la question. Croyons-nous que l’opération Q existe réellement et soit en cours de réalisation ou bien ne serait-ce qu’une chimère à laquelle nous voulons croire en désespoir de cause ? En premier lieu, un personnage politique d’envergure, comme Donald Trump, qui combat frontalement le mondialisme depuis son entrée en campagne de 2016, nous engage vivement à y croire. N’est-ce pas à prendre en considération ? Believe !, s’exclamait-il dernièrement. Un peu comme en réponse à la question shakespearienne de notre croyance ou de notre incrédulité en cette force salvatrice.

Dans une conférence à Nice en 2016, Lucien Cerise disait déjà que seule une force de même calibre que l’Etat profond pouvait rivaliser avec lui. Question de taille et de moyens, sans doute. On ne combat pas un appareil d’Etat avec des slogans. On n’arrête pas une Panzerdivision avec des tracts. Ce qui suggérait, au passage, que la seule volonté des réinformateurs et de leurs abonnés n’empêchait pas le rouleau compresseur mondialiste de les neutraliser. On l’a bien vu à de multiples reprises depuis le covid. Avons-nous empêché la radiation de l’Ordre des médecins du Dr Gayet pour avoir soigné du covid ? Avons-nous évité les fraudes électorales là où elles étaient commises ? Avons-nous empêché des lois inconstitutionnelles de voir le jour ? On dit que les hommes de bonne volonté ont à cœur de défendre leurs droits inaliénables, mais, même si les peuples sortent de leur torpeur et combattent leurs bourreaux, cela suffira-t-il à les renverser ? A mon tour, permettez-moi de rester sceptique. A l’image de Lucien Cerise, je pense qu’un corps armé puissant doit se tenir à nos côtés pour faire respecter nos droits et nos libertés.

Nothing can stop trump

Pour revenir à lui, le président le plus haï de l’élite a retruthé également un de ses portraits avec en incrustation : Rien ne peut arrêter que qui vient. Et ce qui vient précisément, c’est la tempête qui devrait sonner le tocsin du globalisme et de ses affidés. Cela ne devrait pas se faire sans mal aussi pour les peuples. Mais cela semble être une épreuve incontournable, ce qu’on a appelé le précipice. Sur OAN il a été plus explicite encore. « Des choses très importantes doivent se produire bientôt pour notre pays, car une fois qu’il aura franchi le précipice, il ne pourra plus être sauvé. » Et j’ajouterais l’Europe avec, voire plus, l’humanité. Trump est un patriote. Il pense en priorité au devenir de son pays, mais nous nous devons penser à sauver le nôtre. Au-delà, le monde entier est concerné car la gouvernance mondiale qu’on nous prépare scellera la perte de la race humaine. Pour Trump, il ne fait pas de doute que nous avons atteint le « carrefour dans l’histoire de notre civilisation qui déterminera si oui ou non nous, le peuple, nous reprenons le contrôle de notre gouvernement. » Cet appel indique bien que l’enjeu dépasse la seule Amérique.

Des réinformateurs comme Antoine Cuttita, de l’Alliance Humaine, le martèlent depuis longtemps. Trump ne rallie pas Q après coup. S’il ne l’a pas initié, du moins en est-il une cheville ouvrière depuis son accession à la présidence et il a utilisé la plus haute fonction publique pour saper les fondements de l’Etat profond et organiser la riposte à l’échelon international. De cela aucun média du système ne parlera et les quelques organes de presse encore indépendants sont trop timorés pour s’exprimer à ce sujet. Ils craignent d’être accusés par le système et leurs médias de colporter des nouvelles fantaisistes, d’être ainsi dénigrés et au final discrédités. La nouveauté cependant c’est que Trump nous révèle à mots à peine voilés que l’équipe Q et son plan militaire sont bien réels. Le mouvement Q peu à peu sort de l’ombre. Trump ou qui que ce soit d’autre de l’équipe Q ne peut se permettre des allusions trop appuyées ou l’élite déploierait aussitôt des contre-feux. Les allusions à Q doivent donc rester énigmatiques pour n’offrir aucune prise. Aux Etats-Unis, Tucker Carlson, le présentateur politique le plus écouté, n’est pas plus disert sur les signes de cette résistance organisée, pour ne pas la pénaliser, et préfère se la jouer discret. En revanche, il met le paquet chaque soir pour démonter la machine mondialiste, les actions criminelles des démocrates et bien d’autres faits encore tenus secrets dans les médias français. Mais de Q, il n’en est pas encore question, ce qui se comprend. On ne dévoile pas ses plans à l’avance au risque de donner des cartes à l’ennemi et de lui laisser deviner son jeu.

Toutefois, les sous-entendus que multiplie ces temps-ci Donald Trump sont confirmés par certains de ses proches, tels Kash Patel ou Devin Nunes. Que ce soit à propos de la validation de l’opération Q ou de l’imminence d’un bouleversement géopolitique mondial. Les sujets graves ne manquent pas, qui pourraient en être la cause, qu’il s’agisse d’un séisme monétaire, d’un effondrement économique, d’une guerre nucléaire, d’une crise énergétique ou d’une nouvelle pandémie… Un événement majeur de cette nature, qu’on désigne sous le terme de cygne noir, est attendu par le camp antimondialiste. Il ne sera pas nécessairement pacifique, il sera qui sait sanglant, mais il sera de bon augure pour des changements profonds dans le monde, notamment à sa tête.

We the people

Croire ou ne pas croire… Nous serons fixés tôt ou tard. Ceux qui auront cru à Q auront-ils été crédules ou au contraire visionnaires ? L’avenir nous le dira. En attendant, rappelons ce que les médias ont particulièrement tenu à cacher au public. Tout d’abord le discours d’investiture de Trump où celui-ci a bien précisé à l’époque que sa venue au pouvoir ne signifiait pas la succession d’une administration à une autre, somme toute anodine, mais bien la passation de gouvernance d’une élite dévoyée à nous le peuple. Une référence explicite à la constitution originelle des Etats-Unis d’Amérique. Nous étions alors en 2017 ! Personne ne prêta, en France par exemple, la moindre attention à ces paroles lourdes de sens. Et puis, avant de sembler devoir quitter la Maison Blanche, Trump invectiva un journaliste, lui reprochant d’abord de ne pas faire son métier et ensuite de ne pas annoncer ce qu’il lui cria : « I caught them, I caught them all ! » Je les ai eus, je les ai tous eus. Nulle ambigüité, il parlait bien de ses ennemis haut placés du Deep State. Néanmoins, des têtes du parti démocrate, de celles de la finance, de Bill Gates ou de Soros… lesquelles avaient été prises au piège par le leader républicain ? On l’ignore encore, car ces gens-là semblent poursuivre sans anicroche leur programme malfaisant.

Dans cette prodigieuse partie de poker, chacun bluffe. Pourtant les pions se déplacent. Pourtant des faits s’assemblent, qui donneraient raison à ceux qui ont explicité les grandes lignes du plan de Q. Mais il en faudra plus pour convaincre les méfiants.

Au cours de la conférence de Lucien Cerise dont j’ai parlé plus haut, un certain Michel Drac s’exprima aussi. Il affirma que déjà, c’est-à-dire il y a six ans, un schisme s’était produit dans la population entre ceux qui avaient choisi la commodité du discours médiatique et ceux qui tentaient de s’informer autrement, sur internet et les réseaux sociaux. Entre ceux qui s’en remettaient aux faux médias et ceux qui refusaient leur propagande. Entre la facilité et la volonté de démêler le vrai du faux. C’est d’ailleurs à cette époque que personnellement je basculai d’un monde dans l’autre. Une énième falsification perpétrée contre Trump par les médias m’écarta définitivement des bateleurs de nos chaînes de télévision.

Aujourd’hui vient se superposer une seconde dichotomie. Elle concerne ceux qui donnent crédit à Q et les autres. Mais ce n’est pas parce qu’une masse informe de gens, qui n’ont effectué aucune recherche personnelle et qui sont restés béats et mal informés depuis l’entrée en scène du covid, ne croient pas en Q, que j’en ferais autant. Quant aux ennemis déclarés, en priorité les faux médias, ce n’est pas d’eux que j’attends des réponses, ou alors en creux. En effet, leurs attaques contre Q et Trump ont tendance à produire l’effet inverse de celui qu’ils recherchent, à savoir donner crédit à une résistance de longue date, opérant en sous-marin et travaillant à notre libération. Quoiqu’il en soit, je ne peux que rêver d’une grande libération de l’humanité aujourd’hui prise en otage. Il n’est pas nécessaire de voir pour croire, ni de croire pour espérer.¾

 

Photo d'illustration : une photo de CNN cherchant à disqualifier Trump et le mouvement Q

Trump Q