Outre Atlantique, les spectateurs des chaînes américaines semblaient, en grand nombre, de plus en plus consternés, avant même la déclaration de guerre du covid. L’Amérique a toujours eu un temps d’avance, dans les avancées comme dans les travers. Le degré de collusion de leurs rédactions avec les démocrates était à son paroxysme. Leur unanimité ne faisait qu’éveiller la suspicion. Le degré de désinformation au profit du système en place les poussait à nier tous les crimes de ses représentants (les allégations mensongères concernant le président Trump, alors en exercice, montées de toutes pièces par Hillary Clinton et son staff, les malversations de la famille Biden, aussi bien le père que le fils…). Combien de temps aura-t-il fallu pour que le New York Times reconnaisse, par exemple, que le FBI avait bien en sa possession l’ordinateur portable de Hunter Biden, et qu’on n’avait pas affaire à une campagne de désinformation russe. Son contenu était explosif, et les médias le savaient pertinemment. Il leur fallait discréditer l’information. Le portable était le témoin loquace et accablant des turpitudes sexuelles du fils du président. On l’a surnommé le laptop from hell. Depuis, avez-vous fait votre mea culpa, messieurs qui vous dites journalistes d’un organe de presse jadis prestigieux ?
Vint 2020. Les CNN, MSNBC, ABC, Washington Post, New York Times et même Fox News, une chaîne qu’on aurait crue plus distante en raison de son positionnement idéologique, se retrouvèrent à entériner la victoire de Biden, fermant les yeux sur les indices déjà flagrants de falsification. Tous, sans exception, se vautrèrent dans la fange. Avant même l’élection de novembre, leur relation des émeutes racialistes, dont le bailleur de fonds était Soros et les exécuteurs des basses œuvres les Antifa et les BLM, constitua un morceau de bravoure, faisant des violents des anges et le contraire. On prête à Malcolm X ces propos : « Les médias sont les entités les plus puissantes sur terre. Ils ont le pouvoir de rendre les innocents coupables et de faire des coupables les innocents, et c’est ça le pouvoir. Parce qu’ils contrôlent l’esprit des masses ». L’élection de 2020 fut l’occasion d’une obstruction systématique afin de nier toute fraude au mépris des preuves. Les anathèmes, que les médias répandirent, laissaient pantois. Il n’y avait pas eu fraude, même si les courbes des votes disaient le contraire, partout dans les swing states. Circulez, il n’y a rien à voir. Cessez même de réfléchir, et buvez plutôt nos paroles. Toute propagation d’information là-dessus passait pour de la subversion. D’ailleurs, sur les réseaux, le mot fraude lui-même était interdit, viré du dictionnaire. Un mot au cachot !
On a vu ainsi le glissement s’opérer au moment du covid, d’une liberté d’information corsetée à un muselage de la liberté d’expression. On l’a vu notamment en France. Il n’a plus été question que d’une seule trame narrative pour mieux stigmatiser toute déviance. Ce fut un déchainement. Nos médias d’observateurs orientés qu’ils étaient sont devenus des gardiens pitbulls de l’orthodoxie. Avec l’Ukraine, ils s’enfoncent toujours plus loin dans la boue. Ils avaient les deux pieds dedans, il y a longtemps. Avec l’opération covid, ils en ont eu jusqu’à la taille. Et là, avec l’opération ukrainienne et les énormités qu’ils diffusent, ils en ont malheureusement jusqu’au cou. Ils s’enfoncent comme dans des sables mouvants, mais ces sables sont les boues de leurs bobards, les boues de leur mythomanie, les boues du charlatanisme. Donald Trump a une expression pour dire qu’il veut exposer les acteurs du Deep State, à qui nous devons tout cela. Drain the Swamp, assécher le marais. L’image vaut aussi pour les médias, traités fort à propos par leurs détracteurs de merdias. L’expression ne pouvait pas mieux leur convenir. Ils se complaisent tant dans la fange pour sauver un système de domination en faillite qu’ils s’exposent par la même occasion. Ils sont prêts à s’enfoncer plutôt que de chercher à sauver le peu d’honneur qu’il leur reste. Mais, peut-être, après tout, ne leur reste-t-il plus rien à défendre. Les écuries d’Augias débordent tellement de purin qu’elles sont indécrottables. L’ignominie a atteint des scores stratosphériques laissant derrière elle les records de ses devancières nazie et communiste. Dans un tweet dépité, Jean-Claude Bourret parle d’un niveau de propagande mamouthesque. Obsolète la propagande d’un Goebbels, poussiéreuse celle de la Pravda. Le média occidental version 2022 les a reléguées au stock des propagandes périmées. Il faut dire que les moyens dont il dispose sont sans commune mesure. Que peut-il bien se passer dans la tête de ces individus qui viennent devant les caméras vomir leur arsenic verbal ? Que leur reste-t-il d’humain, le soir en se regardant devant la glace ? La perversion est telle que nous avons affaire à de nouveaux psychopathes, les médias psychopathes. Car, ne vous leurrez pas, ils savent parfaitement qu’ils assassinent la liberté de pensée et qu’ils perpètrent ce sacrilège à une échelle jamais connue. Les fake medias se livrent sciemment à la manipulation. Et ils n’en éprouvent aucun remord, car ils n’ont aucune empathie pour leurs victimes. Ils ne mériteront pas notre commisération, quand la roue tournera.
Je ne résiste pas maintenant à donner un aperçu de leurs tromperies :
Commençons par ce simulacre de scène de panique au cœur d’une ville ukrainienne. Combien les figurants de ce tournage hollywoodien ont-ils été payés ?