Les nouveaux Alliés

Le 26/09/2022

Dans Actualités

A cette heure, nous sommes contraints de conjecturer sur ce qui se passe. Soumis à des rumeurs contradictoires, nous ne pouvons qu’échafauder des alternatives. Ainsi, depuis l’Iran montent des nouvelles d’émancipation du peuple toujours en prise au pouvoir oppresseur des mollahs. Le peuple iranien semble à nouveau décidé à se battre contre le régime inique de Téhéran. A Kerman, pour protester contre la mort de Mahsa Amini arrêtée par la police des mœurs pour tenue inappropriée, une femme se coupe les cheveux en public sous les applaudissements, et la contestation s’étend à plus de cent villes, semble-t-il.

Pendant ce temps-là, d’importants mouvements de troupes sont annoncés en Chine. Une multitude de vols aériens a été suspendue. On ignore encore si ces manœuvres sont destinées à destituer Xi ou au contraire à renforcer son pouvoir. Pour le commentateur Jack Posobiec, nous serions en train d’observer la coalition des leaders nationalistes faire le ménage. La purge de la corruption serait en cours. Cependant d’autres avis affirment le contraire. Mais Posobiec balaie ce qu’il appelle de la propagande grise de la CIA. Bref, la confusion règne. Parmi les rumeurs, qui circulent, il est difficile de se faire une juste idée des événements.

Autre continent, mais même incertitude : le site suisse uncut-news vient d’informer ses lecteurs que des correspondants suédois du quotidien Nya Dagbladet ont dévoilé un mémo secret, rédigé par le groupe Rand Corporation en lien étroit avec le Pentagone et le Département de la Défense. Le mémo remonterait à janvier dernier. Il décrit un plan visant à détruire intégralement l’économie européenne. Il prévoirait de placer des idiots utiles à des postes clé, dans le but d’obliger l’Europe à adopter des sanctions contre la Russie. En conséquence, l’approvisionnement énergétique russe cesserait d’arriver en Europe, et les sanctions se retourneraient contre elle. Parce qu’il fallait scinder l’axe Moscou-Berlin, le premier pilier européen à mordre la poussière serait donc l’Allemagne. Elle entraînerait dans sa chute le reste du continent. Le gouvernement d’Olaf Scholz par ses décisions y aurait sa part de responsabilité. Le plan compterait aussi sur l’attitude irresponsable des verts allemands pour aboutir au résultat escompté. Les pénuries énergétiques saperaient toute l’économie allemande, la plus prospère d’Europe, creuserait un déficit conséquent et provoquerait un chômage de masse. Les Etats-Unis pourraient alors tabler sur un transfert des cerveaux et une manne financière d’ampleur. On parle d’une dizaine de milliards, ce qui me semble peu, mais le cartel anglo-saxon est peut-être bien aux abois pour en arriver là. Une sorte de transfusion économique et financière d’Est en Ouest qui résonne comme une mesure d’urgence. Nous savions par les Rothschild que les mondialistes tenaient coûte que coûte à leur base ukrainienne. On a vu pourquoi, lorsqu’on a découvert les biolabs américains aux portes de la Russie. Mais il semble maintenant qu’ils les aient perdus, et qu’ils veuillent instrumentaliser ce conflit pour un autre usage, se débarrasser de l’Europe en en transférant les talents et les forces vives vers les Etats-Unis dans leur propre intérêt. Ici aussi la moindre interprétation est sujette à caution.

Dans ce tohu-bohu, cependant, des signes tangibles d’espoir font surface. Tout d’abord, le dernier discours de Mgr Viganò, qui appelle à une alliance antimondialiste et à des tribunaux internationaux : « Face à ce coup d’Etat mondial, lance-t-il, il est nécessaire de former une alliance internationale antimondialiste qui rassemble tous ceux qui veulent s’opposer à la dictature, qui n’ont pas l’intention de devenir les esclaves d’un pouvoir sans visage, qui ne sont pas disposés à annuler leur propre identité, leur propre individualité, leur propre foi religieuse. Si l’attaque est globale, la défense doit également être globale.

J’en appelle aux dirigeants, aux politiques et aux chefs religieux… en les invitant à s’unir dans une alliance qui lance un manifeste antimondialiste, réfutant point par point les erreurs et les déviations de ce nouvel ordre mondial dystopique et proposant des alternatives concrètes.

Elle devra dénoncer les crimes des élites, identifier les responsables, les dénoncer devant les tribunaux internationaux, et limiter leur pouvoir excessif et leur influence néfaste. »

Vigano

Mgr Viganò

Le message est clair et encourageant, d’autant qu’il offre des perspectives. Il s’agit d’un véritable appel du 18 juin, qu’on retiendra peut-être un jour comme l’appel du 23 septembre. Tout le monde ne l’aura pas forcément entendu, mais ce discours mobilisateur fera date dans l’histoire du combat contre la tyrannie mondialiste.

Si des personnalités aussi éminentes que Mgr Viganò s’autorisent une parole de vérité et d’action en appelant vigoureusement à un sursaut et à une alliance des résistants à travers le monde, l’on peut se demander si cette alliance n’est pas déjà à l’œuvre. Nous avons déjà évoqué ce sujet. Il prête à spéculation, mais cet appel démontre au moins qu’il y a une aspiration mondiale à s’unir pour déboulonner le mondialisme. Et ce n’est pas là le moindre des paradoxes. Le mondialisme se fera mais espérons que ce sera celui de peuples et des nations, et non celui des élites. Soit dit en passant, si aucune tentative internationale n’était en cours, croyez-vous que l’archevêque Viganò l’invoquerait et lui donnerait le nom qu’elle porte, comme l’ont appris depuis plus de deux ans les résistants qui ont cherché à se compter ? De plus, les actes qu’il ébauche venant de l’alliance sont précisément ceux qu’on attend de Q.

Les rumeurs persistantes qui annoncent l’existence d’une opération militaire secrète sous le nom de code Q en cours aux Etats-Unis et à laquelle Trump serait associé, ainsi qu’un plan international, dénommé l’Alliance, pour lutter contre un ennemi commun tentaculaire, trouvent aujourd’hui un certain écho. Tout d’abord des commentateurs avisés, à l’instar d’un Stanislas Berton, commencent à évoquer cette résistance organisée mais tapie dans l’ombre et qui opère dans une guerre subversive contre l’Etat profond. Voici quelques morceaux choisis parmi ses explications : « […] cette guerre de l’ombre ressemble à une opération de chirurgie des plus délicates : éliminer le parasite (l’oligarchie mondialiste) sans tuer l’hôte (les peuples et les nations du monde). »

«  La première phase de l’opération va ainsi conduire à la destruction du sommet de la pyramide et de ses structures de commandement. » Berton mentionne par exemple le fait que Trump ait pris le contrôle de la FED en nationalisant une partie des marchés financiers américains. « Une fois le haut de la pyramide et ses capacités neutralisés, vous allez déclencher la phase suivante de l’opération […] vous allez maintenir publiquement l’illusion de la continuité du pouvoir de l’oligarchie mondialiste tout en contrôlant entièrement cette dernière en coulisses […] » Il s’agit ici de ce qu’on a appelé la dévolution. Durant la guerre froide une telle opération a été envisagée en cas d’attaque nucléaire. La dévolution implique des procédures de transfert de responsabilités et de pouvoirs à un second staff désigné pour maintenir les fonctions essentielles de l’Etat. Si cette guerre n’implique pas de troupes étrangères débarquant sur le sol américain, il n’en est pas moins vrai qu’on a affaire à une guerre clandestine, une cyber-guerre, une guerre de l’information et aussi une guerre biologique. L’unique option qui s’offrait à Trump était d’en passer par une dévolution en utilisant l’armée. N’ayant pas accepté sa défaite pour cause de fraude électorale massive (cette élection et le covid constituent le premier champ de bataille patent de cette drôle de guerre), Trump a pris les devants au moyen d’un ordre exécutif. Il a mis en place un plan de continuité de gouvernement pour conduire en coulisses un pays qu’il considère sous le coup d’une attaque ennemie, à la fois intérieure (les démocrates) et extérieure (la Chine), ainsi que le dévoué Mike Lindell et son équipe l’ont prouvé à de multiples reprises après l’ingérence de plusieurs pays (dont la Chine et la France) dans le déroulement des élections 2020. C’est pourquoi l’administration Biden n’est en réalité qu’un gouvernement fantoche qu’encadreraient les patriotes. Trump a en revanche dupliqué la chaîne d’agents, les a dissimulés en dehors de Washington, pour faire face à l’ennemi suite à la déclaration de guerre que fut l’intrusion étrangère dans le processus électoral et pour continuer de conduire à couvert les affaires du pays.

« Dans le cadre politique de cette grande opération de théâtre politique, le contrôle par des forces extérieures de certaines personnalités ou institutions sera, dans certains cas, comme celui de la présidence Biden, rendu visible. » La pantomime à laquelle il nous a été donné d’assister avec un désopilant pseudo-président Biden en est une preuve flagrante. J’ai déjà eu l’occasion de lister toutes les pitreries auxquelles l’acteur Biden s’est livré. Croit-on vraiment qu’un authentique président, même atteint de sénilité, se serait comporté de manière aussi ubuesque ? Si les médias avaient couvert ses bouffonneries, il n’aurait pas tenu deux ans à la Maison Blanche. En parlant de la Maison Blanche et plus généralement de Washington DC, la désertion de la capitale et de ses institutions, dont la Maison Blanche, par leur personnel, peu après l’investiture de Joe Biden, indique que la stratégie décrite par Stanislas Berton n’est probablement pas une illusion. L’accumulation d’indices donne crédit à la réalité d’une dévolution.

« Dans d’autres cas, des personnalités joueront le rôle qui leur a été assigné en échange d’une remise de peine ou d’un jugement à huis-clos […] plutôt que de mener une guerre ouverte au système mondialiste, vous allez le détruire en retournant ses propres armes contre lui. Ils voulaient vacciner la terre entière ? Vous allez les laisser faire, avec quelques garde-fous, en utilisant le scandale des effets secondaires et la preuve de l’inefficacité des vaccins pour rendre visible au grand public la propagande du gouvernement, la complicité des médias, la corruption de l’industrie pharmaceutique et les mensonges des experts. Ils veulent abolir les différences entre sexes et nier les réalités biologiques ? Vous allez encourager leurs excès, rendre encore plus visible l’obsession transgenre et laisser les lobbys LGBT, écologistes et progressistes aller au bout de leurs délires. Résultat : en accélérant un changement conçu à l’origine pour être diffus et progressif, vous allez provoquer une prise de conscience et une saturation de l’opinion publique accompagnée d’un puissant phénomène de rejet […] » Reconnaissons que cette tactique, si tactique il y a, s’avéra efficace. Combien d’entre nous se réveillèrent devant l’énormité de la situation, au moment de l’opération covid ! Combien ont découvert à quel point les médias étaient complices ! Et à quel point le système de santé avait été corrompu pour se laisser déposséder du devoir de soigner, soutenir des thèses antiscientifiques ou participer à une campagne d’injection forcée. Concernant les positions délirantes des LGBT, Sandrine Rousseau à elle seule est capable d’en illustrer toute l’étendue. Quant au deux poids deux mesures des ténors du réchauffement climatique anthropique, le contraste entre la sobriété qu’ils exigent de nous et leur empreinte carbone débridée est une façon de les prendre en flagrant délit de mensonge. Le silence de Greta sur l’empreinte carbone des élites est en soi un aveu. L’avez-vous déjà entendue les invectiver à la tribune de l’ONU, où les élites mondialistes sont pourtant légion ?

« Grâce à des outils d’analyse psychosociale et la coordination des différents corps d’armée de l’alliance antimondialiste, vous avez la capacité de mesurer de façon très fine l’avancée du plan et la libération aussi bien politique que mentale des peuples et des pays occupés. » L’Alliance semble déjà visible, quand les BRICS, Poutine et Xi en tête, dament le pion aux atlantistes au grand jour et qu’ils entament la dédollarisation de la planète. La majorité d’américains, qui a réélu Trump en 2020, sera de la partie pour souhaiter rejoindre cette union multipolaire qui n’est jamais que la tête de pont de l’Alliance, si tant est que les patriotes américains n’en fassent pas déjà partie.

La fin de ce bel article est au moins aussi réconfortante : « Pour comprendre cette stratégie et envisager le plan d’ensemble de cette guerre de libération sans équivalent dans l’Histoire, nul besoin de posséder des informations secrètes ou de bénéficier de contacts privilégiés. Il suffit d’analyser toutes les données disponibles en sources ouvertes et enfin de se poser cette simple question : si j’avais voulu démanteler de façon durable et efficace le système mondialiste, comment m’y serai-je pris ? »

Evidemment, à vouloir disposer de preuves absolues et intangibles de l’existence de cette armée de libération, on reste un éternel sceptique. On attend la libération officielle, et on n’a plus qu’à prier. Tout comme l’aurait fait un parisien en attendant dès 1941 des preuves formelles qu’un jour un débarquement aurait lieu en Normandie et que la division Leclerc atteindrait les portes de Paris. Dans la dure réalité, on n’a jamais ce genre de preuves absolues. On a des faits, des sources plus ou moins fiables, des interprétations et on a sa propre vision de l’Histoire et ce qu’elle nous a enseigné. Alors, sans être aussi affirmatif que Stanislas Berton, force est de constater que beaucoup de données collent parfaitement à son analyse, qui est celle d’ailleurs de bon nombre de patriotes et autres lanceurs d’alerte. Il faut lui reconnaître cependant que la sienne est pertinemment exposée.

Trump q

Puisqu’il faut rechercher des motifs d’espoir dans les faits au quotidien, un indice récent nous a rendus optimistes. En effet, il y a quelques jours, la patriosphère a bruissé d’enthousiasme, lorsqu’un montage photographique a été repris par Donald Trump sur son compte Truth Social. On y voit Trump avec un arrière-plan tourmenté, une épinglette Q au revers de la veste et la fameuse expression La tempête arrive, pour tout commentaire. Même CNN, toujours prête à casser du sucre sur le dos de ses partisans, reconnait le lien de Trump à Q. Eux le craignent farouchement et le dénoncent, mais les patriotes se félicitent au contraire qu’une force effective combatte physiquement pour le peuple. Quoiqu’on en pense, ce signe infime mais lourd d’implication apporte de l’eau au moulin de Stanislas Berton, car il est une confirmation quasi-officielle et de l’existence de Q et du rôle libérateur de Trump et du signal que l’Alliance devrait lancer bientôt sa grande offensive. C’est bien ce que signifie La Tempête arrive. Cette phrase, tout comme les vers Les sanglots longs des violons de l’automne blessent mon cœur d’une langueur monotone qui ont donné à la BBC le signal du D-day, la grande reconquête et la fin de l’invasion nazie, cette phrase La tempête arrive est considérée par beaucoup comme le signe précurseur de notre libération.

Voyez encore le signe apparu avec la lettre Q dessinée sans équivoque, à l’ouverture d’une page de publicité, sur une chaîne de télévision française. Quelle chance, selon vous, que ce soit un pur hasard ? Je serais président de la chaîne en question et nécessairement au fait de Q, en bon valet des mondialistes, je ferais ôter ce symbole pour le moins dérangeant. Et ce n’est pas une intervention autoritaire qui me retiendrait ! Je veux donc y voir un clin d’œil des forces de l’Alliance qui paraissent agir en terre de France aussi.

La voix du patriote Juan O Savin s’est récemment fait entendre à propos des forces militaires agissant sous couverture et basées au Mont Cheyenne, Wyoming. Probablement ce sont des forces de l’ombre mises en place à la suite de la dévolution. Cette unité serait sous le contrôle de la Space Force, créée par Trump à la fin de son mandat, en vue de prendre la main sur les satellites de communications et d’une manière générale sur tous les réseaux de communication. Nous sommes là de retour dans les rumeurs, car personne ne sait quel crédit apporter au mystérieux Savin. Son propos a ensuite débordé sur la fameuse période des dix jours d’obscurité, dont tous les patriotes ont entendu parler. Elle signalerait officiellement le début de la chute des mondialistes. Le public serait instruit par les médias, cette fois repris en main par l’Alliance. Les crimes de l’Etat profond y seraient exposés dans toute leur monstruosité, et débuteraient les grandes arrestations tant souhaitées par Mgr Viganò. Traduits devant des tribunaux internationaux pour avoir du sang sur les mains ou avoir trahi leur patrie, les donneurs d’ordre de l’oligarchie et leurs zélés serviteurs prendraient place sur le banc des accusés, comme le firent certains dirigeants nazis, parmi les plus criminels, à Nuremberg.¾

 

Photo d'illustration : le D-day, le 6 juin 44

Alliance Trump Vigano Q Stanislas Berton

×