Dans un autre rayon, Charles a parrainé la Liverpool Care Pathway qui a euthanasié plus de 60 000 citoyens britanniques par an, sans leur consentement, de 2001 à 2013 (voir les racines nazies de la famille royale britannique de Florent David, avril 2022). Chez les Windsor, c’est de famille que de chercher à se débarrasser de ses semblables. Charles est le digne successeur de son père. En effet, en août 88, Philip déclarait vouloir se réincarner, dans une prochaine vie, sous la forme d’un virus mortel pour résoudre le problème de la surpopulation. Tel père tel fils. Il faut savoir que le prince Philip a été éduqué dans les années 30 dans le cadre d’un programme nazi eugéniste. Manifestement il lui en est resté quelque chose. Il a fondé par ailleurs le World Wildlife Fund avec le prince Bernhard des Pays-Bas autre eugéniste, autre nazi convaincu qui a adhéré au NSDAP en 33 et fondateur du groupe très controversé Bilderberg. A ce joyeux tableau de famille s’ajoute la figure de Lord Mountbatten, père pour ainsi dire adoptif du prince Philip et mentor de Charles, mais également pédophile patenté.
Si Charles veut faire de la politique et s’il sait aussi bien s’entourer, cela promet pour son règne. De plus ses accointances avec Schwab et son engagement pour la planète montrent qu’il tient à jouer un rôle dans le scénario mondialiste en cours. Charles en appelle à une campagne de type militaire, rien que ça, pour imposer la transition écologique. Si ce n’est pas de l’éco-fascisme, qu’est-ce que c’est ? Voilà un individu déjà suspecté dans de sordides affaires qui veut donner des leçons de conduite à la Terre entière. A la tête de trente châteaux et d’une fortune incommensurable, il a certainement la plus mauvaise empreinte carbone au monde. Alors, que ce roitelet commence par donner l’exemple avant de vouloir régenter les être humains. Nous ne sommes pas tous ses sujets, ne lui en déplaise !
Par ailleurs, au moins au regard de l’Histoire, il devra peut-être un jour faire face à ses responsabilités dans la mort de Diana. Là aussi le dossier en accusation s’étoffe. Alexis Cossette, dans son dernier webjournal, à partir de coupures de presse mainstream, a fait le point sur cette affaire et sur le fait que Diana, peu de temps avant de mourir de la façon que l’on sait, avait fait part de sa crainte que Charles s’apprête à l’assassiner dans ce qui passerait pour un accident de voiture ! Comme le dit Cossette, « la famille royale a beaucoup de squelettes dans ses placards »*. Charles a mis plus de soixante dix ans pour monter sur le trône. Les médias, bienveillants, lui ont accordé l’immunité, comme ils l’avaient accordée jadis à sa mère. Maintenant qu’il est auréolé de ces affaires criminelles, son personnage apparait si sulfureux qu’on peut s’attendre à tout durant son règne. D’ailleurs, il nous a donné un avant-goût de ses prochaines prouesses, lorsqu’il a prétendu fièrement, en 2011, descendre de Vlad l’Empaleur, le prince sanglant qui a inspiré Bram Stoker pour son personnage de Dracula, comte et vampire. Il avait fait cette révélation pendant l’enregistrement d’une émission au cours de laquelle il s’engageait en faveur de la préservation des forêts de Transylvanie (Roumanie). Espérons que le sort de ses sujets n’aille pas rejoindre celui de Diana ni celui des victimes de Dracula. Si je m’étais découvert subrepticement un ancêtre aussi cruel, je ne m’en serais pas vanté. Lui, Charles, en est fier !