Le message est clair et encourageant, d’autant qu’il offre des perspectives. Il s’agit d’un véritable appel du 18 juin, qu’on retiendra peut-être un jour comme l’appel du 23 septembre. Tout le monde ne l’aura pas forcément entendu, mais ce discours mobilisateur fera date dans l’histoire du combat contre la tyrannie mondialiste.
Si des personnalités aussi éminentes que Mgr Viganò s’autorisent une parole de vérité et d’action en appelant vigoureusement à un sursaut et à une alliance des résistants à travers le monde, l’on peut se demander si cette alliance n’est pas déjà à l’œuvre. Nous avons déjà évoqué ce sujet. Il prête à spéculation, mais cet appel démontre au moins qu’il y a une aspiration mondiale à s’unir pour déboulonner le mondialisme. Et ce n’est pas là le moindre des paradoxes. Le mondialisme se fera mais espérons que ce sera celui de peuples et des nations, et non celui des élites. Soit dit en passant, si aucune tentative internationale n’était en cours, croyez-vous que l’archevêque Viganò l’invoquerait et lui donnerait le nom qu’elle porte, comme l’ont appris depuis plus de deux ans les résistants qui ont cherché à se compter ? De plus, les actes qu’il ébauche venant de l’alliance sont précisément ceux qu’on attend de Q.
Les rumeurs persistantes qui annoncent l’existence d’une opération militaire secrète sous le nom de code Q en cours aux Etats-Unis et à laquelle Trump serait associé, ainsi qu’un plan international, dénommé l’Alliance, pour lutter contre un ennemi commun tentaculaire, trouvent aujourd’hui un certain écho. Tout d’abord des commentateurs avisés, à l’instar d’un Stanislas Berton, commencent à évoquer cette résistance organisée mais tapie dans l’ombre et qui opère dans une guerre subversive contre l’Etat profond. Voici quelques morceaux choisis parmi ses explications : « […] cette guerre de l’ombre ressemble à une opération de chirurgie des plus délicates : éliminer le parasite (l’oligarchie mondialiste) sans tuer l’hôte (les peuples et les nations du monde). »
« La première phase de l’opération va ainsi conduire à la destruction du sommet de la pyramide et de ses structures de commandement. » Berton mentionne par exemple le fait que Trump ait pris le contrôle de la FED en nationalisant une partie des marchés financiers américains. « Une fois le haut de la pyramide et ses capacités neutralisés, vous allez déclencher la phase suivante de l’opération […] vous allez maintenir publiquement l’illusion de la continuité du pouvoir de l’oligarchie mondialiste tout en contrôlant entièrement cette dernière en coulisses […] » Il s’agit ici de ce qu’on a appelé la dévolution. Durant la guerre froide une telle opération a été envisagée en cas d’attaque nucléaire. La dévolution implique des procédures de transfert de responsabilités et de pouvoirs à un second staff désigné pour maintenir les fonctions essentielles de l’Etat. Si cette guerre n’implique pas de troupes étrangères débarquant sur le sol américain, il n’en est pas moins vrai qu’on a affaire à une guerre clandestine, une cyber-guerre, une guerre de l’information et aussi une guerre biologique. L’unique option qui s’offrait à Trump était d’en passer par une dévolution en utilisant l’armée. N’ayant pas accepté sa défaite pour cause de fraude électorale massive (cette élection et le covid constituent le premier champ de bataille patent de cette drôle de guerre), Trump a pris les devants au moyen d’un ordre exécutif. Il a mis en place un plan de continuité de gouvernement pour conduire en coulisses un pays qu’il considère sous le coup d’une attaque ennemie, à la fois intérieure (les démocrates) et extérieure (la Chine), ainsi que le dévoué Mike Lindell et son équipe l’ont prouvé à de multiples reprises après l’ingérence de plusieurs pays (dont la Chine et la France) dans le déroulement des élections 2020. C’est pourquoi l’administration Biden n’est en réalité qu’un gouvernement fantoche qu’encadreraient les patriotes. Trump a en revanche dupliqué la chaîne d’agents, les a dissimulés en dehors de Washington, pour faire face à l’ennemi suite à la déclaration de guerre que fut l’intrusion étrangère dans le processus électoral et pour continuer de conduire à couvert les affaires du pays.
« Dans le cadre politique de cette grande opération de théâtre politique, le contrôle par des forces extérieures de certaines personnalités ou institutions sera, dans certains cas, comme celui de la présidence Biden, rendu visible. » La pantomime à laquelle il nous a été donné d’assister avec un désopilant pseudo-président Biden en est une preuve flagrante. J’ai déjà eu l’occasion de lister toutes les pitreries auxquelles l’acteur Biden s’est livré. Croit-on vraiment qu’un authentique président, même atteint de sénilité, se serait comporté de manière aussi ubuesque ? Si les médias avaient couvert ses bouffonneries, il n’aurait pas tenu deux ans à la Maison Blanche. En parlant de la Maison Blanche et plus généralement de Washington DC, la désertion de la capitale et de ses institutions, dont la Maison Blanche, par leur personnel, peu après l’investiture de Joe Biden, indique que la stratégie décrite par Stanislas Berton n’est probablement pas une illusion. L’accumulation d’indices donne crédit à la réalité d’une dévolution.
« Dans d’autres cas, des personnalités joueront le rôle qui leur a été assigné en échange d’une remise de peine ou d’un jugement à huis-clos […] plutôt que de mener une guerre ouverte au système mondialiste, vous allez le détruire en retournant ses propres armes contre lui. Ils voulaient vacciner la terre entière ? Vous allez les laisser faire, avec quelques garde-fous, en utilisant le scandale des effets secondaires et la preuve de l’inefficacité des vaccins pour rendre visible au grand public la propagande du gouvernement, la complicité des médias, la corruption de l’industrie pharmaceutique et les mensonges des experts. Ils veulent abolir les différences entre sexes et nier les réalités biologiques ? Vous allez encourager leurs excès, rendre encore plus visible l’obsession transgenre et laisser les lobbys LGBT, écologistes et progressistes aller au bout de leurs délires. Résultat : en accélérant un changement conçu à l’origine pour être diffus et progressif, vous allez provoquer une prise de conscience et une saturation de l’opinion publique accompagnée d’un puissant phénomène de rejet […] » Reconnaissons que cette tactique, si tactique il y a, s’avéra efficace. Combien d’entre nous se réveillèrent devant l’énormité de la situation, au moment de l’opération covid ! Combien ont découvert à quel point les médias étaient complices ! Et à quel point le système de santé avait été corrompu pour se laisser déposséder du devoir de soigner, soutenir des thèses antiscientifiques ou participer à une campagne d’injection forcée. Concernant les positions délirantes des LGBT, Sandrine Rousseau à elle seule est capable d’en illustrer toute l’étendue. Quant au deux poids deux mesures des ténors du réchauffement climatique anthropique, le contraste entre la sobriété qu’ils exigent de nous et leur empreinte carbone débridée est une façon de les prendre en flagrant délit de mensonge. Le silence de Greta sur l’empreinte carbone des élites est en soi un aveu. L’avez-vous déjà entendue les invectiver à la tribune de l’ONU, où les élites mondialistes sont pourtant légion ?
« Grâce à des outils d’analyse psychosociale et la coordination des différents corps d’armée de l’alliance antimondialiste, vous avez la capacité de mesurer de façon très fine l’avancée du plan et la libération aussi bien politique que mentale des peuples et des pays occupés. » L’Alliance semble déjà visible, quand les BRICS, Poutine et Xi en tête, dament le pion aux atlantistes au grand jour et qu’ils entament la dédollarisation de la planète. La majorité d’américains, qui a réélu Trump en 2020, sera de la partie pour souhaiter rejoindre cette union multipolaire qui n’est jamais que la tête de pont de l’Alliance, si tant est que les patriotes américains n’en fassent pas déjà partie.
La fin de ce bel article est au moins aussi réconfortante : « Pour comprendre cette stratégie et envisager le plan d’ensemble de cette guerre de libération sans équivalent dans l’Histoire, nul besoin de posséder des informations secrètes ou de bénéficier de contacts privilégiés. Il suffit d’analyser toutes les données disponibles en sources ouvertes et enfin de se poser cette simple question : si j’avais voulu démanteler de façon durable et efficace le système mondialiste, comment m’y serai-je pris ? »
Evidemment, à vouloir disposer de preuves absolues et intangibles de l’existence de cette armée de libération, on reste un éternel sceptique. On attend la libération officielle, et on n’a plus qu’à prier. Tout comme l’aurait fait un parisien en attendant dès 1941 des preuves formelles qu’un jour un débarquement aurait lieu en Normandie et que la division Leclerc atteindrait les portes de Paris. Dans la dure réalité, on n’a jamais ce genre de preuves absolues. On a des faits, des sources plus ou moins fiables, des interprétations et on a sa propre vision de l’Histoire et ce qu’elle nous a enseigné. Alors, sans être aussi affirmatif que Stanislas Berton, force est de constater que beaucoup de données collent parfaitement à son analyse, qui est celle d’ailleurs de bon nombre de patriotes et autres lanceurs d’alerte. Il faut lui reconnaître cependant que la sienne est pertinemment exposée.