Le 23/03/2022
Les médias sont le quatrième pouvoir, dit-on, après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. Au cours de la précédente décennie, ils avaient commis bien des fautes par manque de déontologie sous la pression idéologique progressiste. Pour beaucoup d’entre eux, ils s’étaient décrédibilisés. Néanmoins gardaient-ils une vague apparence d’honorabilité. Bon, l’information était biaisée, mais elle filtrait tout de même.