Sa Majesté le Roi mondialiste

Le 14/09/2022

Dans Actualités

Sur l’échiquier géopolitique, des pions ont valsé cet été, de Mario Draghi à Boris Johnson. Un va-et-vient sur le damier qui a distrait les peuples spectateurs. Mais la cour mondialiste n’a pas eu l’air de s’en préoccuper. Elle a de la réserve. Et puis elle préfère se pencher sur le sort de ses têtes couronnées. Là aussi, côté monarques, elle dispose de réserves. Il n’y a qu’à voir l’effervescence que ses médias manifestent aujourd’hui. Ils frétillent à couvrir l’événement. Ce n’est pas tous les jours qu’une Reine meurt. La cour mondialiste larmoie en effet sur la perte de sa Reine, Elisabeth II, tout en fêtant l’intronisation du Roi suivant, Charles III, qui semble vouloir jouer un plus grand rôle politique.

La caste anglo-saxonne est de fait plus préoccupée par la résistance américaine. Elle se déchaine, moitié par peur moitié par atavisme, pour briser la résistance contre son ordre mondial. Elle n’a plus que faire des apparences. Ce n’est pas dans les médias qu’elle contrôle qu’on dira ouvertement qu’elle est passée en mode totalitaire et dans une phase de violence accrue. En effet, tout d’abord 35 alliés de Donald Trump, nous dit Steve Bannon, ont vu le FBI débouler chez eux. La gestapo à la sauce ketchup sort les crocs et sévit contre ceux qui ont le malheur de ne pas déférer à ses chefs. Le FBI ne s’embarrasse plus des formes. Il sombre dans le gestapisme. On cherche toujours les motifs d’un tel coup de filet. Tous ceux qui voudraient y trouver la moindre justification, qu’ils le sachent bien, se font les supplétifs des tyrans et les fossoyeurs de la démocratie. Depuis le début de ces descentes contre les patriotes américains, on compte finalement plus de cinquante perquisitions. L’opposition déclarée au fascisme démocrate, qui n’a plus rien de rampant, se voit la cible de son déchainement. L’épisode restera dans l’histoire américaine, si tant est qu’elle ait un avenir, comme un nouveau Pearl Harbour.

Donc le personnel politique dans le monde occidental est sujet à bouger, lorsqu’il est le jouet des mondialistes. Mais ces derniers rencontrent un front inexpugnable à l’est de l’Ukraine. Sur un plan stratégique, l’Ukraine est un bastion dont dépend l’avenir du globalisme. Cette forteresse a été conquise de haute lutte, à une époque où nos yeux étaient tournés ailleurs, par la CIA et l’OTAN, sans oublier Soros, le faiseur de révolutions colorées, qui l’ont amenée dans le giron atlantiste. Mais aujourd’hui, malgré certains mouvements de terrain, les exactions du camp antirusse percées à jour rebattent les cartes et fragilisent la situation des occidentaux, en dépit des gesticulations du dépoitraillé BHL.

Aussi revenir outre manche est du pain bénit pour nos médias. Depuis le 8 septembre, ils ont dressé un panégyrique de la reine défunte, mais ont-ils seulement rappelé la trouvaille du Sun à son sujet et à celui de la famille dans laquelle elle a grandi ? La famille Windsor, qui soit a dit en passant a changé de nom, Saxe-Cobourg-Gotha faisait trop germanique, a des penchants peu avouables de nos jours. Elle n’a pas toujours caché sa mentalité teutonne. Il fut un temps, dans les années 30, où les parents de la future Elisabeth II ainsi qu’elle-même, certes âgée de six ans, et sa sœur batifolaient sur une pelouse royale en finissant par faire le salut nazi devant caméra (cf. photo d’illustration). Dommage que le son fasse défaut. On aurait pu entendre un Sieg Heil, qui sait ! Le tropisme germaniste dans cette famille royale a toujours été sous-estimé. On comprend pourquoi. Le passé, l’atavisme… Il ne fait pas bon pour qui symbolise la puissance britannique et ce qui va avec de mondialisme, la City, il ne fait pas bon pour elle que soit divulgué qu’elle a depuis longtemps penché pour le nazisme. C’en serait fini des images d’Epinal qu’on colporte sur elle. Aujourd’hui il ne fait plus beaucoup de doute que l’abdication d’Edouard VIII n’était pas vraiment due au faux prétexte de son mariage avec une américaine divorcée mais bien à sa proximité idéologique avec le troisième Reich. Son acharnement à souhaiter la victoire nazie au détriment de son propre pays lui a valu le surnom de roi nazi.

Edouard viii roi nazi

Edouard VIII et Hitler

Voilà dans quelle atmosphère a baigné la jeune Elisabeth. Et il n’en serait pas resté quelque chose ? Rappelez-vous ce que disait Hannah Arendt sur le fait que le nazisme n’avait pas disparu en 45 ! Peut-être, lorsque le prince Harry s’est fait photographier en uniforme nazi était-ce la réminiscence d’une inclination familiale. Pour vous je ne sais pas mais personnellement je ne connais personne qui se soit prêté à ce genre de plaisanterie. Bien d’autres faits troublants ont émaillé le règne interminable d’Elisabeth II, et par là je veux parler de faits de pédophilie et plus encore. Comme cette histoire d’enfants en Colombie Britannique que le couple royal avait emmené en sortie et qui n’ont jamais réapparu. Comme ce corps d’une jeune fille qu’on a découvert dans l’une de leurs propriétés, l’affaire ayant été rondement menée et classée. Comme ce jeune homme nu fuyant Buckingham au moyen d’une cordelette de fortune. Comme le fait qu’Elisabeth II a pu côtoyer le couple diabolique Epstein et Ghislaine Maxwell au point que celui-ci s’est fait photographier en privé dans l’une des demeures royales. C’est bien une chose que ne risque pas de nous arriver, nous qui ne sommes pas des membres de leur cercle intime. Malgré ou peut-être à cause de ces scandales étouffés dans l’œuf, les mondialistes adoraient leur reine. Ainsi n’y avait-il pas plus monarchiste qu’un socialiste français quand il recevait sur ses terres la souveraine britannique. N’est-ce pas monsieur Jack Lang ?... Adoreront-ils autant son fils ?

Charles elisabeth savile

Charles ! Parlons-en. Le Roi, puisqu’il faut l’appeler ainsi, a eu de mauvaises fréquentations dans le passé. Pour commencer celle du présentateur télé, Jimmy Savile, mort en 2011, un des prédateurs sexuels les plus prolifiques qui ait été. Ce criminel a violé des centaines d’enfants ! Savile aurait conseillé le Prince Charles durant vingt ans, dit-on. On peut honnêtement se demander en quoi. Si l’on voulait bien fouiller un peu, on verrait que ce qui rapprochait Charles de Jimmy était bien peu reluisant. C’est à une œuvre de charité que ces deux là se sont connus. La philanthropie est souvent une couverture idéale pour les pédophiles. Les compères sont ensuite devenus amis. Savile finit par avoir ses entrées à Buckingham Palace. La Reine l’a même fait chevalier. Charles voulait également que Savile soit le parrain de ses enfants. C’est dire leur degré de proximité. Et comme par hasard Savile a aussi fait bénéficier Andrew de ses conseils ! Ce prince Andrew mouillé lui aussi dans des affaires d’abus sexuels qui auraient valu la prison au premier venu mais dont la position l’a protégé jusqu’ici. Andrew dont on sait aussi qu’il fréquentait l’île d’Epstein, la fosse septique de l’élite. Sans nul doute que dans leurs entrevues ces trois là devaient enfiler des perles. A vrai dire, Savile a fait régner la terreur autour de lui parmi les enfants du royaume. C’est ça la réalité. Un réseau pédophile devait opérer dans l’enceinte même du palais. Sans aller jusqu’à inquiéter la famille royale, la police a tout de même arrêté le majordome de la Reine en 2008 pour avoir dirigé un trafic sexuel de mineurs depuis Buckingham. Pensez-vous que cet homme ait pu agir seul au cœur de la royauté sans qu’elle ait été impliquée ? Scotland Yard n’est décidément pas curieuse. Dans les années 80, Elisabeth en personne était intervenue afin d’interrompre une enquête pour viol. Il faut savoir aussi que d’autres scandales de pédophilie ont touché députés et évêques dans le sillage de l’affaire Savile. Tout cela trahit la pourriture généralisée de l’élite britannique, avec à sa tête l’histrion Savile.

Charles savile peter ball

Dans un autre rayon, Charles a parrainé la Liverpool Care Pathway qui a euthanasié plus de 60 000 citoyens britanniques par an, sans leur consentement, de 2001 à 2013 (voir les racines nazies de la famille royale britannique de Florent David, avril 2022). Chez les Windsor, c’est de famille que de chercher à se débarrasser de ses semblables. Charles est le digne successeur de son père. En effet, en août 88, Philip déclarait vouloir se réincarner, dans une prochaine vie, sous la forme d’un virus mortel pour résoudre le problème de la surpopulation. Tel père tel fils. Il faut savoir que le prince Philip a été éduqué dans les années 30 dans le cadre d’un programme nazi eugéniste. Manifestement il lui en est resté quelque chose. Il a fondé par ailleurs le World Wildlife Fund avec le prince Bernhard des Pays-Bas autre eugéniste, autre nazi convaincu qui a adhéré au NSDAP en 33 et fondateur du groupe très controversé Bilderberg. A ce joyeux tableau de famille s’ajoute la figure de Lord Mountbatten, père pour ainsi dire adoptif du prince Philip et mentor de Charles, mais également pédophile patenté.

Si Charles veut faire de la politique et s’il sait aussi bien s’entourer, cela promet pour son règne. De plus ses accointances avec Schwab et son engagement pour la planète montrent qu’il tient à jouer un rôle dans le scénario mondialiste en cours. Charles en appelle à une campagne de type militaire, rien que ça, pour imposer la transition écologique. Si ce n’est pas de l’éco-fascisme, qu’est-ce que c’est ? Voilà un individu déjà suspecté dans de sordides affaires qui veut donner des leçons de conduite à la Terre entière. A la tête de trente châteaux et d’une fortune incommensurable, il a certainement la plus mauvaise empreinte carbone au monde. Alors, que ce roitelet commence par donner l’exemple avant de vouloir régenter les être humains. Nous ne sommes pas tous ses sujets, ne lui en déplaise !

Par ailleurs, au moins au regard de l’Histoire, il devra peut-être un jour faire face à ses responsabilités dans la mort de Diana. Là aussi le dossier en accusation s’étoffe. Alexis Cossette, dans son dernier webjournal, à partir de coupures de presse mainstream, a fait le point sur cette affaire et sur le fait que Diana, peu de temps avant de mourir de la façon que l’on sait, avait fait part de sa crainte que Charles s’apprête à l’assassiner dans ce qui passerait pour un accident de voiture ! Comme le dit Cossette, « la famille royale a beaucoup de squelettes dans ses placards »*. Charles a mis plus de soixante dix ans pour monter sur le trône. Les médias, bienveillants, lui ont accordé l’immunité, comme ils l’avaient accordée jadis à sa mère. Maintenant qu’il est auréolé de ces affaires criminelles, son personnage apparait si sulfureux qu’on peut s’attendre à tout durant son règne. D’ailleurs, il nous a donné un avant-goût de ses prochaines prouesses, lorsqu’il a prétendu fièrement, en 2011, descendre de Vlad l’Empaleur, le prince sanglant qui a inspiré Bram Stoker pour son personnage de Dracula, comte et vampire. Il avait fait cette révélation pendant l’enregistrement d’une émission au cours de laquelle il s’engageait en faveur de la préservation des forêts de Transylvanie (Roumanie). Espérons que le sort de ses sujets n’aille pas rejoindre celui de Diana ni celui des victimes de Dracula. Si je m’étais découvert subrepticement un ancêtre aussi cruel, je ne m’en serais pas vanté. Lui, Charles, en est fier !

Dracula charles

Je me suis souvent demandé pourquoi la monarchie britannique conservait autant de prestige à travers le monde. En tout cas les médias l’encensent partout. Regardez Macron demander aux mairies de la république française de mettre les couleurs nationales en berne, suite au décès de la Reine. Certains maires s’en sont offusqués à juste titre. Lui, qui a fait brûler par sa milice les drapeaux tricolores lors du convoi de la liberté, a le toupet de vouloir rendre hommage maintenant à la monarchie anglaise. Jeanne, la bonne lorraine qu’anglais brûlèrent à Rouen, doit se retourner dans sa tombe. En vérité, la directive de Macron traduit le fait qu’Elisabeth et maintenant Charles se posent davantage en souverains de l’élite mondialiste qu’en ceux du peuple anglais. Le mondialisme les reconnait comme ses monarques successifs. Quand est-ce que le peuple de sa Majesté, qui est dupé depuis des lustres, s’en rendra compte ? Faudra-t-il un énième scandale ou carrément le déballage de l’ensemble de leurs œuvres  monstrueuses pour qu’il rejette à jamais ce clan qu’il a tant vénéré ? Le peuple qui se prétend encore attaché aux Windsor ne peut pas être le même qui a adulé Diana. ¾

 

*A l’heure où j’écris ces lignes, un ex-agent du MI5, à l’article de la mort, a confessé avoir assassiné Diana sur ordre du Prince Philip (mediapart).

Pédophilie Nazisme Elisabeth II Prince Charles